La Violence Antithèse

Correction du devoir – Corpus sur la guerre Commentaire du texte de Maupassant. I- Montrez que la guerre est une réalité violente. 1. La violence du champ de bataille - champ lexical de la violence physique, de la cruauté * lexique de la destruction des biens - énumération de verbes "piller, brûler, ruiner, casser, voler" (§ 2 et 7) * lexique de la destruction des hommes – énumération de verbes "se ruer, égorger, violer, fusiller" * métaphores + hyperboles traduisant le carnage : "lacs de

Plus il parle de violence, plus ces termes sont violents et pour à son tour faire violence à son destinateur pour le faire réagir. L.16 : la colonisation=chosification. Il renvoi au monde mathématiquemonde logique preuve irréfutable. Mouvement 2 :L.17 : Il va de nouveau faire entendre les arguments des colonisateurs

passion plus que par l’amour dans la tirade de Phèdre * Champ lexical de la passion/du feu * Ponctuation * interjection 2. cette passion conduit Phèdre à un état émotionnel violent : corporel et verbal * champ lexical de la violence * antithèse : feu/larmes * champ lexical du corps 3. cette passion créée la frayeur parce qu’elle conduit au tragique : le suicide ou le meurtre * registre tragique * les impératifs de la fin de la tirade 4. par conséquent la passion dérègle

le choquer, tout comme les métaphores « On pouvait mettre un doigt dans le trou de ses plaies »  (vers 9) et des comparaisons « Ouvert comme un bois fendu » (vers 11) et l'opposer à des personnifications « Pauvres Cheveux » (Vers 14) et à des antithèses »la mort noyait son Œil farouche » (Vers 6)  qui lui permettent de comparer l'enfant à un pantin désarticulé pour faire plus funeste et donc rendre la scène plus triste, plus lugubre. Mais il va aussi utiliser des questions rhétoriques pour

organisée Quel procédé oratoire de l’oral du discours donne sa force au discours du prête Utilisation du discours direct : texte plus vivant Fragment de récit : pause dans discours du prête Contraste avec le discours direct : fait ressortir la violence des propos du prête Dans le discours direct utilisation de la 2° personnes du pluriel : force de persuasion Passage a la 1° personne du pluriel : le prêtre s’emmêle aux fideles permet d’adoucir les propos et se positionne en tant qu’aide et conseil

le modernisme du révolutionnaire républicain. Il porte l’espoir d’une révolution régénérée, fondée dans une aristocratie aux valeurs remises à neuf, lumineuses et fraternelles. Il désire la paix et préfère l’obtenir par la discussion que par la violence, il répugne à tuer préfère convaincre et séduire que frapper ; "Tu as voulu me tuer au nom du roi ; je te fais grâce au nom de la république", dira-t-il à son assassin. Il est présenté comme le rédempteur de toute sa condition aristocratique,

de la vengeance, de la haine, de la jalousie et de la trahison. Le but du travail est de présenter une analyse littéraire de l'œuvre Médée. Une antithèse est une opposition, comme entre amour et haine ici. La forme nous présente des figures de style d'antithèse, d'anaphore et d'hyperbole. Le fond nous présente de l'amour, la haine, la vengeance, la violence et le crime . Développement Dans l'œuvre littéraire de Médée les trois figures de style que j'ai constaté sont l'antithèse. L'antithèse dans

on veut tout décrire, ne pas priver le lecteur - Description de plusieurs soldats -> on a la minutie de décrire tout le monde, même les personnages, sans importance ("morts" v.5), ne pas priver le lecteur 3) Un décor de guerre - chp lexical de la violence ("morts", "sanglant", "brisé", "livide", "blessé", "pistolet") - chp lexical de la guerre ("housard", "armée", "cheval") Transition. II/L'hypocrisie de l'Espagnol - Idée directrice de l'axe. 1) Un personnage pathétique... - énumération hyperbolique

réclamer leurs droits face à ceux qui les emplois. 4° Il utilise « mais », il fait allusion aux changements possibles. * Les antithèses (2 choses différentes) : la nuit (misère/mine), le soleil (= rouge et jaune/germination), incendies et meurtres (= rouge/sang) : avant de connaître la libération, il y aura la violence. Autre antithèse : le grand nombre par opposition aux petits et aux privilégiés. * Emploi du futur dans le passé pour exprimer la certitude de la révolution

veut plus ». -    Types de phrases : (vers 39 à 45)  multiplications des interrogatives, phrases exclamatives. C’est un discours vivant car : -    Champ lexical de la colère : « vengeance, sévère, colère, offensée… ». -    Jeu de contrastes / antithèses : bonheur / malheur. -    Structure du texte : texte qui dans sa forme renvoie à la situation de communication ; respect de la forme du discours du sénat : apostrophe, référence divine, énoncé de la thèse, conclusion très rapide. Le locuteur est