La Subjectivité Du Narrateur Dans Un

prend la parole Elle oppose le calme au désordre, discours catégorique et affirmatif b- Annonce de la suite de l’intrigue, une femme au dessus de tout Melle de Chartres, le fruit de l’éducation morale classique, triomphe de la vertu, subjectivité du narrateur

gentilhomme entre tous séduisant, M. de Nemours. Comment ce passage relaté par un narrateur a priori neutre, qui ne nous montre que des rapports en apparence assez lâches entre des personnages différents et qui incite le lecteur à voir l'action qui se déroule comme immorale peut-il tout de même constituer un élément fondamental du récit ? I. Le point de vue * Un narrateur a priori neutre : Le narrateur semble en effet neutre malgré la présence de verbes porteurs d'axes évaluatifs

jugements sont portés). C'est le point de vue du prince; il n'y a pas de regard objectif. Présence du discours indirect libre. Les pensées du prince sont la plupart du temps rapportées au discours indirect libre, ce qui crée une ambiguïté entre le narrateur et Salina. On peut également noter un décalage entre notre point de vue et le point de vue du personnage puisque nous avons les réponses aux questions qu'il se pose. Le portrait du roi insiste sur sa médiocrité. (page 18 : "il fallait placer l'équivoque"

qui est l’âme créative; Bernard, le personnage le plus proche de Gide peut-être, est d’abord une idée d’un être de volonté, de rigueur, de liberté, d’un être sans racine. Sa situation familiale fait de lui un bâtard. Edouard doit à sa situation de narrateur d’être le romancier de cet univers. Comme tel, il n’est l’être de personne, il n’est l’être de nulle part. Tous peuvent être étudiés dans le rapport avec leur situation, qui fait leur véritable personnalité. Cette vue, fondamentalement artistique

modestes ». (l.65) On ne sait rien de son travail et de son patron. C) Une narration à la première personne, qui ressemble à un journal Le statue narratif est interne cela signifie que le narrateur est le personnage, il emploie donc tout le temps la première personne. Pareille que dans un journal le narrateur emploie des thermes comme « aujourd'hui » (l.1) « hier » (l.2) « demain ». (l.4) « l’après-midi » (l.10) Meursault n'a pas beaucoup de recul par rapport à l'histoire, cela lui permet de

Dans cet extrait de Belle du Seigneur, Albert Cohen saisit sur le vif le personnage d’Adrien Deume, dont il brosse le portrait. Tout d’abord, le narrateur nous présente le personnage vu en mouvement, comme le montrent différents verbes : « il retira la clé du contact », (l. 2), « il sortit, ferma la porte à clé, tira la poignée » (l. 2 et 3). Le narrateur précise aussi que le personnage « portant sa mallette, s’en fut d’un pas guilleret », (l.5-6) et que « arrivé dans le grand hall, il se dirigea

comme l’initial, pose un problème, puisqu’il n’y a pas de résolution ( Cf. Commentaire de fin ). Il est intéressant d’étudier la narrations qui montre la subjectivité du narrateur traduite par l’évolution « projet insensé ». Cela porte sur les qualifications, l’usage de l’épithète homérique : « le pauvre Memnon ». Point de vue du narrateur : « de l’air le plus touchant ». On remarque des tournures exclamatives et interrogatives. Ces modélisations apportent des connivences avec le lecteur.

docteur », « il » = distanciation. Variation de narration : on passe de la description des pensées de Rieux de manière distante : « Le docteur s’impatientait » ; aux pensées « directes » et « vécues » de Rieux « Ce qu’il fallait faire, c’était (…) ». Le narrateur se range dans un ensemble : la population d’Oran : « Il fallait s’en tenir à ce qu’on savait ». Présence de modalisateurs : « il est vrai que », « ce qu’il fallait faire », « on pouvait craindre ». La syntaxe des phrases illustre les pensées de

l’homme (opprimé) sur la femme (oppresseur), l’inverse, mais aussi celui du narrateur et auteur, Victor Hugo sur ces deux personnages que tout oppose. Tout d’abord, Victor Hugo, par l’usage de la première personne, est présent en tant que narrateur dans ce texte. Il offre ainsi une description des deux personnages plus concrète car il en est le témoin oculaire. De plus, on peut assurer son identification au narrateur dans ce texte grâce aux informations tel que « j’allais à la chambre des pairs »

raconte 99 fois la même histoire, de 99 façons différentes. Résumé: L'histoire elle-même tient en quelques mots. Le narrateur rencontre dans un bus un jeune homme au long cou, coiffé d'un chapeau orné d'une tresse tenant au lieu de ruban. Ce jeune homme échange quelques mots assez vifs avec un autre voyageur, puis va s'asseoir à une place devenue libre. Un peu plus tard, le narrateur revoit ce jeune homme qui est alors en train de discuter avec un ami. Celui-ci lui conseille de faire remonter le bouton