La Théorie De La Mouvance Des Fiefs

mort. Il faut donc élire un nouveau roi pour lui succéder : 2 prétendants : Charles de Lorraine (oncle du roi défunt donc carolingien) et Hugues Capet (fils de Hugues le Grand et serait né ver 938). A la mort de son père, Hugues Capet possède les fiefs de Paris, Etampes, Melun, Orléans, Senlis,… et a le titre de duc de France. Il est Robertien. Lors d’une assemblée tenue à Senlis, les arguments des 2 prétendants sont échangés : - Charles de Lorraines met en avant son appartenance aux carolingien

est en relation avec le sacré, il parle au nom de Dieu, et Dieu n’est pas le Roi. Jusqu’ou l’évêque doit il se soumettre, très vite querelle, Rémi dit « l’évêque tiens son pouvoir du Roi » les hommes d’églises doivent obéir aux Rois. 3 2eme théorie qui s’oppose à Rémi, Gélase dit « les évêques doivent obéir au Roi tant que leur indépendance ne sont pas menacer » une église indépendante au pouvoir royale, donc supérieur au pouvoir royale. Le conflit entre le pouvoir Civil et Religieux est déjà

aux textes. Les tribunaux sont là pour faire respecter le droit & le droit respecte l’intérêt général. Lorsque le bien public est plus important que l’intérêt général alors on régresse. Le droit positif : droit qui s’applique actuellement. La théorie du droit : qui ne porte pas spécialement sur le droit mais plus sur les concepts. L’histoire du droit : 1ere fac au 12eme siècle jusqu’au 19eme siècle on étudiait l’histoire du droit, les règles juridiques essentiellement les règles très anciennes

empiristes), ds la pratique et non en théorie, se réfère à la spécificité des cas traités, idée : utilité commune, démarche très empirique _ un des élèves de Labéon, Proculus fonde l'école des Proculiens, démarche + attentive à la cohérence du droit, s'attachent à regarder les opinions soumises en jurys-prudence, analyse très rigoureuse des textes ces 2 écoles refusent tout esprit de système, leur démarche part de l'analyse des faits, qui leur fait développer leurs théories ils ont un prestige énorme à Rome

de son pouvoir10. La guerre féodale revêt plusieurs aspects. À l'époque carolingienne, seuls les empereurs ou les rois mènent ou font mener la guerre par lescomtes et les évêques de leurs pagi. Au milieu du xe siècle, les seigneurs détenteurs de fiefs font la guerre pour leur propre compte, soit entre eux, soit contre le roi selon les liens de vassalité. L'ordre social et économique des militia se met en place avec l'adoubement et leschâteaux forts qui servent à la chevalerie pour conduire ses campagnes

roi, dans le serment du sacre, promet de rendre justice « aux peuples qui lui sont confiés », chacun selon ses lois, ses coutumes, ses privilèges. Le royaume est une mosaïque de provinces et de peuples. Au XVIIIème siècle, la théorie de la souveraineté populaire, la conception que l’autorité suprème dans le corps politique doit revenir au peuple lui-même, est à nouveau agitée, étudiée et défendue par Jean-Jacques Rousseau ( 1712-1778 ), dans Le Contrat social notamment. Pour Rousseau

on va essayer de l’élargir et donner une définition plus large, et plus tard on a commencé à dire que le droit était la volonté du juge, c’est la jurisprudence. Et on va un peu élargir on dira que le droit c’est aussi la doctrine c’est-à-dire la théorie des facultés de droit. Le droit se confondait avec ses sources. Mais cette vision va triompher au 19e siècle et ce siècle va identifier le droit à ses sources formelles. Mais le droit ce n’est pas que cela, car il y a des sources réelles, il surgit

tp de déplaisir. L’emploi des armes deviendra même béni par l’Eglise. 2) La légitimité de la guerre contre les infidèles Tradition chrétienne primitive : interdiction d’utiliser les armes Au IVème siècle, l’Eglise d’Occident exprime une théorie de la guerre juste : Saint Augustin reconnaît la légitimité de la guerre défensive. En promettant des récompenses célestes aux combattants, on passe de la notion de guerre juste à celle de guerre sainte. Au IXème siècle, les papes créent une milice

l'absence de réponse, il n'existe pas de véritable droit : "ce ne me paraît pas un progrès" (qu'il n'existe plus de droit) selon lui. Villey a eu cette idée de rassembler un cercle de juriste, et cette idée va se réaliser en 1889, par la revue "Droits" (théories juridiques). L'idée de cette revue est de demander à une cinquantaine d'auteurs de rédiger une réponse sur l'utilité du droit. Plusieurs réponses données, parmis lesquelles un travail de synthèse aurait dû donner de grandes définitions. Mais l'objectif

l’homme vers la pureté tandis que le droit religieux concerne des règlements de paix politique et social. Ces droits religieux sont des droits pragmatiques, empiriques. Sur le codes les lois sont présentés comme n’étant pas des grands principes ni des théories mais des solutions données pour chaque cas d’espèce. De plus ce code ne tente pas de tout regler mais il essaye de donner des solutions pour des situations de cas les plus frequents. Le vocabulaire ignore les termes comme ceux du contrat ou de mariage