La Symbolique Du Miroir

en 1912 il suit une chronologie. c'est la journée fictive du poète --> symbolique de la vie entière du poète → terme métonymique. Lecture du poème v109 → fin Commentaire littéraire 1) MODERNITÉ : cf. incipit « A la fin tu es las de ce monde ancien » a. L'énonciation : tournoiement des personnes au cours du poème avec comme récurrence la deuxième personne (le poète se dédoublant, se regardant dans un miroir et/ou s'adressant au lecteur). b. L 'éclatement des lieux et ds temps :

Florence. c) Femme aimée ou cadavre. Métaphore filée de Florence comme maladie qui renvoie au gouvernement des Médicis. Rôle miroir de Florence Image essentielle chez Musset de la noyade (III,3 : Florence noyée de vin et de sang) La ville occupe plus souvent le rôle de personnage à part entière soit parce qu’elle à un rôle dans l’intrigue soit par un rôle miroir. II. La cité, un enjeu au centre de tous les fils de l’intrigue. En quoi la ville est aussi objet de désir convoitée par toutes

représenter en roi | |Soleil. | |Le soleil continue aujourd'hui à conserver sa valeur symbolique à travers les drapeaux de nombreux états : Argentine, Japon... | |[pic]

partie du contexte historique d’une époque ? L’auteur en est-il prisonnier ou peut-il aussi jouer, s’en extraire, voire s’en libérer ? Nous verrons dans un premier temps le roman en tant qu’il est ce miroir que le romancier promène sur le chemin, nous verrons ensuite qu’il ne peut être qu’un miroir, car en quoi se distinguerait-il alors du simple documentaire, et enfin nous verrons également qu’il peut tout simplement refléter une âme. Les hommes sont dans l’Histoire, presque prisonniers de la société

historique d’une époque ? L’auteur en est-il prisonnier ou peut-il aussi en jouer, s’en extraire, voire s’en libérer ? Nous verrons dans un premier temps que le personnage de roman peut assumer cette fonction de miroir plus ou moins déformant, nous verrons ensuite qu’il ne peut être qu’un miroir sans quoi il se ne distinguerait pas alors du simple documentaire. Il peut tout simplement refléter ce que la société pense d'elle-même. C'est ce qui sera examiné dans une troisième partie.

montait lentement…il sonna » page 49 à 51.(l’image de soi et l’identité l’es- pace et sa valeur symbolique) symbolique 3. I,3 « Il demeurait embarrassé…Signez s’il vous plaît »page 75 à77 (la leçon d’écri- ture, l’exotisme colonial

 Du concret à l’abstrait à travers les temps, qui reflètent l’état du poète et l’avancée su songe : présent et impératif, conditionnel puis présent (présent du rêve où se mèlent rêve et réalité). Une évolution vers le sommeil. II. Un voyage symbolique sous le signe de l’amour 1. Un voyage par et pour l’aimée  L’aimée donne un sens au voyage (la destination du voyage est assimilée au corps de cette dernière). Le poète n’apprécie le voyage que parce qu’il ressemble à la femme (« qui te ressemble

violences physiques ou encore un rejet totale de considérer l’handicapé comme une personne. Ce rejet peut s’expliquer par la peur de la différence, ou bien comme le dit Pascal Prayez dans Le Miroir du Handicap, qu'elle relève plutôt de « la peur de la ressemblance : c’est à dire considérer que le handicap est un miroir qui renvoie aux personnes «valides» un reflet à la fois fascinant et inquiétant... « L’anthropologie médicale montre que la maladie est d’abord un désordre, une menace pour le groupe d’individu

que j’ai tracé et vous présenter devant vous ce jour. Nous constatons de suite que selon le Rituel du grade de Compagnon, ce thème est inscrit sur le rideau que l’Apprenti lit à haute voix lorsqu’il est conduit par les deux surveillants devant le miroir, durant son passage au grade supérieur et aussi toujours dans le Rituel, la première partie de ce thème est la condition à laquelle nous Maçons, pouvons parvenir à chercher à se connaître pour faire de nouveaux progrès dans la Franc-maçonnerie

sur un terrain extrêmement difficile et presque entièrement monopolisé aujourd’hui par des femmes", confie-t-il. C’est la logique de l’ensemble de ses recherches qui le pousse à traiter ce sujet, qui fournit l’exemple par excellence de la violence symbolique et de la soumission à l’ordre établi. Bourdieu démontre que cet ordre n’a rien de naturel et il a la ferme intention de le battre en brèche. Même s’il reconnaît l’intérêt des luttes féministes menées jusqu’à présent, il considère que celles-ci se