La Symbolique Du Miroir

Le conte est un récit (court ou long) comportant une histoire (souvent imaginaire) et une narration, en prose ou en vers dont on tire un enseignement moral. Il serait interressant de voir si le conte et l'apologue sont, comme le miroir du pèlerin dans le texte de jacques Cazotte des inventions qui permettent de voir le monde tel qu'il est. Pour répondre à cette question nous étudierons dans un premier temps le fait que le conte et l'apologue sont des reflets de la société et dans un deuxième temps

retourne vers les autres. De fait deux directions réflexives s’imposent à moi, l’une individuelle et l’autre collective, les deux étant concomitantes et indissociables. Nous allons donc essayer de partager ensemble cette réflexion tel le jeu des miroirs, qui permet d’agrandir un lieu restreint en un immense palais des mille et une lumières, donc des mille et une connaissances. La réflexion individuelle La réflexion individuelle correspond à la pensée personnelle, la méditation, l’introspection

L’ouvre bouteille : le graphe du désir Introduction La première période de théorisation de Lacan va jusqu’en 1956, soit le premier paradigme, où l’accent est mis sur la parole : l’axe symbolique primant sur l’axe imaginaire. D’un côté le champ de la parole et du langage et de l’autre, ce qui se réfère à la pulsion, à la jouissance. Le deuxième paradigme se situe entre 1956 et 1959 (avec les séminaires : La relation d’objet, Les formations de l’inconscient, Le désir et son interprétation, séminaire

source de cette « peur » c’est le silence paradoxale qui l’entoure, « le silence autour d’elle, ce silence où traînait la valse sans fin, l’épouvantait + que le bruit d’un meurtre. » - Lent dédoublement : Renée se dresse face à un miroir (cf. Recherches miroir), ça va au-delà du simple reflet. - Verbe pronominaux « elle s’aperçut », « elle approcha » = elle est étonnée de se voir - Dédoublement : « elle avait devant elle » à la foi sujet et objet c’est une femme inconnue

art pour art. - le propre du poète engagé est de transformer sa révolte individuelle en révolte collective et en lutte politique. Comment ne pas citer ici “Les dernières paroles du poète” de René Daumal - Attention : poésie trop lyrisme ou symbolique ou encore trop personnelle alors le message de passera plus car alors coupé du monde (Paul Eluard) - le poète est un éveilleur de conscience, il parle pour faire avancé les choses et pour faire régir la société face à certaines injustices etc

car selon la symbolique des couleurs, le rouge laisse une impression dynamique, joyeuse et passionnée. Le Die Brücke, ou expressionisme allemand, apparaît lorsque la menace de la Première guerre mondiale se fait sentir. Les artistes sont engagés contre tout ce qui bloquait la société allemande. Il y a une grande crise de valeurs car les valeurs traditionnelles sont remplacées par l’industrialision et le capitalisme. Comme les œuvres de cette période, le tableau de Nu devant le miroir mène à une

d'immoralité par bon nombre de leurs contemporains, les réalistes défendent avec force leurs romans : « Un roman est un miroir qui se promène sur une grand-route. Tantôt il reflète à vos yeux l'azur des cieux, tantôt la fange des bourbiers de la route. Et l'homme qui porte le miroir dans sa hotte sera par vous accusé d'être immoral ! Son miroir montre la fange, et vous accusez le miroir ! Accusez bien plutôt le grand chemin où est le bourbier, et plus encore l'inspecteur des routes qui laisse l'eau croupir

d'immoralité par bon nombre de leurs contemporains, les réalistes défendent avec force leurs romans : « Un roman est un miroir qui se promène sur une grand-route. Tantôt il reflète à vos yeux l'azur des cieux, tantôt la fange des bourbiers de la route. Et l'homme qui porte le miroir dans sa hotte sera par vous accusé d'être immoral ! Son miroir montre la fange, et vous accusez le miroir ! Accusez bien plutôt le grand chemin où est le bourbier, et plus encore l'inspecteur des routes qui laisse l'eau croupir

sont chargés d’objets symbolique de la chrétienté. Dans le miroir (au 1er plan) on voit un personnage devant la fenêtre. C’est un procédé (souvent utiliser par des flamand) qui permet de crée un lien avec l’espace extérieur de la toile. La porte, sur la droite du tableau, est entrouverte et on voit a travers un vieillard et un jeune homme qui discute. La carafe sur l’étagère renvoi une lumière terrestre par le reflet de la fenêtre. Ces trois dernier éléments, le miroir, la port et la carafe

mortelle de l’homme en représentant un crâne, symbole de vanité. Cette œuvre fait partie du style fantastique. Description : Cette peinture est constituée de deux « plans » : Premier « plan » : une femme se regarde dans un miroir. Second « plan » : le miroir, la coiffure de la femme et son reflet dessinent un crâne. Cette œuvre a pour sujet : le temps qui passe, la mort et la vanité. La lumière vient de la fenêtre qui est supposée être sur le côté droit du tableau. Elle semble naturelle