La Violence Antithèse

oublier et de ne pas apprendre  Leur innocence est qu’ils n’y peuvent rien  Antithèse entre le savoir et l’ignorance : « il SAVAIT que cette foule en joie IGNORAIT »  « Il y avait plus de choses à admirer que de choses à mépriser » : un comparatif dont les deux expressions comparées sont construites par parallélisme et une antithèse Ainsi Rieux déculpabilise les hommes en les montrant victimes de l’injustice et de la violence. III – Révolte et écriture A – L’origine du récit : « Rieux décida alors

Anaphore Énumération Antithèse adjectif péjoratif a propos du travail Imparfait Hyperbole omniprésence de l’activité du bruit Fin de la description de l'environnement. Mise en évidence de l'importance du travail de la mine dans la région présence sonore. Le travail est comparé a un bagne. Et il songeait à présent que la violence peut-être ne hâtait pas les choses. Des câbles

partie, conflit dont le lecteur attend la résolution et qui est exprimé par le texte : « attendons la fin ». « Attendons » concerne : le Roseau et le Chêne ; mais le narrateur implique aussi le lecteur. Enfin, le vent se manifeste. Pour accentuer la violence de la tempête, La Fontaine utilise plusieurs figures de style. V.25-26 => hyperboles : « le plus terrible » ; « avec furie » + personnifications : « accourt avec furie » ; « redouble ses efforts » => donne au vent une volonté de destruction. Allitérations

? " l 7-8 montre une marque de moquerie face à l'aveuglement d'Usbek. Les nombreuses antithèses opposant illusions/realites montre également la moquerie : Affreux serial / un lieu de délices et de plaisirs l 2 ; vivre dans la servitude / toujours été libre l 9- 10 ; transports de l'amour / toute la violence de la haine l 17 -18. Et enfin le chiasme "tu me croyais trompée, je te trompais" l20. Ces antithèses traduisent l'opposition entre ce que voulait voir Usbek, ce que Roxanne lui montrait

le paysage extérieur. Ces comparaisons nous décrivent la montée de la crise, de la dépression et permettent de comprendre les caractéristiques du spleen baudelairien Antithèse -> "horizon et cercle" -> marquent la continuité et l’aspect cyclique des crises d’angoisse + l’horizon se rétrécit "jour noir" -> oxymore + antithèse "jour" et "nuit" -> montrent l’ampleur du désespoir qui remplit ses jours Hyperbole -> "longs ennuis" -> exagère et marque l’amplitude temporelle de l’ennui du Poète

Figaro : Antithèse et parallélisme opposent les manifestations extérieures de la relation conjugale (cadeaux…) à l'authenticité des sentiments. Figaro révèle l'écart entre la générosité, le luxe " superflu " et la réalité du délaissement de la femme par l'époux, le " nécessaire " étant l'amour vrai. Cette franche dénonciation se fait habilement par le biais de la généralisation (pronoms " on ", " qui "), et invite le comte à un examen de conscience S'ensuit un crescendo de la violence verbale

gradation des synonymes (v. 35 : délire = 2 syllabes < v.36 : illusion = 3 syllabes < v.37 : ___._ombre+fiction = 2 mots) .┌─── ''│___● Antithèse v.21/23 : « riches »/ « pauvres » ''│___● v.25 : « triomphe » = mélioratif ≠ v.27 : « outrage et offense » = péjoratif (antithèse mais rapprochement ''│__.__par « il songe ») ''│___● v.11 : antithèse entre le roi et lui car Sigismond est enfermé au lieu de régner. ''│ .└──────→ le songe touche toutes les classes de la société. ___● v.39 : «

soulignant l’intensité, la violence des sentiments : "un éclair… puis la nuit !" v9. De plus, ce vers contient également "Fugitive beauté". Fugitive indique le caractère fulgurant, éphémère de cette entrevue. La présence du tiret isole le premier hémistiche et insiste sur le vide, le néant qui suit l’éblouissement. On perçoit, en outre une violence endémique grâce à son champ lexical : les verbes "hurlait" v1 et "tue" v8 ; "crispé" v6 et le nom commun "l’ouragan" v7. Cette violence reflète l’Etat du

haine pour Agamemnon et donner une image peu valorisante du roi défunt. I - La déclaration de haine de Clytemnestre 1/ Les raisons de la haine ; Son mariage considéré comme un enlèvement, mariage forcé exprimé par l'hyperbole « arrachée »= violence. reprise « m' »/ « ma » > C.est dépossédée d'elle-même et de ce qui lui appartient. Haine immédiate, rapidité du sentiment éprouvé : mis en valeur par l'indice de temps : « du jour où » + affirmation catégorique de la fin de la phrase : « je l'ai

le sujet…  °          le sujet posé : énonciation de la thèse, du point de vue, interpellation du destinataire…  °          le sujet divisé :  Il annonce les grandes idées du contenu, mais pas la conclusion.  On ne mentionne pas les mots thèse, antithèse, synthèse…  Le développement : il doit comporter des arguments solides et bien documentés.                                     Le développement se présente en 2 paragraphes.  La conclusion : Une bonne conclusion est constituée de 3 parties :