La Tirade De Don Louis

par exemple, endormissement de Bartholo pendant la leçon de piano, etc...) - collage (procédé facile et peu épuisant pour l'auteur) de chansons, de fandangos espagnols sur des airs empruntés au folklore - comique de personnage : des stéréotypes (Don Bazile, le faux dévot, l'homme de la défroque) - comique de situation : la confrontation des maîtres et valets, leitmotiv littéraire depuis Plaute (Titus Marcus Plaute, vers 250 à 184 avant notre ère, auteur de la Marmite, du Soldat fanfaron), jeux

référence au mythe. Comme la pièce de Dom Juan sera interdite elle tombera dans l’oubli. Etonnamment, l’œuvre refait surface grâce à Don Giovanni (MOZART), inspiré de Da Ponte. Cela va redonner au mythe une autre vigueur. Entourée de la musique, le mythe fait le tour de l’Europe et prend une dimension plus romantique. Le côté séducteur va revivifier la pièce, ça va donner lieu à de nouveaux Dom Juan. Au 18ème siècle, le mythe va se trouver en rivalité avec d’autres séducteurs qui existeront dans la vie

 Conclusion texte 1 Conclusion : Nous assistons dans cette tirade de Créon, extrait de l’ Œdipe roi de Sophocle, à un véritable plaidoyer de Créon, plaidoyer dans lequel il tente de se disculper aux yeux du roi. Pour ce faire, il argumente de façon rigoureuse, usant de tournures interrogatives qui impliquent très fortement l’interlocuteur. Par ailleurs, l’intérêt de ce plaidoyer est de mettre en évidence une vision très spécifique du pouvoir et des conditions de son exercice : Créon nous

1 Acte I - Don Salluste 2.2 Acte II - La reine d'Espagne 2.3 Acte III - Ruy Blas 2.4 Acte IV - Don César 2.5 Acte V - Le tigre et le lion 3 Analyse 4 Création et accueil 5 Distribution lors de la création de la pièce 6 Mises en scène notables 7 Postérité 8 Notes et références 9 Lien externe Personnages[modifier | modifier le code] Ruy Blas, valet de Don Salluste Don Salluste de Bazan, marquis de Finlas. Personnage sombre, peu scrupuleux et très attaché à son honneur Don César de Bazan

Victor Hugo est né à Besançon le 26 février 1802. Son père était un général de Napoléon . Onze ans plus tard il se rapproche de sa mère, séparée du général. Il grandit a Val- de- Grâce. Il s'éleva tout seul, lût beaucoup et reçut 2000 francs par Louis XVIII pour son livre. Il se maria en 1822.En 1827 et 1830, il fit beaucoup de romans (ex:Ballades et nouveaux recueils d'odes, Cramwell, Marion de lorme drame en vers...). Victor Hugo multiplie ses créations en 1831 jusqu'en 1843: Notre dame de Paris

Quelques notions de théâtre La pièce de théâtre doit être représentée, la double énonciation est quand l’acteur s’adresse à une autre ET au spectateur, les acteurs échangent des répliques (stichomythies), surtout lors des scènes d’affrontements, de tirade ou de monologue. Texte B : Dom Juan : le Séducteur à l’œuvre Problématique : Sous quels jours Dom Juan se découvre-il dans cette scène ? Cette scène appartient à l’acte II de Dom Juan, pièce écrite par Molière en 1665, dominée par Dom Juan qui est

qui fait exception aux règles classiques (texte en prose, se termine mal, mélange les registres), thème du libertinage * En quoi la tirade de Dom Juan permet-elle de faire une démonstration de la puissance verbale du héros ainsi que le portrait d’un homme redoutable, libertin avec un esprit critique ? 1) Eloge de l’inconstance, vision de l’amour a- Tirade comme réponse à Sganarelle b- Dépréciation de la constance et de la fidélité c- Argumentation pour plaider son innocence

Marivaux, L'île des esclaves, 1725. Scène 2 : La tirade de Trivelin. Introduction Lorsqu’il publie L’Île des esclaves, en 1725, Marivaux s’inscrit dans cet esprit de la Régence qui regarde d’un œil critique le long règne de Louis XIV, avec ses conséquences, dont peut-être le goût de l’arbitraire et du pouvoir. Mais Marivaux, s’il s’inscrit dans les Lumières naissantes, n’en est pas pour autant un révolutionnaire. Dans la scène d'exposition, qui précède directement l'extrait que nous allons

se dessine à travers ce courant. Ce mouvement littéraire et artistique se développe en France, et plus largement en Europe, dans la deuxième moitié du XVIIe siècle, il se traduit par un regard tourné vers l’antiquité. Il marque la fin du règne de Louis XIII (1648 – 1652), le régime est sur le déclin. La démarche des écrivains classiques est la même qu’au Moyen Age et plus particulièrement à l’époque de la renaissance, où les principaux auteurs se penchaient sur le talent des anciens, pensant que

ensuite à Gusman (il est venu avec Done Elvire, qui recherche son mari). Sganarelle décrit Don Juan comme un personnage infidèle, libertin et grand séducteur. Quand celui-ci approche, Sganarelle informe Gusman que cet aveu restera secret. 2 - Acte I, scène 2 Dom Juan demande ce que pense Sganarelle de la vie qu'il mène. Celui-ci n'est pas d'accord avec le comportement de Dom Juan. Ce dernier, dans une tirade, lui explique ses motivations : l'amour ne devrait pas avoir de limites. Sganarelle craint