La Théorie Du Choix Du Consommateur

microéconomie se préoccupe des choix faits de manière décentralisée par des agents rationnels et des conséquences économiques de ces choix. C’est une définition qui en vaut bien d’autres, sauf qu’elle permettra d’attirer l’attention sur ce qui est au cœur du présent ouvrage : le concept d’équilibre. Même quand la présentation choisie n’est pas – comme ici – très formalisée, la microéconomie est conçue sur le mode axiomatique. C’est fondamentalement une axiomatique des choix faits par des agents, dans

développement). Il existe aussi un commerce intra-branches (principalement entre pays développés) qui s’explique par le goût des consommateurs pour la variété. II. Les théories du protectionnisme La concurrence internationale est jugée néfaste pour certains pays et secteurs qu’il convient de protéger. La !" protection des industries dans l’enfance • Le protectionnisme éducateur peut échouer. Exemple : Algérie, Amérique du sud où les aides ont été attribuées à des secteurs non rentables

COUT ALTERNATIF 1.2.6 L’ESPRIT CRITIQUE 1.2.7 LES DIMENSIONS DU CHOIX 1.2.7.1 La dimension spatiale 1.2.7.2 La dimension temporelle 1.2.7.3 Dimension humaine et maturité 1.2.7.4 La dimension sociale 1.3 LA METHODE ECONOMIQUE 1.3.1 SCIENCE REPRESENTATION SIMPLIFIEE 1.3.2 APPROCHE ANALYTIQUE, APPROCHE SYSTEMIQUE 1.3.3 THEORIES EXPLICATIVES ET THEORIES NORMATIVES 1.3.4 MICRO MACRO 2. LE CONSOMMATEUR ET LA DEMANDE 2.1 LE CONSOMMATEUR 2.2 LE CADRE PSYCHOLOGIQUE 2.2.1 LA RATIONALITE 2.2.2 L’UTILITE

différents types de ressources . . . . 1.2.2 Choix et coûts d’opportunité individuels 1.2.3 Choix et coûts d’opportunité collectifs. . 1.2.4 Frontière des possibilités de production . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 4 7 7 8 10 14 2 La théorie néoclassique du consommateur 2.1 La contrainte budgétaire . . . . . . . . . . . 2.2 Les préférences du consommateur. . . . . . 2.3 La fonction d’utilité . . .

approche purement théorique qu’une approche empirique. L’approche théorique : a pour but de proposer des modèles d’analyse permettant de comprendre la dynamique industrielle dans une région donnée. Ainsi le fondement de l’approche théorique et la théorie néo-classique qui permet de dégager les mécanismes économiques du marché influençant la dynamique industrielle. Par contre l’approche empirique essaye d’étudier les comportements de la firme en prenant en considération les structures et les objectifs

ECONOMIE NOTION DE BESOIN En économie il n’y a pas de besoin, au sens littéral du terme. Qui dit besoin dit nécessiter pour satisfaire. Pour l’économiste l’individu a toujours le choix de satisfaire ce besoin ou pas. Pour l’économiste besoin=envie, désir. C’est l’individu qui est libre de ces choix, c’est lui qui sait ce qui est bon pour lui. L’économiste n’a pas a juger de la pertinence de la moralité des besoins. par exemple pour un économiste la drogue est utile. Ce n’est pas bénéfique mais

lui sont spécifiques. Le développement de la science économique a débouché sur des théories représentatives d’écoles de pensée. Bien les connaître signifie qu’il faut être capable de comprendre les hypothèses et la méthodologie retenue. Cette étape franchie, il est possible de porter un jugement critique en dehors de tout présupposé idéologique. Ensuite, après avoir compris les règles de construction des théories, il s’agit d’apprécier leurs conclusions comme leurs recommandations sur les grands

NEOCLASSIQUES INTRODUCTION théorie prédominante dans les écono capitaliste, fondée 1870’. néoclassiques = MARGINILISTES (raisonnent à la MARGE : théorie différentielle de RICARDO) Utilité marginale : UTILITE de la dernière unité achetée / Productivité marginale : PRODUCTIVITE du dernier salarié embauché Les fondateurs : WALRAS L : Franco-suisse, école de Lausanne (La théorie du modèle général; 1874, son livre « Eléments d’économie politique pur ») ; MARSCHALL A (La théorie des ciseaux) Pourquoi

confrontés à plusieurs phénomènes : • • l’arrivée à maturité de nombreux marchés de grande consommation, d’où un durcissement de la concurrence, un nombre très important de marques encombrant les marchés, et donc les linéaires, de même que l’esprit de consommateurs aux capacités d’attention et de mémorisation limitées. Cela s’explique notamment par la large utilisation des stratégies de marquesproduits et de marques-gammes et par le développement des marques de distributeurs à partir du milieu des années

Chapitre 1 définition : concept : fonction du produit dans l’univers de consommation Segmentation du marché : il s’agit de découper le marché en segment homogène but : action marketing spécifique a chaque consommateur Découpage en fonction de trois critères : * sociodémographique (âge, pcs, type d’habitat, région d’habitation, sexe…) * psychographique (comportement psychologique, style de vie mentalité d’aventurier) * comportementaux comportement d’achat fruit des