La Tirade Des Reproches

interlocutrice. A partir de là, elle s’abandonne complètement à l’épanchement de ses sentiments jusque- là refoulés. C’est l’occasion pour J. Racine de lui écrire une tirade dans laquelle s’exprime toute la fureur sentimentale d’une femme qui semble avoir perdu le contrôle d’elle-même. On s’intéressera plus précisément au début de cette tirade, où Phèdre décrit le bouleversement complet qu’a constitué la rencontre avec Hippolyte, avant de se présenter comme une victime de la fatalité, incapable de sortir

la première, le 28 décembre 1897, l'atmosphère d'abord est tiède, le public ne paraît pas conquis. Mais les premiers applaudissements crépitent après la tirade des nez, puis après la ballade du duel. Au deuxième acte, un chapelet de morceaux de bravoure — le douloureux entretien de Cyrano et Roxane, la présentation des cadets de Gascogne, la tirade éclatante des «Non, merci!», enfin le récit du combat de la Porte de Nesle interrompu par les provocations de Christian — confirme le succès, stimule les

les 15 premiers vers du Misanthrope de Molière : Alceste, en colère contre son ami Philinte. Une tirade :Longue réplique ; elle permet au personnage de développer une argumentation ou de s'épancher avec lyrisme. Réduits à un temps de silence, ses interlocuteurs rejoignent en quelque sorte la situation de spectateurs.Exemple : la tirade de Dom Juan dans l’acte I, scène 2 (l.134-176).Un aparté : Partie du discours d'un personnage qui est destinée aux spectateurs

n° 9). Par moments, Hernani semble s'adresser à lui-même en une sorte de soliloque (vers, 2, 9, 12-13, 21-30). 2. L'expression «vos meilleurs fils» désigne les vaillants Espagnols qui ont suivi Hernani sur le chemin de la rébellion. 3. Hernani se reproche d'avoir causé la mort de ses partisans. Il prie doña Sol de le quitter, car continuer à l'aimer la condamnerait au même destin tragique. 4. «Tout ce qui n'est pas moi vaut mieux que moi». Hernani donne de lui une image négative, dans le but d'éloigner

arguments. La présence d’arguments est corroborée par celle des connecteurs logiques : « Lorsque» (v.23, 24), « Enfin » (v.25), « Avant que » (v.33), « Mais » (v.41, 57), … Bérénice donne l’illusion d’avoir une emprise sur Titus dans sa dernière tirade qui débute par une antiphrase : « Eh bien ! Régnez, cruel ; contentez votre gloire », dans ce vers elle ne souhaite pas qu’il règne mais qu’elle l’aime, elle se fait l’avocat du diable pour faire mieux ressortir la justesse de la thèse qu’elle défend

de sa conquête de Lesbos. Scène 1, II, 1ère scène où apparaît ce personnage inventé par Racine pour dénouer sa pièce. Scène qui constitue une surprise dans la mesure où Eriphile se révèle être amoureuse d'Achille, promis à Iphigénie (lecture). Tirade qui raconte la naissance de cet amour sur une tonalité tragique. Comment le discours amoureux d'Eriphile fait d'elle un personnage tragique par excellence ? I - La naissance de l'amour Récit de l'enlèvement coïncidant avec la naissance

coudre et filer ». Il dit aimer mieux « une laide bien sotte qu’une femme fort belle avec beaucoup d’esprit », l’honnêteté lui suffit, ainsi une jeune femme soumise , pleine de dépendance n’ayant à reprocher la dot qu’elle lui avait apportée ou se plaindre d’avoir fait une mésalliance. Quelques tirades d’Arnolphe nous font comprendre qu’Agnès est « la femme idéale » qu’il cherchait. Elle parait bien sotte sans trop d’esprit ni de de réflexion, élevée au couvent, ne sachant pas définition d’une rime

horaires fixes. Léon voudrait se décharger sur Hélène des reproches à formuler. Echo de la scène 1 où Léon demande à Hélène de prévenir les ouvrières qu’il n’y a plus de tissu => querelles Au cours de la conversation, on apprend le passé de déporté du presseur. Attitude vis-à-vis du presseur : ❖ de Léon : cynisme _ parle avec franchise, brutalité et ironie _ valorise sa résistance physique mais a du mal à lui parler, à lui adresser des reproches, à lui donner des instructions comme à chaque ouvrier

souffrance « j’ai tout ensemble la jalousie d’un mari et d’un amant », aucune porte de sortie pour lui… Cela est renforcé par les adverbes intensifs « tout ensemble ». - D’ailleurs le « il est trop noble » sonne à double sens…comme un éloge et comme un reproche ! - La fin du passage nous montre une Princesse de Clèves catégorique, donc qui domine : « je suis résolue », « la prudence veut pas »… ton tranchant face à un mari qui a perdu sa dignité en partie… c) Deux douleurs faussement symétriques : l’explosion

III: Complots et drame. Scène 1: L fait semblant de se battre (pour éviter étonnement le jour du meurtre) Scène 2: Philippe décide préparer ses dils à la conjuration. Scène 3: Révélation: officiers arrêtent Thomas et Pierre, L révèle à P (tirade) sa véritable personnalité et ses desseins. Scène 4: Catherine lit épouvantée la lettre que le duc a envoyée. Scène 5: cardinal rend une visite à sa belle-soeur, qui ne peut le recevoir puisqu'elle a un RDV avec le duc. Scène 6: marquise