La Violence Antithèse

poids de l’autorité. • Perception forte, vocabulaire de l’oppression (champ lexical) ligne 8 « bourreaux », ligne 13 « meurtris », ligne 18 « gibets », ligne 15 « supplices », ligne 8 « tyrannie ». • La dévastation et la persécution sont partout, antithèse :  « arbre délicieux/exécrables gibets » ligne 18. • Le poème appuis sur la Force de l’image, l'impact de la vision et la récurrence de termes forts. b. Le recours à la ruse pour commettre les pires horreurs : le mensonge, le poison, utilisation

souvent songé à elle » - Rêve d’une vie intense au contact de la nature : «grand air », « courir les chemins, les pieds nus dans la poussière », «traverser les sables », « j’ai voulu fuir, aller droit devant moi, au soleil »   b) La violence du tempérament (tempérament « nerveux » selon Zola) traduite par le langage de Thérèse - Tempérament exalté, passionné, inscrit dans son sang et ses instincts d’origine africaine (aujourd’hui : cliché) - Langage qui traduit ce besoin d’intensité

heures du matin », référence incontestable « horloge de l’Hôtel de Ville » ; été, « nuit brûlante de juillet ». * Obscurité : répétition de « ténèbres », antithèse entre l’obscurité, la nuit (« nocturne », « ténèbres », « aveuglé ») et la lumière des éclairs (« éclair », « illumina », « réverbération », « lueur »). * Importance, violence : insistance avec adjectifs « épaisses », « vif », « brusque », « formidable », verbe « ébranla », adverbe « brusquement ». * Chaleur : « nuit brûlante

la misère dans la ville moderne -> rime “masures / luxures”-> la langueur et l’ennui dans une ville étoufante-> verbre infinitif “prendre”-> puissance divine qui chatie les humains pour leurs vices-> soleil personnifié de “cruel”+ violence du verbe “frappe”-> punition universelle identique sur les villes et campagnes-> Parralélisme de construction “sur la ville et sur les champs, sur lestoits et sur les blès”-> vers 5,le poète apparait pour la première fois-> “je”->

donc c’est lui qui « attaque ». Conclusion : il faut laisser les Tahitiens tranquilles. AXE 2 : UN REQUISITOIRE CONTRE LES EUROPEENS. 1) Violence. Champ lexical de la violence : Verbes pour parler de l’esclavage en accumulation (l4-5), fer = épée ou arme, femmes teintes du sang des européens → européens associés au rouge (passion, sang, violence), « vous vous êtes égorgés » = comportement animal. 2) Avidité. Champ lexical du besoin de richesse : « brigands », s’approprient femmes,

il est représenté de dos et surplombe cette mer de nuage seulement il est bien peu de chose face à la beauté et la violence du paysage. -Nous avons un point de vue externe à la scène car le personnage lui-même n'est qu'acteur de la scène. -Nous pouvons penser que ce paysage constitué de cette mer mouvementée de nuages est l'image de son esprit torturé par la mélancolie et la violence qu'il contemple avec désespoir, il est démuni. -Le thème de l’eau de l’espace marin est également présent dans le

d'imparfaits tableau en clair obscur : obscurité/lumière vers 7 (tétramètre : beauté) les ombres/les flambeaux vers 11 dualité accordée à la dualité de la scène opposition des vêtements: "simple appareil" /ravisseurs en armes opposition douceur/ violence : larmes /armes douceur/ravisseur A la fois un souvenir et une rêverie dans un récit qui est surtout un tableau tout en contraste. Place le texte sous le signe de la dualité, et de l'ambiguïté qui caractérise aussi l'amour de Néron. II. Néron

« brillant », « bien ordonné » (ligne 1) accentué par « si » précédant ces adjectifs * Gradation de la musique : « les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons » (l.2) Canon provoque rupture (polysémie chants/armes) * Antithèse entre « harmonie » et « enfer » (l.2-3) accentué par « Te Deum » (l.9) ressemblance avec Opéra B) La comptabilité * Enumère chiffre et totaux sans émotion grâce à point de vue externe * « à peu près six mille hommes de chaque côtés »

absurde il attend le « grand vide où le cœur s’apaise » = la mort Caligula réhabilite les hommes Il est en proie à la souffrance «  douleur humaine » la mort apparaît comme une délivrance la violence sonore : bruits d’armes + « criant », « hurlant » « râlant » « riant » ( crescendo de la violence sonore + il s’accuse : « Caligula, toi aussi tu es coupable » physique : on a tout d’abord les gestes de Caligula qui sont violents : « il lance son siège à toute volée » + didascalies on assiste

genre romanesque et exprimer une forme de violence à travers un langage nouveau où l'argot déborde du dialogue réaliste pr s'integrer au récit afin d'exprimer un langage "de la haine". Prblmatique : Comment le roman critique, alors qu'il est héritier de l'épopée, dénonce-t-il la violence du mensonge héroïque à travers la fic°? Ds un 1er tps, ns étudierons l'évolut° d'un engagement déclencheur vers un progressif des enchantements pr ensuite dégager la violence satirique qui s'exprime contre le mensonge