La Violence Antithèse

tourmente Phèdre, \"théâtre et victime d'une tragédie interne.\" L'extrait étudié est le second aveu de Phèdre. L'ensemble de la pièce met en scène 3 confessions de l'héroïne. Celle-ci nous présente, avec toute la grandeur des personnages tragiques, la violence d'une passion et la fatalité qui y est liée I / Une femme passionnée a) Un aveu direct et involontaire -Direct → Passage du « vous » au « tu » qui marque le rapprochement et le changement de ton mais cette transition marque surtout le

tragédie, Molière pour la comédie. Les règles du théâtre classique : - la règle des trois unités : de lieu, de temps, d’action. - la règle de la vraisemblance : ce qui se passe sur scène doit être crédible. - la règle des bienséances : nulle violence ne doit être représentée sur scène. Les genres théâtraux : - La tragédie : héros mythologique, prince, ou personnage de haut rang est confronté à son destin auquel il ne peut échapper. Le dénouement, le plus souvent la mort, marque l’accomplissement

lui qui souffre - Pas de descrpt° de sa victime, pers indéfinie, déshumanisé - Il n’y a aucune expression d’émotion qui pourrait justifier son geste (peur) - Pas de raison logique, pas de défense - Pourquoi a-t-il la main sur la gâchette ? - Antithèse, « tirer 4 balles ». Pas de volonté de tirer sur lui - Le pers n’a pas de mobil, pas de responsablité, présente un enchainement de geste absurde avec des connecteurs logiques B. Prise de conscience de l’absurde - « Je savais que c’était stupide »

 le lecteur est terrain de la rencontre entre les deux  protagonistes et de leur coup de foudre.    A.Un coup de foudre  On assiste en effet a une scene typique “d’innamorento” (amoureux)  .Un coup de foudre violent et soudain:    ­soudainete avec les adverbes   ­violence=antithese (8,6)  .Le narrateur est metamorphose par cette rencontre:   ­l’amour comme un revelation (metaphore : ‘si eclairee’)   ­changement radical : timidite → audace precieuse   ­champ lexical de la timidite contre le vocabulaire ‘precieux’ (11,3) 

Object 2 Lecture analytique n° 15 : Victor Hugo, « Fable ou histoire » Object 1 Louis-Napoléon Bonaparte, à l'image de son oncle Napoléon Ier qui avait pris le pouvoir par la violence, a, par un coup d'État, usurpé le trône d'empereur. Dans son recueil poétique Les Châtiments, le poète, exilé par l'imposteur devenu Napoléon III, dénonce ses « crimes », ses exactions et son appétit de pouvoir. Ici, il le dépeint sous les traits d'un singe qui tente d'imiter son illustre prédécesseur… Fable ou histoire

redise ce qu'il vient de lui énoncer il va personnifier son amour a une personne muette , cela est aussi assez hyperbolique car il veut vraiment marquer le coup et montrer son amour pour Mariane . On peut remarquer en dernier lieu une antithèse et un oxymore «douce violence» qui signifie que le coté tendre mais très amoureux de Cléante . Cléante accepte cette «hiérarchie» entre lui et son père . Pour Cléante les fils sont comme des disciples caractériser par la jeunesse décrite par le biais de phrase

-Nature=lit « dort » Le cadre=vie Sens : odorat (parfum), ouï (chante), toucher, vue (couleur) Personnification nature : « nature berce le chaudement »v11 Apostrophe : il s’adresse à la nature v11 Nature= assimilée à une mère Antithèse : « chaudement » et « froid » v11 I) Le dormeur 1) Jeunesse innocente Jeunesse v5  « jeune » Comparaison v9-10 : soldat à un jeune malade Posit°=non menaçante v5-7 ; v9 « souriant ». On remarque que le jeune homme est "dans" la nature.

qualités Figure allégorique → v.15 : ''sagesse'' → morale → v.18 : ''coeur'' → générosité La pluralité du monde Métaphore → v.5 : '' Pour les animaux purs que les hommes n'effraie pas'' → pas de violence entre les hommes et les animaux Antithèse → v.4 : ''Pour la neige qui fond pour les premières fleurs'' → contraste infinie, quotidien Les images du bonheur Bonheur sans limite Expression → v.3 : ''grand large'' Expression → v.4 : ''neige qui fond''

lyrique comme s’il était attiré vers elle. Quelque part, R. et J. savent qu’ils ne peuvent s’aimer que dans la mort qui sauvera leur amour. Le lyrisme des deux amoureux est contrarié par les astres et l’aveuglement criminel de leur entourage. Violence de la passion ; amour idéalisé, pur, intense, absolu, amour sacré Le lyrisme est marqué par la victoire des amants sur les épreuves Le temps et les lieux : nuit/balcon Scènes de nuit : le lyrisme est favorisé par la nuit qui représente les

A) L’absurde de la guerre Un point de vue interne de la guerre vécue comme une absurdité. Longues phrases nominales l. 15 à 23 : Enumération hétéroclite (très différentes tant sur le plan grammatical qu’au niveau du sens). Effets sonores : Antithèse : avec/sans casques l.15 Sons en « en » : « hurlant » et « sifflant » l.16, « creusant », « se défilant », « caracolant » l.17 … Le tout donne des actions rapides. On est en présence d’une gradation rythmique (amplification au niveau syllabique)