La Symbolique Des Fenêtres

quotidien avec son poème en prose intitulé « Les Fenêtres », extrait de Petits poèmes en prose parut en 1869. Ce poème a pour thème principal une fenêtre et le plaisir de regarder au-travers de sa vitre. Nous pouvons ainsi nous demander en quoi ce poème et l’objet qu’il décrit permettent à l’auteur de nous transporter au-delà de nous même et de nous amener vers un tout autre monde. Nous nous intéresserons donc à l’aspect symbolique de ces fenêtres, portes vers le monde du rêve, mais également au

premier paragraphe présente, de façon générale l’observateur et le sujet. Le sujet est une fenêtre, objet du quotidien que l’on peut apparenter à un cadre de tableau.Les impressions visuelles sont rendues par les adjectifs employés dans l’énumération du premier paragraphe : « profond, mystérieux, fécond, ténébreux, éblouissant ». Ainsi que par le jeu des contrastes : ombres/lumières ; fenêtres ouvertes/ fenêtres fermées. Le premier paragraphe de ce poème en prose permet la description de l’objet étudié

ensuite approfondir la visée symbolique de celui-ci. Tout d’abord, la pièce se déroule dans un lieu abstrait : la didascalie initiale porte simplement l’indication « Intérieur sans meubles ». L’absence de mobilier surprend le lecteur de par l’invraisemblance qu’il suscite chez celui-ci. Ainsi, seuls des accessoires figurent sur scène : les deux poubelles, dans lesquelles sont Nagg et Nell, les parents de Hamm, le fauteuil à roulettes de celui-ci, deux petites fenêtres « haut perchées » et un tableau

didascalies de chaque scène.  33 scènes dans Florence mais dans des espaces variés  Des scènes à l’extérieur de Florence sur le « bord de l’Arno » pour Marie et Catherine  Une scène à Venise  Donc bien un éclatement des lieux 2) un espace symbolique Une symbolique des lieux :  Les scènes d’extérieur dont la rue sont consacrée au peuple (même la scène dans le jardin concerne le Duc mais masqué, il sort incognito quand il n’est pas dans la sphère du pouvoir, et l’enjeu de la scène concerne la sœur de

Le tapis de loge de l’APP∴ Le tapis de loge est placé au centre du temple sur le pavé mosaïque. Ce tableau est une sorte de synthèse graphique de toute la symbolique de la loge agissant comme un aide-mémoire. Il concentre en une surface déterminée les symboles disposés de façon préétabli. Ils sont différents selon le grade auquel travaille l’atelier. Dans certains rituels, les symboles maçonniques sont tracés à même le sol au début de la tenue puis sont ensuite effacés. Le tracé de loge fait partie

ANALYSE PLASTIQUE Caractéristiques de l'œuvre Exemples de points particuliers à observer La composition L’espace est partagé en deux : à gauche le banquier, à droite sa femme. L’homme est du côté de la fenêtre, c’est l’homme de l’extérieur, l’homme des affaires. La femme est du côté du lit, c’est l’épouse dans le foyer familial. Les mains réunies se trouvent pratiquement au croisement des diagonales, au centre du tableau. Au premier plan : le chien et une paire de chaussures. On retrouve une autre

Enfin, cet incipit naturaliste annonce d’emblée une belle place aux éléments symboliques. Lecture du texte Télécharger cet extrait du chapitre 1 de L'Assommoir - de Zola en version mp3 (clic droit - "enregistrer sous...") Lu par Pomme - source : litteratureaudio.com Gervaise avait attendu Lantier jusqu'à deux heures du matin. Puis, toute frissonnante d'être restée en camisole à l'air vif de la fenêtre, elle s'était assoupie, jetée en travers du lit, fiévreuse, les joues trempées

La Symbolique de la Porte Pour effectuer cette planche, j’ai fait le serment de ne pas ouvrir un livre hormis celui que j’ai dans la tête Quand on ma demandé d’étudier la Symbolique de la Porte, une chose m’est venue à l’esprit, la porte est composée de 4 éléments. Nous pouvons parler de la surface animée plane, du montant qui permet d’effectuer l’ouverture ou la fermeture et des deux espaces situés de part et d’autre de la surface animée, dont la frontière est le montant. La porte symbolise

néanmoins ; sitôt qu'il fut dans ce jardin, il n'eut pas de peine à démêler où était Mme de Clèves. Il vit beaucoup de lumières dans le cabinet ; toutes les fenêtres en étaient ouvertes et, en se glissant le long des palissades, il s'en approcha avec un trouble et une émotion qu'il est aisé de se représenter. Il se rangea derrière une des fenêtres, qui servaient de portes, pour voir ce que faisait Mme de Clèves. Il vit qu'elle était seule ; mais il la vit d'une si admirable beauté qu'à peine fut-il

est important : « un froid de mort », « noires », « une haleine de mort », « les gens sont morts ». Le quartier apparaît comme une prison où « on dit même que la nuit, parfois, on entend les gémissements des prisonniers derrière les barreaux des fenêtres », prison que tente de fuir Lalla : « elle s'en va vite ». Les trois extraits ont donc pour point commun de faire des villes modernes ou contemporaines – Paris ou Marseille - des lieux inquiétants, prêts à priver les personnages de leur liberté