La Vanité Un Défaut

- Problématique : Comment démontrer la vanité qu’il y a de juger l’autre sans se juger soi ? - Support : « Zadig » de Voltaire Séance 1 - chapitre 2 « le nez » - Introduction : Voltaire crée le genre du conte philosophique avec la parution de Zadig en 1747, dans lequel il narre les aventures et mésaventures d’un personnage qui est sauvé grâce à sa capacité de raisonnement. Le chapitre II qui s’intitule « le nez » raconte comment le personnage résout un problème avec sa femme, grâce à sa raison

de la vanité par opposition aux vraies valeurs. Voltaire amorce une première critique de la société de son époque en parlant du nombre très élevé d'impôts. Il dénonce l'importance accordé à l'apparence et au ''paraître'' même du clergé. Il révoque tant a travers le discours du gouvernement que par la douloureuse chute sociale de Jeannot, le fait que tout repose sur l'apparence! La morale que Voltaire cherche à nous faire passer n'est pas '' l'argent ne fait pas le bonheur'' mais ''la vanité ne fait

Livre III intitulé « De la Vanité », on peut noter qu’il parle de la débauche de la société, il parle même de « La corruption du siècle », de « la désolation de cet Etat », ainsi que d’ « un peuple perdu de toute sorte de vices excécrables. ». On peut le voir avec cette citation, « les uns y confèrent la trahison, les autres l’injustice, l’irréligion, la tyrannie, l’avarice, la cruauté, selon qu’ils sont puissants ; les plus faibles y apportent la sottise, la vanité, l’oisiveté, etc.». La sottise

repris les fables du premier et les avait mises en vers. Le Corbeau et le Renard est d’ailleurs une fable d’Ésope. Une fable est donc un récit bref, en vers ou en prose qui met souvent en scène des animaux, auxquels on prête les qualités et les défauts des hommes. Son histoire illustre une morale porteuse d’un enseignement ou démonstratrice d’une vérité générale. Une histoire très simple L'anecdote est simple : elle met en scène deux personnages qui s'opposent, comme souvent dans les fables

d'aujourd'hui, peut-être, mais servant à mettre en lumière des défauts fort communs. De manière comique, il décrit deux hommes se prenant pour ce qu’ils ne sont pas, c'est-à-dire des personnes de qualité. Se croyant au-dessus de tout le monde et se donnant un air, Dorante et M. Jourdain, ridiculisent les gens qui changent de personnalité afin d'entrer dans les critères de sélection de la société. Exagérant leurs défauts tels que la vanité, la malhonnêteté, la flatterie et la manipulation, Molière dénonce

Transition : nous chercherons donc à approfondir le but premier de cette objectivité II- Pourquoi cette objectivité ? a) leçons explicite (critique des défauts) -après une 1ère lecture, une morale apparaît ; critique des défauts ayant un « étroit parentage » => critique donc de l’indiscrétion, de l’imprudence, du babillage, de sa vanité et sa curiosité -son manque de réflexion entraîne sa mort -les leçons de la Fontaine condamnent de façon abrupte les vaniteux et les prétentieux Transition

Commentaire Anne de Boulen (La Princesse de Clèves)« Au retour de France, le cardinal de Wolsey fut reçu avec des honneurs pareils à ceux que l’on rendait au roi même ; jamais favori n’a porté l’orgueil et la vanité à un si haut point. Il ménagea une entrevue entre les deux rois, qui se fit à Boulogne. François Ier donna la main à Henri VIII, qui ne la voulait point recevoir : ils se traitèrent tour à tour avec une magnificence extraordinaire, et se donnèrent des habits pareils à ceux qu’ils avaient

comment ne pas sourire à l'évcation de la naïveté populaire qui permet au roi de s'enrichir « vanité de ses sujets » ou de leur soumission. Recours à la formule familière : « Il n'a qu'à » souligne la facilité avec laquelle le souverain parvient à duper ses sujets. II – Satire des pouvoirs monarchique et papal Une satire est un texte dans lequel l'auteur critique, en les ridiculisant, les défauts ou les mœurs de ses contemporains. 1 – Allusions ironiques Monarchie française située

auteur de romans et de nouvelles situés entre réalisme et fantastique, où il met en scène la méchanceté et l’horreur ordinaires. Son œuvre, Bel-Ami, fut publiée en 1885 ; il y représente le parcours d’un arriviste, qui possède les qualités et les défauts de l’arriviste. Le passage étudié se situe au chapitre 6. Le héros, Georges Duroy, sort d’un dîner chez les Forestier et s’apprête à rentrer chez lui lorsque Norbert de Varenne lui demande s’il peut faire quelques pas avec lui. Nous nous proposons

fable a une dimension comique et LF varies les types de comique : Le comique de situation : Jupiter est dépassé par la situation qui l'a crée et se voit donner des conseils par les différents animaux (v1-5). Chacun reproche à l'autre son propre défaut (Éléphant reproche à la baleine d'être trop grosse → manque de lucidité). Le comique de contraste : De + en + gros ou de + en + petit ; singe < ours < éléphant < baleine /CONTRASTE\ fourmi > ciron Le comique de caractère à