La Violence Antithèse

supplie », « on ne veut plus » - Types de phrases : v.39 à 45 multiplication des interrogatives, phrases exclamatives C’est un discours vivant : - Réseau lexical de la colère : « vengeance, sévère, colère, offensée… » - Jeu de contrastes / antithèses : bonheur / malheur - Structure du texte : texte qui dans sa forme renvoie à la situation de communication ; respect de la forme du discours du sénat : apostrophe, référence divine, énoncé de la thèse, conclusion très rapide = vraisemblable.

dernier quatrain est exprimé le sens du poème de Léo Ferre: Tout commence par la mise en relief de des armes qui est répété trois fois pour insister sur la violence ce qui met en opposition ce quatrain avec les précédents, ainsi une rupture (amour poésie…/violence) est créée. Dans le vers « des poètes de service à la gâchette » on a une antithèse entre poète et gâchette deux choses absolument incompatibles. C’est dans le troisième vers que l’on nous dévoile la cause contre laquelle se bat le poète :

frayeur créée par la passion plus que par l’amour dans la tirade de Phèdre Champ lexical de la passion/du feu Ponctuation interjection 2. cette passion conduit Phèdre à un état émotionnel violent : corporel et verbal champ lexical de la violence antithèse : feu/larmes champ lexical du corps 3. cette passion créée la frayeur parce qu’elle conduit au tragique : le suicide ou le meurtre registre tragique les impératifs de la fin de la tirade 4. par conséquent la passion dérègle le jugement

l’impression que ça fait trop longtemps que ça dure Violence de la misère de la condition féminine l.9 « vers » « pourriture » Métaphore : - proxénètes - situation actuelle Des personnes profitent de la situation l.4-9 « travaillent », « travail », « entrepreneur », « que de faire un travail qui leur rapporte tout juste le fil qu’elles y mettent, mais rapporte beaucoup à l’entrepreneur » Champ lexical du travail antithèse et parallélisme Renvoie à la mauvaise place des femmes

face à ce peuple soumis ou chez ce peuple qui reste soumis malgré tout par différents procédés : hyperboles, antithèses, gradations. . Une attitude paradoxale : l. 1-2 : « nations opiniâtres (obstinées à votre mal et aveugles à votre bien » : paradoxe, opposition de termes reliés par la syntaxe. Paradoxes se poursuivant l. 20-24 . Le peuple va à l’encontre de ses intérêts Antithèses montrant l’opposition des intérêts entre le peuple et son souverain : « semez/dévaste », « meublez, pilleries »…

« je fais parler les animaux pour instruire les hommes ». Cette fable nous présente l’histoire de deux coqs qui se battent pour une femme. Effectivement, la moral de l’histoire prête a comprendre qu’il faut régler ses différents autrement que par la violence. Dans qu’elle mesure la Fontaine critique-t-il les conflits entre les Hommes à travers un récit parodique ? Dans un premier mouvement, nous évoquerons que cette fable a des accents héroïcomiques vers 1 à 10. Dans un second mouvement, nous étudierons

laquelle est fondée la société de cette époque : autorité paternelle => donne validité avec une restriction « mais » à l’age des enfants & la capacité de se conduire de manière autonome. - Il développe deux valeurs différentes : l’autorité par la violence & l’autorité consentie (donne l’exemple anglais : le roi est aussi le chef de la religion, il tient son pouvoir). - Structure du texte : 4 paragraphes avec alternance de phrases longues & courtes qui viennent réaffirmer la phrase longue « c’est

* obscurité/lumière vers 7 (tétramètre  : beauté) * les ombres/les flambeaux vers 11 * dualité accordée à la dualité de la scène * opposition des vêtements : "simple appareil" /ravisseurs en armes * opposition douceur/ violence : larmes /armes douceur/ravisseur A la fois un souvenir et une rêverie dans un récit qui est surtout un tableau tout en contraste. Place le texte sous le signe de la dualité, et de l'ambiguïté qui caractérise aussi l'amour de Néron. II. Néron

utilisés pour exprimer un sentiment négatif, désagréable est utilisés ici pour montrer la violence, la saleté et l'horreur de la guerre. Les sonorités en « f » font penser normalement à de la douceur mais ici, elles évoquent au contraire le souffle des bombardements, les sifflements des balles et des canons. Et l'horreur de la guerre comme avec les termes « tas fumant », « folies ». c).Le poème est formé en antithèse, d'un côté la guerre dans les deux premiers quatrains et dans les deux tercets la

-> Usine -> lieux de travail physique, manuel, dur.‘’Père Sorel’’ -> nom qu’emploient les prns pour nommer le père avec accent rustre du rural.Milieu familiale aussi dur -> métaphore hyperbolique « voix de Stentor » -> voix forte + violence soupçonnée.Silence de Julien malgré voix forte -> montre sa volonté de s’extirper du milieu -> est abs -> n’a pas sa place.Apparit° des frères -> sont déshumanisés par expression ‘’espèce de géants’’-> hyperbole : ne sont pas humains