La Violence Antithèse

légitime écarté du trone. -Mais Néron passe de bourreau à victime alors qu’il ne l’avait pas prévu→ tournements de l’amour XVII siècle, dramaturges classiques doivent se plier aux règles des 3 unités et bienséances : pas de mort sur scène ni de violence. Même si la tragédie classique (inspiré des histoires romaines et grecs) met en scène-> épisode violent ou meurtre : dramaturge utilise le récit. Acte II, scène 2: empereur Néron raconte à Narcisse l'enlèvement de Junie la jeune fille qu'aime Britannicus

ce monde proposé par ce sonnet : une méditation élégiaque sur le thème de l’amour malheureux, qui traduit le pessimisme de Marbeuf. A) La violence des sentiments. 1) L’investissement du poète. - L’intensité de son sentiment est telle qu’il ne peut s’empêcher d’exprimer ce qu’il ressent. « me/je/mes ». 2) La thématique de la passion amoureuse. a) La violence de la passion. - L’image du feu et de la guerre sont exprimés dans ce sonnet. b) Les souffrances de la passion. - Passion → patior→souffrir

Cette cérémonie, scène de théâtre dans le théâtre ouvre de ce fait sur une illusion qui va peu à peu se mêler à la réalité pour déboucher sur la mort de Claire, à l’issue d’une confrontation violente entre les personnages en présence. Outre la violence, partie prenante de la représentation, genet met en scène la confrontation de deux mondes opposés, celui de la bourgeoisie et celui des basses classes (ici les domestiques) ainsi qu’il interroge le spectateur sur la question du réel et de l’illusion

> force, armes VS le frêle oiseau. Cf. aussi « becquetant ». => Montrez que Hugo souligne avec force la différence entre l'enfant et les hommes armés… B- Une fête ? * « Le spectacle était épouvantable et charmant » > paradoxe, antithèse. * Hugo semble présenter une fête d'un événement terrible. Cf. le champ lexical de la joie, de la gaieté. Ex : « avait l'air de s'amuser beaucoup » ; « couplet » ; « riaient » ; « bondissait » ; « des pieds de nez » ; « chantait »… * Cf. Gavroche

cette gradation de la violence est évidente: Candide, "féssé" (l.15) le biscayen et les deux hommes, "brûlés" (l.17) et Pangloss, " pendu" (l.17) II- La dénonciation par la satire 1- La violence mise au service de l'inquisition L'inquisition est un tribunal créé au XIIIe siècle par l'Eglise catholique pour lutter contre l'hérésie. Elle était chargée d'émettre un jugement sur le caractère conforme ou non des cas qui lui étaient soumit. Dans ce texte, la violence est mise au service de

mieux déplorer la disparition du jeune homme, brosse un portrait élogieux composé d’une énumération de termes mélioratifs, d’abord des noms “vertu”, “pudeur”, “esprit” puis des adjectifs “mur” “pénétrant”, “élevé”, “sociable”. L.68 : on repère une antithèse “te joint” et “t’enlève” qui renforce le pathétique car les 2 frères sont morts à la guerre. L.68/69 : la négation restrictive insiste sur la brièveté de l’existence de Soyecourt qui n’a pas eu le temps de mettre en valeur les qualités dont il était

associant le prince-président à un malfaiteur en maraude. C’est ainsi que Louis Napoléon Bonaparte est désigné par deux formules assez paradoxales, d’abord une comparaison oxymorique “comme un baron voleur”, puis une méta- phore doublée d’une antithèse, “n’attendant qu’un bandit pour faire un empereur”. Ces images insistent sur la duplicité du personnage, censé incarner la loyauté (Louis Napoléon est prince, donc noble, d’où le qualificatif de baron), mais qui se conduit en malfaiteur ; il est

contraste ac pages précédentes…) Perte progressive de la parole au profit des manifestations corporelles : « Je veux respirer »… (Rq : « respirer » : le verbe représente aussi la naissance, 1er souffle du nouveau-né qui s’éveille à une nlle vie.) + Antithèse : « respirer » : h ; « souffler » : animal… Une métamorphose au théâtre : procédés dramaturgiques de la métamorphose C’est la seule métamorphose sur sc ; cela pose des pb spécifiques de mise en sc. Utilisation de l’espace : Double espace (voir

le nom «canon » est mis en fin de phrase pour faire oublier qu’il s’agit d’un objet de mort.- Théâtralisation de la guerre + évocation de chant religieux « Te Deum » Le but : Déstabiliser du lecteur b) L’ironie dans la description de la guerre- Antithèse entre harmonie et enfer (le regard naïf de Candide se traduit par un euphémisme « Ota du meilleur des mondes… ») = Le personnage ne prend pas conscience de l’horreur de la guerre (les verbes se référant à Candide ne sont pas des verbes d’actions)-

petit chat" "Ce trésor"(un vocabulaire affectif) "ange""sainte""martyre" (religieuse) -Comparaison "...comme si la machoire d'un étau avait broyé ce membre si tendre, pas plus gros qu'une allumette..." fondée sur 1 antithèse (opposition) -Personnification "La souffle de la mort" "Les pierres auraient pleuré" "la machoire d'un état" -Hyperbole "Des pieds à la tete, elle n'était qu' un noir" 3) Ponctuation forte: des interjection