La Tolérance Suppose T Elle Que Toutes Les Opinions Se Valent

réponse suppose déjà toute une conception philosophique de l'homme, celle, en l'occurrence, que l'on trouve à partir de Descartes. Pour lui, nous sommes des sujets, des consciences, qui ne connaissons le monde qu'à partir de nous-mêmes, de notre point de vue "subjectif", et qui par suite se suffisent entièrement à eux-mêmes. Conséquence : autrui est, on le verra, un problème, à la fois au sens 1) et au sens 2). Répondra-t-on alors à ce point de vue cartésien qu'autrui, c'est un autre "homme", tout simplement

Peut-on tout nous faire croire ? Pourquoi nous laissons-nous persuader si facilement ? Comment savons-nous ce qu'il faut croire ou non ? « Peut-on tout croire ? ». Problématique : Comment régler ses croyances ? Enjeu : Nous sommes portés à croire lorsque nous ne sommes pas en mesure de savoir avec précision. Autant dire que la croyance est aussi inévitable que nécessaire tant sont nombreuses nos ignorances. Mais il appartient à la raison de ramener dans des limites acceptables ce

utilisée de façon pragmatique pour mettre fin à une discussion qui tourne mal en laissant entendre aux interlocuteurs que leurs opinions sont de même valeur. Mais on prétend parfois, à titre théorique cette fois, que chacun a sa vérité. L'expression se transforme alors en une thèse selon laquelle chacun possèderait sa vérité. Par exemple, relativement aux deux opinions suivantes, beaucoup soutiendront que chacun a sa vérité : (1) Dieu existe (2) Dieu n’existe pas Certains diront que (1)

L’individu nous intéresse dans la mesure où il est représentatif des autres. Il n’est pas l’objet de notre étude. On cherche à savoir ce qu’on peut faire comme estimation sur les millions de personnes que nous n’avons pas interroger à partir des opinions de ceux que nous avons interrogés. 2 problèmes à résoudre : Les questions posées permettent-elles vraiment de saisir les mécanismes à l’oeuvre ? à Validité interne Les questions sont-elles généralisables ? à Validité externe. Il y a énormément

sont-elles et dans quelles mesures je peux dire que je ne peux pas douter d'une vérité ? I- Des vérités dont on ne peut douter "Toute l'essence et la force de la vraie religion consiste dans la persuasion absolue" écrit Locke dans Lettre sur la tolérance. Cette citation nous montre qu'il y a une forme de vérité dans la foi qui est une persuasion "intérieure" et "absolue". Intérieure, car elle réside en celui qui a la foi, et absolue, car la persuasion de l'existence de sa foi et de sa croyance est

Celui qui agit d'une façon que je juge mauvaise n'est pas sans principes, il a simplement d'autres principes que moi. Comment l’homme peut-il juger comme bonnes ou mauvaises ses actions et celles d'autrui ? Existe-t-il un bien et un mal en soi ou bien tout code éthique varie-t-il selon une humanité particulière ? Il semble s'opposer deux idées. D'un côté, l’universalisme par lequel l’homme prétend accéder à des valeurs universelles où la morale prétend à la vérité et donc à l’unicité. Le relativisme

d'amitié? (Amitié) Sans mes amis, suis-je moins humain? (Amitié) L'amitié est-elle un fait social? (Amitié) Molière, dans le Misanthrope (Acte I-Scène 1), écrit : "Je veux qu'on me distingue, et, pour le trancher net, l'ami du genre humain n'est point du tout mon fait". (Amitié) Choisir un ami (Amitié) Amitié et insuffisance de l'être (Amitié) "C'est con-jouir et non compatir qui fait l'ami". (Amitié) " Le don, voila ce qui donne l'amitié, voici ce qu'il faut pour qu'il y ait amitié". Derrida (Amitié) "Chaque

d’autres universités françaises ou européennes, et ce de quatre points de vue… Le projet éducatif I7 « Transmettre aux élèves une capacité d’interprétation des événements, une grille de lecture qui leur permettra de se forger, par eux‑mêmes, une opinion et des convictions. » Une formation pluridisciplinaire L’histoire, l’économie, le droit, la sociologie, les relations internationales, la science politique sont les disciplines dans l’étude desquelles s’ancre la formation intellectuelle développée

expressions introductives: "on n'ignore pas que, on se souvient"; les locutions de connivence culturelle: "ces prodiges ne sont-ils pas écrits..."; les rappels: "la renommée a publié de ses cent bouches" rendent tout récit détaillé superflu et permettent l'empilement de faits qu'on laisse supposer encore plus nombreux et merveilleux. Les onze chapitres du conte sont de longueurs trés inégales. Le plus long est le quatrième. Cette longueur se justifie : par un enchaînement rapide d'événements nombreux

expressions introductives: "on n'ignore pas que, on se souvient"; les locutions de connivence culturelle: "ces prodiges ne sont-ils pas écrits..."; les rappels: "la renommée a publié de ses cent bouches" rendent tout récit détaillé superflu et permettent l'empilement de faits qu'on laisse supposer encore plus nombreux et merveilleux. 3. Les onze chapitres du conte sont de longueurs trés inégales. Le plus long est le quatrième. Cette longueur se justifie : par un enchaînement rapide d'événements nombreux