La Supériorité De L Homme

L’artiste est un « homme qui voit mieux que les autres » selon Bergson. En commençant sa phrase, il place déjà l’artiste au-dessus des autres, car, selon lui, l’artiste est avant tout un créateur d’art qui se différencie d’autrui. Le terme « autrui » désigne ce qui est différent de nous, ce qui nous différencie des autres hommes. Bergson oppose la « vision » de l’artiste au « regard » des humains ordinaires. L’artiste, lui « voit » mieux, il entre en contact « direct » avec « la réalité ». Il atteint

cela dans la série des Rougon – Macquart surnomme « Histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire ». Dans l'Assommoir, est le septième oeuvre  appartenant a cette série, publié en 1877, Gervaise, une jeune femme abandonné par son homme, et quelques ouvriers se retrouvent dans le cabaret éponyme. Quelques uns boivent, mais Gervaise et son ami Copeau sont sobres.Vers la fin du passage, l'auteur décrit de façon complexe l'alambic, en faisant ressortir sa fonction, et son aspect physique

pauvre est un dévot qui ne vit que pour la prière). -Pb : Comment cette scène met-elle en place un débat manichéen qui témoigne d’un aspect du libertinage ? I) La place des deux interlocuteurs dans ce dialogue a) Don Juan le grand seigneur -La supériorité hiérarchique de Don Juan se traduit dans ce dialogue. -Don Juan est un noble, il ne veut pas se mêler aux rangs sociaux trop inférieurs, il fait demander son chemin au pauvre par son valet Sganarelle. -Quand Don Juan s’adresse au pauvre, il le

apportés par les Lumières Interprétation Citations Procédés d’écriture (figures de style, temps et modes verbaux et leurs valeurs, énonciation, ponctuation, lexique, connotations…) Interpellation, ton autoritaire Echo au texte liminaire (« Homme ») O. de Gouges veut amener la femme à une prise de conscience Conséquences effectives du mouvement des Lumières qui prend de l’ampleur Changement, évolution Combats des Lumières Victoire totale de la raison sur l’obscurantisme

deux régimes aux idées complètements opposées en théorie. Mais pourtant, il parvient à les joindre autour d’un même but, à savoir contraindre la pensée individuelle (lorsqu’elle va à l’encontre de la pensée en vigueur, que ce soit celle d’un seul homme ou d’un groupe). En effet, l’extrait débute sur une assertion présentant la pensée comme au-dessus de toute autorité, « La pensée est un pouvoir invisible et presque insaisissable qui se joue de toutes les tyrannies ». La pensée apparait comme matérialisée

premier), un plaidoyer en faveur des femmes I) Un réquisitoire contre les hommes( 1-5) Une entrée in media res, un cri1« Homme, es-tu capable d’être juste ? »Le texte s’ouvre sur une apostrophe brutale, suivie d’un tutoiement politique. Ainsi Olympe prend à parti l’homme qu’elle met directement en accusation. Elle dénigre la supériorité de celui-ci et se place en égal à lui. 2« Dis-moi » Impératif, injonctionElle laisse transparaître son talent d’oratrice en usant de son droit

travers une série de questions , puis ensuite d’ordres et enfin un constat négatif que l’auteure adresse aux hommes. Ph1:interrogation rhétorique qui sous entend que l’homme est incapable de justice.L’apostrophe Homme interpelle la classe masculine entière de façon brutale si bien que cela sonne comme une accusation (assonances en u et a marquant un cri d’indignation)et le tutoiement (courant entre citoyens) montre une égalité: O assure d’emblée que

dans sa poche » *langage imagé et pittoresque = « croquis » péjoratif des hommes qui ont « le menton couvert d’un vilain poil rude », « les muscles plus forts » *franc parler face à l’abbé à qui elle ne laisse pas la parole *ironie signe de supériorité et de désinvolture. *réaction violente « j’ai jeté le livre », « je lui aurais fait voir du pays » (euphémisme/menace) c)l’ironie du narrateur * regard moqueur du narrateur : les phrases  ironique * portrait d’une fe futile avec l’antithèse

celle-ci avant qu’il ne meurt. C’est quelqu’un qui la dépouilla de sa fortune, vécut publiquement avec ses maitresses et qui n’avait aucun égard pour elle. Aux plaintes de Doña Carmen on lui répondait « qu’elle devait s’estimer heureuse d’avoir un bel homme pour mari…ces personnes trouvant, dans la laideur de la femme et la beauté du mari, des raisons suffisantes pour justifier la spoliation de fortune et les continuels outrages dont la malheureuse était victime ».Aussi cet exemple lui rappelle t elle

Microsoft Word - Dualité homme animal - Histoire de l'art - Gary Guedj.docx DUALITÉ HOMME-ANIMAL La différence entre l’animal sauvage et l’homme politisé à travers l’histoire de l’art Master Cycle d’urbanisme Avril 2022 Nombre de signes : 22 890 Gary GUEDJ 2 PLAN 0. INTRODUCTION ……………………………………………………………………………….. 3 1. DUALITÉ HOMME ANIMAL : L’INTERDÉPENDANCE …….....……….. 3 1.1. L’animal comme être pur ……………………………………………………...….. 3 1.2 L’animal instrumentalisé ……………..