La Violence Antithèse

hypotypose telle « vous vous êtes égorgés pour elle ; et elle nous sont revenues teinte de votre sang » . Pour finir, il se trouve un champs lexical de la cruauté, la violence et la destruction : « folles »l.6, « féroce »l.7, « haïr »l.7, « égorgés »l.7, « teintes de votre sang »l. « vol »l.6, asservir»l.17 ; ce champs lexical dénonce la violence des européens Aussi on constate,c’est un discours où le narrateur s’implique car il prend partie aux tahitiens car le vieux tahitien nous ému. En effet le vieillard

dans l’image d’un comédien pas authentique, qui joue avec sa famille. Pierre ne croit pas que son fils soit en difficulté. A noter toutes les interrogatives comme autant de baffes retournées à son fils, qui le rendent illégitime à se plaindre! ( violence du passage)!!!!! - A nouveau, répétitions coups de poing ( comme pour secouer Nicolas): « Réponds-moi «  répété deux fois. Le père donne à deux reprises le prénom de son fils, comme pour le faire réagir.!!!! - A nouveau, Nicolas déconcerte son

(totalement imprévisible). Implicite : l’analphabète a été influencé, entrainé. Infâme, misérable Apostrophes très péjoratives, insultantes Crimes (x2), tuer, brûler, rage, folle, impie, tu détruis Champs lexical de la destruction et de la violence. Réquisitoire « Dans ces chefs-d’œuvre, dans ce tombeau » Anaphore, énumérations Figure d’insistance beaucoup utilisée par les orateurs. → éloge passionné des livres qui vise à entrainer le destinataire= moyen de persuasion. Le rayon v4

la phrase (rythmes binaires, ternaires). * Les anaphores, les inversions qui mettent en valeur certains mots. * Le grossissement est aussi rendu par des hyperboles, des antithèses fortes. * Les métaphores et les comparaisons font appel à tout ce qui suggère la force, la grandeur, l'intensité, la violence D'après Henri Bénac : Guide littéraire - Hachette, 1964

défendue, à travers un raisonnement concessif - Défendre la passion de l'étude « Il faut avoir des passions pour être heureux » Passion (du latin « patior ») = ardeur, souffrir, utilisé à l'origine au domaine religieux, pour exprimer la violence des sentiments (sens du mot a évolué) - Thèse : « celle qui contribue le plus à notre bonheur ». « L'amour de l'étude est... » raisonnement concessif allant à l'encontre de la morale : les passions sont un danger. - Concessif car nuancé :

˜ Un éloge de l'inconstance : - des hyperboles : "milles visages", "toutes" - argumentation, connecteurs logiques, propos argumentés - champ lexical du changement - antithèses --> incompatibilité mariage / fidélité - question rhétorique = total refus, ouvre la tirade - vocabulaire positif, inconstance : "douce violence" (hyperbole) - "je ne puis", "il n'est rien qui puisse arrêter" = impossibilité d'agir autrement --> destin ? - devise : "l'amour est dans le changement" - fidélité = ennui

Voltaire s’adresse aux hommes : argument par l’absurde « tu ne nous a point donné… » écartant la responsabilité divine et met en avant celle des hommes. Le discours se finit par un souhait pour les hommes « que tous les hommes ». Ici intolérance = violence « calamités », « égorger », « haine et persécution », « tyrannie », « brigandage ». Intolérance due à l’idée que les hommes sont différents « usages », « lois », « opinions » entraînant le rejet les uns des autres. Voltaire supplie les hommes de

à la fin de la tirade, Maffio réalise la réalité, c’est-à-dire que sa sœur aille à un rendez-vous et il essaye de s’interposer avec violence mais se heurte à Giomo qui le désarme, Maffio perd ses illusions. Situation à Florence La situation de Florence apparaît dans la réplique de Maffio à Giomo, il décrit cette situation avec le vocabulaire du meurtre, de la violence et du crime. Avec l’entrée du Duc, à la fin de la scène, on a un coup de théâtre, le Duc se découvre, c’est lui qui pousse les filles

On déduit donc que le bonheur est éphémère et qu’il ne dure que peu de temps. : le mal domine. Le mal est aussi représenté par la violence que l’on retrouve dans les expressions «on lui donne trente coups de bâton », «fustigé trente-six fois par tout le régiment » et « recevoir à la fois douze balles de plomb dans la cervelle ». De plus, associée à cette violence, on observe que Voltaire exprime une douleur physique que les mots et expressions « n’en pouvant plus », les coups « depuis la nuque

modalisation – généralisation et prudence (incidentes et antithèses) III. le lexique de la parole IV. les reprises anaphoriques – et l'énonciation V. les images (la galère et le cirque) Proposition de plan I. La position de l'intellectuel a. un ton impersonnel b. l'ironie et la distance c. la nuance pour décrypter une position intenable II. L'intellectuel embarqué a. une nouvelle donne aujourd'hui b. les images parlantes : la violence de la situation c. le rôle fondamental de l'artiste :