La Tolérance Religieuse Montesquieu

et la liberté d’esprit -idée de départ : traduire l’Encyclopédie d’Ephraïm Chambers, parue en Angleterre en 1728. - Diderot et D’Alembert deviennent responsables de sa publication et recrutent des collaborateurs (Rousseau, Daubenton, Buffon, Montesquieu, d’Holbach, Marmontel, Voltaire...). Acteur clé du projet est Diderot : crée l’Encyclopédie, travaillait sur des centaines d’articles sur comment sont fabriqués les produits. Ecrivain, philosophe, encyclopédiste français. Il s’est fait emprisonné

MONTESQUIEU, LES LETTRES PERSANES LETTRE XXIV (Introduction) Montesquieu (1689-1755) est un magistrat et écrivain français des lumières, moraliste, penseur politique et auteur de nombreux ouvrages associant histoire et philosophie politique parmi lesquels « De l’esprit des lois ». Il a voyagé en Europe et en Angleterre où il a observé la monarchie constitutionnelle et parlementaire qui a remplacé la monarchie autocratique présente en France (Louis XIV). Il prône ce qu’on appellera « le principe

s'instruire de petits détails ». Dans son texte KANT, évoque de la même façon ce soucis de la connaissance dans tous les domaines et le libre choix mais ajoute l'idée de tolérance. En effet, comme les philosophes cherchent à ce que chacun forge ses idées; il va de soi que tout le monde n'aura pas le même d'où l'importance de la tolérance. L'élément moteur de cette philosophie et donc bien la raison. Qu'est-ce que l'Encyclopédie? L'Encyclopédie éditée entre 1751 à 1772, est un dictionnaire raisonné

scientifique, mais se répand aussi en imprécations contre lui. Sur le plan des mœurs, il mêle l'apologie de la frugalité à celle du luxe. De telles contradictions ne s'expliquent vraiment que si l'on voit en lui le porte-parole intermittent de Montesquieu (voir nos lectures, page suivante). RICA jeune homme vif à l'œil moqueur, il égratigne, ironise et reste incomparable pour arracher les masques et traquer les faux-semblants. marqué plus vite qu'Usbek par les différences, il évolue plus

néanmoins par ses tendances générales. Au 18ème siècle, on ne trouve plus de grands écrivains parmi les hommes d’église et les défenseurs de la religion ; et si l’on rencontre encore quelques chrétiens respectueux, comme Montesquieu et Buffon, dont les idées religieuses ne pénètrent d’ailleurs pas beaucoup des œuvres, déjà l’on compte des écrivains, qui, comme Voltaire et Jean Jacques Rousseau, furent de simples déistes ; et surtout il y a tout un groupe de philosophes franchement hostiles la

et XVII siècles. b)L’édit de Nantes est un édit de tolérance promulgué le 13 Avril 1598 par le roi de France Henri IV et révoqué par Louis XIV dans un nouvel édit, l'édit de Fontainebleau le 18 Octobre 1685. Cet édit accordait notamment des droits de culte, des droits civils et des droits politique aux protestants. c)C'est la fin des persécutions religieuses : l’Église catholique connaît un renouveau, et applique davantage de tolérance. Le Régent libère même les jansénistes, opposés aux Jésuites

les penseurs anglais Newton et Locke. Ils prennent comme modèle le système politique anglais de monarchie parlementaire accordant une grande liberté religieuse et intellectuelle à ses sujets. Au XVIIIe siècle voici les philosophes les plus marquants, ceux qui ont durablement influencé la pensée politique française et européenne : * Montesquieu (1689-1755) dans les « Lettres persanes » et « l’Esprit des lois » (1748). Il prône une séparation des pouvoirs (exécutif, législatif, judiciaire) pour

Le siècle des Lumières : Après l’importante stabilité politique et religieuse du XVIIe siècle, le XVIIIe siècle apparaît comme une période d’intense fermentation intellectuelle. Les Lumières désignent un mouvement intellectuel européen : il s’agit des « lumières » de la raison, que l’homme doit pouvoir exercer librement pour accéder à une totale indépendance intellectuelle, morale, spirituelle. L’Angleterre fait figure de modèle par son régime politique et l’étendue de ses libertés. Le mouvement

raison seulement, reniant, pour la plupart, la notion de créateur. La monarchie française reposant jusqu'à lors sur une légitimité divine et indiscutable, ceux-ci furent considérer comme une menace par leur indépendance de toute règle moraliste ou religieuse, imposé par une Église sainte, un État tout puissant ou même une tradition ancrée. Il voulait eux la méritocratie, dans une justice universelle et une entente. Combats et œuvres Denis Diderot L'Encyclopédie : 1747 - 1765. Combat intellectuel

gouvernementale » Section II - La Constitution comme « instrument de limitation du pouvoir §1) La constitution comme opposition au pouvoir absolu A/ Locke et Montesquieu, les deux pères fondateurs du constitutionnalisme 1/ John Locke, père fondateur du constitutionnalisme moderne 2/ Montesquieu ou la conception libérale de la conception « organique » ou « institutionnelle » de la constitution B/ L’œuvre de Sieyès ou le triomphe du constitutionnalisme abstrait sous