La Vanité Un Défaut

soif d’absolu. D’autre part, gardons à l’esprit qu’Alceste a été conçu par Molière comme un rôle comique : comme tous les « types », Alceste est en effet l’exemple d’une âme dont les plus belles qualités, développées à l’excès, se transforment en défauts. En l’opposant à Philinte qui sait rester modéré et se rendre agréable, Molière fait ressortir dès la première scène sa mauvaise humeur excessive et son dogmatisme, par son usage constant, par exemple, de la négation ou bien quand son indignation

Certaines réactions de Sganarelle n'entraînent aucun sentiment de surprise chez ceux qui en sont les témoins : il faut donc admettre que le personnage joue bien son rôle de médecin, et qu'on peut donner une portée générale à certains de ses défauts, vrais ou joués. La vanité qui transparaît dans "Nous autres, grands médecins" (II, 4), doit être aussi commune que la cupidité qui se montre à la fin de la même scène, quand Sganarelle tend une main insistante, tout en protestant de son désintéressement. D'ailleurs

eu l’imagination bien vive, ni ce feu d’esprit qu’on remarque dans quelques uns… » -> Dans la phrase suivante, on observe de nouveau les négations « ne…jamais » et « ni » , qui contribuent à nouveau à mettre en évidence les qualités qui font défaut à Thomas Diafoirus : l’intelligence, l’imagination et la vivacité, qu’exprime tout particulièrement la métaphore du feu. Cf la formule « ce n’est pas un foudre de guerre » ! La formule «  il n’a jamais eu l’imagination bien vive » reprend dans

que les expressions soient visibles de loin. Ainsi, les comédiens se retrouvent avec des yeux immenses, bouches démesurées et joues empourprées. Pendant ses débuts, le maquillage était principalement constitué de fond de teint afin de cacher les défauts de l'acteur, de l'uniformiser, lui enlever son identité de ville. «Mais il ne s'agit plus pour un comédien de s'embellir en tant que personne, mais d'avoir un sens en tant que personnage.» écrivaient Daniel Couty et Alain Rey à propos du maquillage

différentes représentations de Phèdre de Racine. Entre la pièce très solaire de Barrault, la pièce très dépouillée de Chéreau et les pièces engagées de Vitez et Delbée, le spectateur a loisir à comparaison. Par ailleurs, il peut éprouver une certaine vanité personnelle à pouvoir comparer les pièces qu'il voit avec celles qu'il auraient lu ou les ré-interprétations qu'il aurait vu. Emettre un avis, pouvoir ressortir du théâtre en ayant une opinion précise de la pièce peut faire partie aussi des plaisirs

Gautama développent leur vision du nirvāņa et présentent un moyen de l'atteindre. II : Quelles sont les idées principales qu’il met en avant ? Tout d'abord, il y a certains aspects du caractère de l'artiste qui peuvent être des défauts ou de solides qualités. C'est un défaut, par exemple, de s'engager dans l'art, que ce soit pour son propre bienfait ou celui d'autrui, en se prenant, avec une attitude hautaine, pour un artiste, tout en étant ignorant de la technique du dessin, des proportions et des

exister. Pour J DLF ce sera Fouquet mais, cette alliance malheureuse auprès de ce ministre déchu lui coutera cher et ne lui sera jamais pardonné par le roi. A partir de là J DLF va employer son énergie et son talent à dénoncer dans ses fables les défauts, les manies et les comportements risibles ou ridicules des hommes du 17ième s. Il sait que Louis 14 ne pardonne rien. Aussi il va communiquer ses idées tout en soignant sa manière d’écrire. Pour éviter la censure à ses écrits et les représailles du

pouvoir voyager et de visiter le monde, cependant, rien que le fait de se renseigner sur la façon de vivre de l’autre coté de la terre permet de se rendre compte de certaines choses. En effet, on peut voyager également de manière spirituelle. A défaut de pouvoir se payer un billet d’avion, un hôtel, etc. La nouvelle technologie permet aujourd’hui d’être informé, partout dans le monde, à n’importe quel moment, de l’actualité mondiale. Cependant, si j’avais l’occasion de devenir un voyageur

faibles créatures » à la ligne 3, « une vie pénible et passagère » à la ligne 10, « nos débiles corps » à la ligne 11. Ceci est complété par un certain nombre de défauts. A la ligne 12 le « langage insuffisant ». On retrouve à la ligne 16 « les atomes appelés hommes » Les deux périphrases de la ligne 25/26 sont là pour dénoncer la vanité des richesses. B – La diversité Elle apparait dans les pluriels. A partir de la ligne 17, l’énumération de différentes pratiques religieuses est mis en relief

Les fonctions - Le portrait comique divertit en montrant certains défauts (vanité, coquetterie), il a aussi pour but de corriger les mœurs par le rire « castigat ridendo mores » . Le portrait est tonique et vivant du fait de l’emploi du présent, le recours au « on » amène une certaine généralité qui fait rayonner les tirades de Cléanthis Le comique passe par l’élan progressif de Cléanthis qui s’applique à brosser les différents tableaux au point de ne plus vouloir s’arrêter et d’en ajouter