La Vengeance Est Elle Juste

Introduction : Durant cet exposé nous allons vous parler de la Peine de Mort, qui est un sujet très controversé actuellement, car il faut savoir s'il est permis d'infliger à un homme la peine maximale. Si oui, est-ce une légitime défense ou une vengeance, une dissuasion efficace ou une protection; ne porte-t-elle pas atteinte à la vie sacrée de l'homme? Est-ce un péché d'ôter ainsi la vie? Est-ce permis par l'Eglise? C'est en cela que c'est une chose difficile à expliquer, et c'est pourquoi nous

trouble l'ordre et le partage, et donc perturbe la justice. Clytemnestre, dans l'Orestie, a été emportée, aveuglée, par son amour excessif pour sa fille Iphygénie et par sa passion pour Egisthe. La mère, écrasée par le chagrin, épouse acculée par la vengeance. Elle fait alors preuve d'injustice : Elle maltraite et lèse ses deux autres enfants. Oreste est condamné à l'exil de son royaume, et Electre est condamnée à l'état de servante « Ma vie est celle d'une esclave et ... ». Ainsi parle Electre dans le

blessé : la situation ne peut pas être pire : tous l’on déjà trahi. En soulignant la douleur du personnage, l’auteur souligne que le personnage aurait facilement pu se laisser aller à la vengeance. Il va ainsi devoir dominer le sentiment de vengeance qui l’envahi légitimement -> Tournure superlative « du plus juste courroux ». Auguste se présente comme une victime du sort. Personnification du sort sujet des verbes « nuire », « séduire ». La condamnation du sort permet d’excuser les conjurés : ils

conseil exerce avec le roi la justice, parfois la Thémis du roi ne peut être prononcé sans qu’ait été prononcé l’avis des sages et des anciens. C’est à cette condition que sa Thémis soit véritablement une solution juste : le droit. On dit alors que la Thémis devient la dikè : la solution juste. II- Une assemblée populaire : Dans l’Iliade il y a le récit d’une assemblée de guerrier à Troie, susceptible de formuler un avis sur le déclenchement de la guerre ou le déroulement des opérations militaire

une ruse pour s'échapper et réussit à trouver le trésor. Après avoir vérifié que la déduction de l'abbé était juste, Edmond est bien décidé à se venger. Après avoir sauvé de la faillite la famille de l'armateur Morrel, son ancien ami, il s'en va. Pendant 10 ans, il parcourt le monde, augmentant son incroyable culture et son incroyable richesse, et surtout, fignolant peu à peu sa vengeance. 20 ans plus tard, il se fait intégrer dans la haute société grâce à son argent. Il constate que tous ses ennemis

passion ou la raison ? Cela ne fait aucun doute à mes yeux : la raison doit l'emporter sur la passion. Après, il faut se poser plusieurs questions importantes: La peine de mort est-elle dissuasive ? La peine de mort est-elle un instrument de vengeance au service de la société ? Existe-t-il des cas exceptionnels pour lesquels la peine de mort est la seule réponse possible ? La peine de mort est-elle digne d'une société démocratique ? La peine de mort est-elle dissuasive ? Sur cette question

Directeur -> Le directeur du musée, femme. • X -> Etudiant arrogant, grand, gardien de nuit, rivalité avec Y, homme. • Y -> Etudiant réservé, petit, rivalité avec X, homme. • L’écharpe rouge -> La présence ? Silhouette qui semble être féminine. Le jour, juste à l’entrée d’un musée. Un long couloir qui donne sur plusieurs salles. Un gardien de jour, K, est chargé d’une visite : devant lui, un groupe de visiteur. Il prend la parole et présente la visite qu’il conduira. Sa voix est enjouée, et il ponctue son

l’affaire concernant Mr Georges Louis accusé du meurtre de ses parents, je défendrai tout d’abord la thèse selon laquelle il ne s’agit pas d’un parricide mais bien d’un meurtre, celui d’un couple. Je ne commencerais par vous dire que l’accusé a juste commis le crime d’un couple plus soucieux de sa réputation que du bien être de son enfant… Car Messieurs les jurés, sachez que ce jeune homme devant vous fut abandonné et vécut une enfance sous les critiques de ses camarades, il a connu la honte, le

Michel Serres, nous le prendront au sens large du discernement si consubstantiel à l'idée de justice et que l'Homme se doit à lui-même. Cela recouvrira donc aussi bien les notions d'égalité, d'équité, de droit, d'administration, d'injuste comme de juste. Plus qu'une définition, ce qui nous intéressera, en ces trois temps de la vie de l'Homme, l'Athènes classique, le Grand Siècle Français et le modernisme Américain, ce sera de suivre à la trace cette notion dans son affrontement avec la connaissance

peut voir que le manque de stabilité de la justice du Talion, régie par le principe "Œil pour œil", à cause du cycle de vengeance qu'elle engendre, crée un désordre global, dans les sphères familiale et cosmique. Les meurtres d'Agamemnon et de Cassandre commis par Clytemnestre témoignent de la nécessité pour la justice de dépasser le sentiment. C'est bien le sentiment de vengeance de Clytemnestre pour la mort de sa fille Iphigénie sacrifiée par Agamemnon qui la pousse à commettre son double meurtre