La Titrisation Liquidité Bancaire

concurrence entrainait des rentes de monopoles pour beaucoup de groupe d'intérêt, et les institutions économiques en place n'étaient pas prêtes à perdre cela. Elles étaient prêtes à payer pour les garder. Il y a eu aussi la bureaucratisation du secteur bancaire, les conflits d'intérêt passé sous silence. Puis arrive les années quatre-vingt avec la révolution libérale de Pierre Bérégovoy en 1984. On va assister à une libéralisation de la finance, il n'y aura plus de contrôle des changes, la bourse « se

des risques. Des nouvelles pratiques financières amplifient le développement des subprimes de façon considérable avec le développement du marché des titres des crédits subprimes. Le laxisme des critères d'attribution est lié à l'essor de la titrisation qui correspond à une technique financière qui transforme les actifs illiquides en titres liquides. Il convient de souligner que le moteur de l'économie en particulier aux Etats Unis est la consommation, et celle-ci a été particulièrement favorisée

Contexte 3 2 Architecture de Bâle III 3 3 Principales mesures 4 3.1 Amélioration de la qualité des fonds propres 4 3.2 Renforcement du niveau des fonds propres 5 3.3 Maîtrise de l’effet de levier 7 3.4.2 Ratio de liquidité à long terme 8 3.5 Couverture des risques du portefeuille de négociation 9 4 Calendrier de mise en oeuvre des mesures 2. Architecture de Bâle III 10 5 Chantiers à venir pour les établissements 8 Domaines d’expertise de KPMG

d'un marché unique des capitaux sur lequel peuvent intervenir l'ensemble des agents économiques et qui est composé de deux compartiments (le marché interbancaire et le marché des créances négociables * une augmentation de la concurrence : la loi bancaire du 24 janvier 1984 permet l'unification des statuts des établissements de crédit (principe d'universalité), assouplissement puis suppression de l'encadrement du crédit II - LE ROLE DES MARCHES DE CAPITAUX DANS LE FINANCEMENT DE L’ECONOMIE.

l'économie (entreprises, état et collectivités), d’assurer la liquidité et la mobilité de l'épargne investie en valeurs mobilières, de fournir une évaluation régulière des titres cotés. En cela, il permet la rencontre des agents à capacité et à besoin de financement. L'économie de marchés financiers privilégie la finance directe qui permet à l'offre et à la demande de capitaux de se confronter directement sans passer par le financement bancaire. Le marché financier se décompose en marché primaire qui

totalité de la relation bancaire et la réalisation du prêt de l'étude préliminaire jusqu'au recouvrement en cas de contentieux. Aux États-Unis, chaque étape peut être sous-traitée à un intervenant différent avec un vendeur de crédit chargé de « sourcer » les emprunteurs, un organisme prêteur pour débloquer les fonds (généralement sans épargne en face : l'organisme se finance lui-même à court terme sur les marchés, ce qui est un problème supplémentaire en cas de crise de liquidité), un organisme pour

-Effets sur les emplois : -Effets sur les marchés  -Effets sur les propriétaires  Section 2 : La crise de confiance, fruit de la crise financière 1- Recours abusif à la titrisation 2- Réaction de l’Etat Américain ou l’arnaque ultime Chapitre II : Les défaillances du système Section 1 : La pratique du taux d’intérêt Section 2 : La Spéculation Deuxième

la masse monétaire. Les BC ont le monopole de la création des billets, les billets en euro zone font partie de la masse monétaire de base (monnaie centrale).Les comptes créés auprès des banques centrale font partie de la base monétaire. La monnaie bancaire peut être remboursée en une monnaie plus fondamentale (la monnaie de base) tandis que la monnaie de base ne peut pas être remboursée par une monnaie plus fondamentale. Les banques commerciales peuvent être incapables de donner suite à des demandes

les tout puissants que nous pensions être devenus. Le retour de l’autoritarisme étatique est-il le commencement d’une nouvelle dictature ? La crise est-elle la raison pour redorer le blason du politique ? Le système bancaire français a toujours été la lanterne rouge du système bancaire mondial, spécialement la banque anglo-saxonne. Ce phénomène a quelque peu préservé la France des difficultés des pays anglo-saxons. Les Français ont opté pour un capitalisme dirigé dans leur besoin de tout prévoir.

DOSSIER Bâle 3, quel impact sur les modèles bancaires ? 4 Bâle 3 : quel impact sur les modèles bancaires ? Didier Valet (1992), Directeur Financier, Société Générale La réglementation dite « Bâle 3 » conduira les banques à consacrer tous leurs profits des prochaines années à accroître leurs fonds propres. L ’augmentation du coût de la ressource devra être intégrée dans la tarification des services de la banque de détail. Les activités de banque de financement seront les plus affectées,