La Violence Antithèse

paix : a) une image à la portée de tous pr définir (c’est une encyclopédie) ces deux états opposés(cf « au contraire ») : la métaphore filée médicale appliquée à un même objet le « corps » = nation : cf antithèses : « maladie convulsive violente, plaies profondes »(termes hyperboliques pr violence incontrôlable de la guerre + registre pathétique voire tragique suggérés)// «vigueur,guérir,force, en santé » (termes pr développemt bienfaisant de la paix) b) qui est affecté ou favorisé par ces états

suivant : « Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid ! ». Elle oppose ici le passé dans les aires avec « naguère » et le présent sur terre avec le verbe « est ». Cette antithèse est renforcée car ce sont deux phrases exclamatives. Les deux vers suivant se concentrent sur la cruauté des hommes : -qui usent de violence envers l’animal « L’un agace son bec avec un brule-gueule », -et se moquent de sa maladresse, « L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait ! ».Cette strophe illustre la souffrance

Cours de français : - Il insiste sur le fait que la vie n’est qu’un passage, la phrase est très courte, il y’ a une antithèse entre : entrer et sortir (La métaphore baroque). Dans le 2éme paragraphe il passe du sentiment personnel à l’expression de l’universalité en effet il passe de nous à vous. - Il utilise la métaphore filé il assimile les nouvelles générations qui succède aux anciennes comparés a des soldats nouvellement recruter qui viendrait remplacer les soldats mort sur le champ de bataille

Baudelaire est un poète français  sa poésie annonce la modernité et fait de lui un précurseur du symbolisme, puis plus tard du surréalisme. Il est torturé et considéré comme maudit, il décrit la dualité entre le bien et le mal, la volupté et la violence, la beauté et la laideur. Non reconnu de son vivant, il ne passe à la postérité qu'après sa mort . Il est très connue pour son recueil intitulé «  Les Fleurs du Mal » publié en 1857 . Le recueil est divisé en plusieurs section celle qui nous intéressera

La création poétique est d'abord une violence faite au langage. Son premier acte est de déraciner les mots. Le poète les soustrait à leurs connexions et à leurs emplois habituels ». À travers cette citation, l’auteur partage sa vision d’une poésie destructrice et qui a pour but de modeler la langue a l’avantage du poète. L’utilisation de la locution adverbiale « d’abord » puis du groupe nominal « Son premier acte » montre que Octavio Paz considère la violence comme la fonction première de la poésie

Romantisme : courant littéraire et artistique caractérisé par l’expression passionnée des sentiments, le rejet d’une sagesse raisonnable au profit de la sensibilité et/ou de la poursuite d’un idéal. Les auteurs romantiques aiment le subjectif, la violence des antithèses, le fantastique, l’épique, le mélange de comique et de tragique. Romantique peut s’opposer à classique et à réaliste. (V.Hugo, Musset, Nerval …) Réalisme : manière littéraire tendant, non à exprimer la personnalité de l’auteur ou un idéal

plan olfactif, le « parfum de magnolias, doux et frais » s’oppose à l’ « odeur soudaine de chair brûlée ». La série des antithèses se termine par l’oxymore « pourri par le soleil » qui achève de rendre « étrange » cet arbre dont personne ne cueille les fruits et qui sont bons « à picorer par les corbeaux ». -Après ces remarquesle oir de manière très violente ca violence composé des termes « exorbités », « tordue », « brulée ». Ainsi en utilisant la métaphore filée du corps supplicié

en droit (déclaration des droits de l’homme de 1789). Le droit à la vie est inhérent à la personne humaine. Aucunes autorités ne sauraient décider de la mort d’un être humain. La PDM relève de la vengeance et pas de la justice  elle légitime la violence qu’elle prétend combattre. Un criminel motivé par ses pulsions, passions et autres fantasmes n’est pas dissuadé par la mort. Par rapport à la loi du talion, on ne peut pas punir un crime par un crime, par exemple : les violeurs ne sont pas condamnés

impacts sur les populations. Ces procédés sont repris par Aimé Césaire son pamphlet Le discours sur le colonialisme publié en 1950. L’auteur y dénonce avec force, l’implantation coloniale de l’Europe sur des territoires extra-européens ainsi que la violence et les injustices présentes dans les colonies.De même, d’autres écrivains s’engagent dans certaines affaires et défendent ainsi des personnes ou des principes. Zola, dans un article de presse de 1898 écrit « J’accuse … !» une lettre ouverte dans

............................................................................. 8 Antiphrase ....................................................................................................................................................... 8 Antithèse.......................................................................................................................................................... 8 Chiasme [kjasm]..........................................................................