La Truelle Et La Fraternité

par la fraternité et la solidarité maçonniques, sont systématiquement exaltées dans la dernière santé qui est portée, selon les différents textes, à « tous les maçons répandus sur la terre, tant dans la prospérité que dans l’adversité », « à tous les maçons heureux ou malheureux, répandus sur l’un ou l’autre hémisphère », « à nos frères malheureux », « à ceux qui souffrent, qui sont persécutés ». D’autres textes ajoutent : « Pourquoi sommes-nous rassemblés ? – Pour fêter la fraternité et pour

Voilà bientôt un an que j’ai le privilège et le plaisir d’avoir été accueilli parmi vous au sein de la Fraternité Maçonnique ; une courte année, mais riche en écoute silencieuse sur la Colonne du Nord. Depuis mon Rapport d’Initiation, il temps pour moi ce midi d’avoir l’occasion de rompre ce Silence qui est celui de mon âge pour vous présenter ma première Planche, dont le sujet m’a bien entendu été confié par mon Second Surveillant. Au cours de l’un de nos séminaires fraternels entre Apprentis

et la nature. Les perspectives qui aujourd’hui nous assaillent portent non seulement sur l’enjeu d’organisation juste de nos sociétés mais encore sur le principe d’humanité lui-même. Le cinquième voyage que je ne développerai pas, marque par la Truelle l’achèvement du labeur et la glorification du travail. Il vise également au perfectionnement, de plus en plus nécessaire, de l’homme et de la société. On comprend donc bien pourquoi la glorification du travail n’arrive qu’au dernier voyage du compagnon

adjoignent à ce cinquième et dernier voyage, une truelle. Elle doit permettre au Compagnon d’introduire entre les pierres, le mortier qui doit les lier fortement. Ce mortier n’est autre que l’estime réciproque sur laquelle est fondé l’amour fraternel des Francs-maçons. Elle devient alors le symbole de cette force qui rapproche les cœurs des hommes et apporte dans nos rangs l’harmonie, l’union et l’amitié, pour que triomphe l’esprit de solidarité et de fraternité. C’est au plateau du Vénérable Maître

déboucher sur des actions concrètes, à la recherche du Bien dans le cadre de la Loge, dans celui de la famille et de la vie socio –professionnelle ? Sinon à quoi servirions-nous ? Quel serait le but de notre idéal de liberté, d’égalité et de fraternité ? Le jour de ma naissance, il m’a été dit : en Maçonnerie tout est symbole. Mais si le symbole donne de l’intelligence aux choses, pousse à la réflexion, réveille et aiguise l’intuition, devient verbe et lumière pour l’Homme nouveau ou spirituel

A L G D G A D L U DEUS MEUMQUE JUS R E A E A ORDO AB CHAO Au Nom et sous les Auspices du S C D F LIBERTE EGALITE FRATERNITE Du Temple noir au Temple Rouge TS Atirsatha et vous tous mes FF CR+ A l’instar de l’impétrant plongé dans l’obscurité du premier Temple le jour de sa réception au 18° degré, je me trouvais à un moment de ma vie et de mon cheminement où, souvent, la lumière semblait me manquer, malgré mes différentes initiations jusqu’au degré de GEPSM. J’avoue humblement que mon initiation

pourroit altérer insensiblement la pureté de nos maximes et de nos moeurs: Si le sexe est banni, qu'il n'en ait point d'alarmes, Ce n'est point un outrage à sa fidélité; Mais on craint que l'amour entrant avec ses charmes, Ne produise l'oubli de la fraternité. Noms de frère et d'ami seroient de faibles armes Pour garantir les coeurs de la rivalité. LE GOUT DES SCIENCES ET DES ARTS LIBÉRAUX La quatrième qualité requise pour entrer dans notre Ordre est le goût des sciences utiles, et des arts libéraux

la terre (la matière). » Quelle est l’organisation actuelle pour la loge de table En demi-lune, elle se réfère à la tradition qui vient d’être évoquée. Les 180 degrés du demi-cercle ainsi formé peuvent figurer l’aspiration maçonnique à la fraternité universelle. La disposition la plus fréquente, selon un plan dit «en fer à cheval», reproduit le «carré long» de la disposition rituelle de la loge et respecte les emplacements relatifs des Officiers, des Compagnons et des Apprentis. «  Dans

 rétrécit  dans  le  paysage  sur  le  tapis  de  loge  au  1er  degré.   Notons  au  passage  qu’il  existe  parmi  les  outils  du  Vénérable  au  Rite  Français  une  truelle   permettant  d’unir,  de  jointoyer  les  pierres  d’aspect  variés  avec  un  ciment  adapté.   Face  à  ceux  qui  nous  semblent  «  mauvais  »  entre  guillemets,  nous

aussi « communicante ». Autrement dit, qu’elle prend bien soin d’éviter la formation de clans, castes et autres sous-groupes, nuisibles à son unité (2004 : 129). mais aussi les nombreux vocables, symboles et métaphores exprimant la fraternité : la « truelle »3, le « ciment », la « corde à nœuds », les « lacs d’amour », la « chaîne d’union », le « compagnon », les « frères » et « sœurs ». Le poète Alphonse de Lamartine, grand admirateur de la res maçonnica, pleinement conscient de son essence