La Violence Antithèse

guerre 1.violence destructrice « entreprise infernale (périphrase) + « le feu », « le fer » (méthonymies) = équivalent de l'enfer puissance d'anéantissement : « meurtriers »,« meurtres »,« meurtrières » (dérivation) + « exterminer », « exterminés » (polyptote) + « égorger » (répétition) + « une maladie qui nous déchire en mille morceaus » (périphrase) 2.mise en cause des chefs militaire « le caprice de quelques hommes fera loyalement égorger des millions de nos frères » (antithèse) => carice

sa cervelle, dans tout son petit être intelligent et moral ») et un au paragraphe 34 (« l'indignation, la rage, le désespoir »). Nous voyons même une antithèse au paragraphe 31: « en pièces, mais triomphant ». Avec toutes ces figures de style, Rousseau exagère ce qu'il s'est passé. Nous le voyons aussi avec l'emploi d'un champ lexical de la violence: ''terrible'', ''arracher'', ''affreux'', ''souffert la mort'', ''diabolique'' et ''cruelle''. 50 ans plus tard, il a toujours la force de la révolte:

mendie, un bâton à la main, prête à arracher la vie à quiconque ne livre pas sa bourse. Le peuple, c’est la partie saine de la population, qui gagne honnêtement sa vie, qui respecte les droits acquis, cherchant à mériter les mêmes droits, non par la violence et l’anarchie, mais par la persévérance au travail, l’aptitude à s’instruire et le respect aux lois du pays. » Voilà comme vous définissez le peuple, comme vous endossez sa livrée des dimanches pour vous présenter devant les tribunaux, devant les

doivent satisfaire son bon plaisir. Roxane dresse donc un portrait sombre de son époux. 3) Une violence teintée d’un désir de vengeance a) Une abrupte remise en cause de la vision qu’Usbek a d’elle - Le texte est construit sur de nombreuses antithèses qui marquent l’opposition entre les apparences et la réalité. Le but de Roxane est de mettre son époux face à ce qu’il refusait de voir. (Antithèses à repérer et relever dans le texte) - Questions rhétoriques (qui n’attendent aucune réponse) à

toute sa beauté en se posant à terre. Nous nous demanderons comment et dans quelle mesure Baudelaire s’identifie à cet Albatros ? Nous étudierons ce texte en 3 mouvements : « apologue situation initiale et perturbation » puis « péripéties la violence et la chute entre beauté et laideur »et enfin, « un rapprochement final entre poète et albatros » nous établirons un lien entre la figure du Poète et celle de l’Albatros I: Apologue situation initiale et perturbation strophe 1 v1Souvent : adverbe

Soleil noir Obscure clarté Didascalie Dans un texte de théâtre, les didascalies sont des indications scéniques fournies par l’auteur sur le jeu des acteurs. Exemple : Il lui serre le bout des doigts Il lui montre le chemin Antithèse Une antithèse consiste à rapprocher, dans le même énoncé, deux pensées, deux expressions, deux mots opposés pour mettre en valeur un contraste fort. Exemple Triste amante des morts, elle hait les vivants. Apostrophe Dans le discours, une apostrophe

Savetier rend l’Argent. Schéma narratif qui fait avancer l’histoire rapidement et la rend divertissante. • Une narration dynamique : échanges d’argent qui rendent l’échange dynamique « rendez-moi » et « reprenez » v.48 et 49, antithèse « il perdit » et « il gagna »v.39-40. • Paroles Variées : discours narrativisé (v.10), discours indirect libre (v.45, 46), discours direct qui rend le texte + vivant car il souligne le clivage social écartant les Hommes. Texte

assimilé a la vérité (ma protestation enflammée, l’enquête est lieu au grand jour) envie de faire connaître la vrai nature de cette machination qui a conduit a la fausse accusation de Dreyfus. Antithèse clair/obscure, savoir/ignorance; référence au siècle des lumières - raison et philosophie - 2) Violence et passion : la passion = a la souffrance, vouloir/devoir. C’est plus fort que lui, il a besoin d’exprimer la vérité et de la révéler au monde. Il se considère comme le porte parole d’une entité :

n'est pas responsable : - Dieu donne la vie mais l'homme est responsable de ce qui suit : l.5. - L'impératif disparaît au profit de la conjonction de subordination : Dieu n'est plus présent dans la syntaxe. * Les hommes sont responsables de la violence : - Champs lexicaux de la haine, de la tyrannie, de la persécution : " haïr, égorger, persécution, tyrannie, guerre, brigandage ". * Un appel direct aux hommes : - Impératif négatif adressé aux hommes : " ne nous haïssons pas ", " ne nous

intelligents ; » -> source de bonheur 2) opinion final *« Ah ! Malheureux » : adjectif dépréciatif * « Fourmilière d’assassins ridicule » : périphrase dépréciative -> Animalité -> mouvement désordonné -> folie meurtrière des hommes *Ch.Lex de la violence : excès de rage forcené -> fanatisme « écraser ; assassins » *Opposition sur la syntaxe : accumulation d’exclamation, phrase -> connotent l’indignation de Micro-mégas *phrase avec des subordonnés B) La réfutation des hommes * elle répond à la