La Vanité Un Défaut

préparation, une introduction aux dogmes chrétiens qui le relèvent. « L’Évangile commence où votre philosophie finit », écrivait un de ses contemporains à La Rochefoucauld. On a essayé aussi de dire que l’auteur des Maximes n’a retracé aussi crûment les défauts et les vices des hommes que pour mieux les en faire rougir et les en corriger. Mais il n’y a pas dans l’œuvre entière, où règne le sang-froid philosophique le plus complet, un mot, un accent qui puisse faire prêter à l’auteur le rôle de misanthrope

dénoncer et à montrer à travers des textes plus simples pour les lecteur. La comédie est un genre plus expressif pour commencer, ensuite certains écrivains comme Molière écrivait des comédies pour faire prendre conscience au spectateur de leurs défauts, ils les mettaient donc en scène afin que les spectateurs en prennent conscience et qu'ils y remédient. Prenons donc un exemple d'une comédie de Molière : L'Avare (comédie en 5 actes écrite en prose créée en 1668). Harpagon est omniprésent dans cette

animaux farouches, des mâles et de femelles (…) ils se retirent la nuit dans des tanières…(LA BRUYÈRE). – La personnification*, qui donne forme humaine à une abstraction, à un objet. – L’allégorie*, qui rend concrète une abstraction : sentiment qualité, défaut Ne valait-il pas mieux mourir tout de suite, en essayant de détruire cette tyrannie du capital qui affamait le travailleur ? Toujours se soumettre devant la faim, jusqu’au moment où la faim, de nouveau, jetait les plus calmes à la révolte (Le personnage

lecteur. En effet, ce type d’argumentation peut permettre au lecteur de s’identifier dans un personnage. L’auteur est donc libre de critiquer n’importe qu’elle personne ou groupe de personnes par l’intermédiaire d’un personnage en mettant en avant ses défauts. Cela permet donc aux lecteur de peut être s’identifier dans le personnage critiquer afin qu’il se remette en question ou encore de reconnaitre quelqu’un, un membre de la société qui ressemble a ce personnage décrit afin qu’il soit peut être dénoncer

semble impossible à ces seigneurs modernes, les capitalistes. Antécédent littéraire : comédie de Lesage Turcaret ou le Financier en 1709, ancien laquais, Turcaret tond et est tondu, implacable en affaires, il est aussi une dupe, victime de sa puérile vanité. Échos onomastiques dans la pièce de Balzac : Mercadet => Turcaret, mais là où il y avait autrefois du « Turc » il y a maintenant du « Mercato » = personnage à qui s'ouvrent les infinies possibilités du Marché, la Bourse n'existait pas dans Turcaret

________________________________________________________________________________________ Site Présence de la littérature - Dossier Pascal © SCÉRÉN-CNDP, 2010. 3 travail parfois obscures (fragment 22 : « Condition de l’homme : Inconstance, ennui, inquiétude » ou encore fr. 42 : « Vanité. La cause et les effets de l’amour. Cléopâtre »). On ne reconnaît pas, dans ce type de fragments, le travail de style (syntaxe, figures de style) ; l’idée est elliptique, sans développement explicatif. Ce sont d’ailleurs parfois, plus précisément

se dissipe vite et l’histoire prend une tournure relativement sombre. Il vient alors à user de l’autodérision et va même jusqu’à faire une critique acerbe sur la vie par désespoir, lors de son monologue de la scène 3 de l’acte V : « ambitieux par vanité, laborieux par nécessité ; mais paresseux…avec délices ! orateur selon le danger ; poète par délassement ; musicien par occasion ; amoureux par folles bouffées ;j’ai tout vu ; tout fait tout usé. » Cependant, Figaro finira par s’unir avec Suzanne

Ce chapitre montre à quel point Jean de La Bruyère est un moraliste, puisqu’il donne à voir au Lectorat les mœurs de Cour et ses incalculables défauts. Le Lecteur se retrouve invité à Versailles, mais les portraits restent quand même dans le général, tout en permettant d’analyser les dérives possibles du courtisan, telles que l’excès de mondanité la vanité des convenances, de l’étiquette. L’auteur veut ainsi mettre en lumière les stratagèmes de la dissimulation. Il approfondit alors le thème du « 

sections qui éclairent la réflexion de l’anthropologue et du théologien. La première partie regroupe des observations sur le comportement humain et en dévoile les ressorts, les énigmes et contradictions insolubles : la misère de l’homme sans Dieu, sa vanité aveuglant la vérité, la futilité de la justice face à la tyrannie... Ce premier mouvement est consacré à la réfutation des philosophies humaines qui n’apportent aucune solution réelle. Seule solution, le christianisme face aux contradictions irréductibles

s'ouvrira sur une fable de La Fontaine intitulé : « La grenouille »Puis on enchaînera avec une seconde fable de la Fontaine appelé : « Le loup et l'agneau ». Ces deux fables nous permettrons grâce au symboliste animalier de dénoncer les vices et les défauts de l'Homme Nous poursuivrons cette étude avec un calligramme de Apollinaire dénommé : « La Colombe . L'étude de ce calligramme nous démonteras le coté sentimental de l'Homme . Dans le même recueil , Le bestiale publié en 1911 on étudiera « l’écrevisse »