La Valeur De L Existence Humaine

COMPRENDRE L’ALIÉNATION CHEZ MARX Marx «distingue trois niveaux d’aliénation, qu’il relie tous trois au travail: - L’objectivation: le fait que l’homme produit par son travail une réalité extérieure à lui-même sous forme d’objets qui ont une existence propre... (...) Le travail est une peine, une soufrance ... Marx avance ainsi déjà l’idée que tout travail est souffrance, parce qu tout travail crée quelque chose qui est voué à se séparer de son auteur. - Le dessaisissement: le fait que

« existentialisme » et dont il est un des principaux initiateurs. Cette doctrine est centrée sur l’existence humaine et tente de définir l’homme d’une façon foncièrement différente des philosophes classiques. L’être humain n’a pas une essence qui serait fixe et indépassable, mais, bien au contraire, il ne cesse de se dépasser lui-même. En quoi consiste plus précisément l’existence humaine pour Sartre ? Pourquoi, alors qu’il définit l’homme comme étant condamné à être libre, peut-il affirmer que sa

cet irrationnel et de ce désir éperdu de clarté dont l’appel résonne au profond de l’homme.» comme le dit Camus dans le Mythe de Sisyphe, P : 112. Plus précisément l’absurde est le fruit du rapport entre l’absurdité de la réalité et la conscience humaine. La philosophie  de l’absurde dont le fondateur est Albert CAMUS tire ses origines du désastre produit par les deux guerres glorieuses du XXe (1914-1918), (1939-1945) qui ont ensanglanté le monde. La science n’est parvenue à expliquer le monde que

ontologique et philosophique. La solitude touche l’homme, donc elle touche aussi tous les aspects de la vie humaine, on peut dire même qu’elle fait partie de la vie de chacun de nous. Elle peut aussi constituer une forme d’inspiration pour les artistes, les écrivains et les philosophes. Jean Paul Sartre, écrivain et philosophe français du XXe siècle, dans ses réfléxions sur la nature humaine touche le problème de la solitude à la manière très particulière. Les personnages dans ses oeuvres sont presque

été à l’origine de grandes souffrances. Les hommes étant convaincus qu’ils pouvaient contrôlés eux-mêmes leur destiné, ont souvent mis de côté les valeurs de paix, d’amour et d’égalité prônées par les religions. Les conséquences de cette séparation se sont soldées par des actes souvent violents comme les guerres. Ainsi, au fil des ans, l’être humain s’est éloigné des croyances qui lui assuraient, malgré les épreuves de la vie terrestre, l’accès à un monde meilleur. Autrement dit, cette perte de

Point de vue sur la notion de personne Le terme et la notion de personne sont parmi les plus difficiles à cerner et à élucider quand on se propose une étude rigoureuse de l'homme, de son existence, du sens et de la valeur de celle-ci. Le débat sur la question de la définition de la personne est pertinent. S'il est difficile voire impossible de définir la notion de personne, c’est parce qu’il y a différentes perspectives d’aborder cette notion. Le concept

Y A-T-IL UNE « NATURE HUMAINE » ? Depuis la naissance de l’homme, de nombreux penseurs ont développés, basé sur différents courants, une conception de l’être humain. De la conception religieuse jusqu’à la conception marxiste, passant par la conception rationalisme, tous cherchent à définir, à leur façon, ce qui oriente la vie de l’homme et ce qu’il peut et ne peut faire. Certaines théories se ressemblent, alors que d’autres s’opposent complètement. Entre autre, la majorité des philosophes s’entendent

les deux/seul qui rappelle la confrontation des deux personnages. On note, de même, l’absurdité du projet, vers le sud, puisque le lieu même de l’action reste indéterminé. Quant à l’évocation du radeau, notons que cette métaphore apparente leur existence à un naufrage. Cette possibilité de fuir étant rapidement écartée, l’échange redevient alors plus « réaliste » pour revenir au thème de la souffrance physique. Dans une stichomythie, hamm interroge Clov pour lui faire comprendre que sa situation

politique : l’homme vit en groupe mais, à la différence des animaux sociaux comme les fourmis, il organise son existence collective à partir de sa libre volonté - C’est un être doué de liberté possédant la capacité de s’orienter en fonction de différentes valeurs morales. C’est grâce à la culture que l’homme apprend à se soumettre aux valeurs morales. Mais chaque culture va être porteuse de valeurs spécifiques. On peut aussi opposer à l’Homme ou à l’humain, l’être qui, en dépit de son identité physique

que se soumettre; à ses yeux, les inventions humaines : les mots, les mœurs, les valeurs, sont des faits donnés, inéluctables comme le ciel et les arbres; c’est dire que le monde où il vit est le monde du sérieux, puisque le propre de l’esprit de sérieux, c’est de considérer les valeurs comme des choses toutes faites. Et cela ne signifie pas que l’enfant soit lui-même sérieux; au contraire, il lui est permis de jouer, de dépenser librement son existence; dans son cercle enfantin, il éprouve qu’il