La Violence Selon Rousseau

que je donne le nom de conscience. » Rousseau, Émile ou De l'éducation, 1762. http://www.devoir-de-philosophie.com/passup/citations.php?PARAMS= 497 Citation 498 « Conscience ! conscience ! instinct divin, immortelle et céleste voix; guide assuré d'un être ignorant et borné, mais intelligent et libre; juge infaillible du bien et du mal, qui rends l'homme semblable à Dieu, c'est toi qui fais l'excellence de sa nature et la moralité de ses actions. » Rousseau, Émile ou De l'éducation, 1762. http://www

La politique de la Terreur La période de la Révolution française fut le théâtre de l'affrontement de plusieurs visions politiques que l'on retrouve encore aujourd'hui. Deux périodes toutefois furent retenues pour leur violence sans précédents et une situation politique pouvant s'apparenter à de la dictature sur un fond de guerre civile. Il s'agit de la Terreur politique répressive organisée par les dirigeants de la France entre 1792 et 1794 ayant pour but d'anéantir toute personne qualifiée

s. (le prince de machaivel) Observateur de la politique de son pays : l’Italie, il détail la fabrique du pouvoir, comment un prince fait pour gouverner son peuple. Il montre en particulier l’importance du mensonge, du cynisme, de la ruse, de la violence, de la peur.) il décortique les mécanismes du pouvoir. Il va rompre avec un certain moralisme. Montesquieu ( l’esprit des lois) Il est très moderne, tres aristo, il va révolutionner la conceptualité politique, il veut diviser le pouvoir pour

Comment expliquer l’importance de la violence dans nos sociétés contemporaines ? Introduction : La violence correspond à l’usage de la force physique, matérielle ou psychologique qu a pour fin soit la destruction totale ou partielle soit la domination d’une personne ou d’une chose. Il s’agit de trouver des explications à son ampleur dans nos sociétés modernes. Or la modernité recouvre l’idée de progrès. En histoire, l’essor de la modernité procède de l’humanisme, des lumières et plus récemment

la nature de la sortie de crise n’est plus seulement économique : puisque les banques sont devenues insolvables elles ne peuvent plus prêter ni aux entreprises, ni aux ménages, ni aux Etats. Les conséquences sociales provoquent une montée de la violence car en Europe et aux Etats-Unis, le déclassement des classes moyennes conduit à un sentiment d’abandon qui lui-même faut le lit du populisme. Si on analyse les conséquences politiques de la crise, on peut donc proposer le modèle suivant : la capacité

introduction où Voltaire dit ce qu’il va faire, et quelques petites remarques et un hommage au génie de Pascal.2ème partie : L.8-22, Il y a deux paragraphes, dans le premier il critique Pascal et dans le deuxième il dit qu’il est le contraire de Pascal -> selon lui, contrairement à Pascal, il aime l’humanité, donc il se présente en opposition à Pascal.3ème partie : L.23-29, conclusion, il essaie d’atténuer l’audace de son propos parce qu’il s’attaque à Pascal, qui est considéré comme un génie. Analyse : 1ère

de la chute des corps. De même lorsque le gouverné est contraint par la force, il ne s'agit pas d'obéir mais de se soumettre à cette force. On ne parle pas alors d'obéissance mais de soumission. Quand une force l'emporte sur une autre, on subit la violence, on y cède, on n'y obéit pas. La désobéissance n'est alors pas envisageable car il n'y a pas d'alternative possible, aucun choix à faire. En effet, l'obéissance suppose toujours une décision: obéir ou désobéir, ce qui est diffèrent de contraindre

la citoyenneté ne repose pas sur l'un de ces critères objectif, de race, de religion. La fonction de la laïcité : l'école est le lieu où se construit la citoyenneté. Derrière cette idée de laïcité il y a ce postulat qu'on peut accepter ou critiqué selon lequel la construction de la citoyenneté se fait en dehors de la religion. Ex : en Grèce on la notion de religion sur sa carte d'identité. Est il possible de construire des états qui ne reposent pas sur l'existence d'une communauté nationale

et un être « sociable »… capable de tuer son prochain ! Bref, l’homme outrepasse toujours les |C’est un fait que le crime et la | |TION|La violence et la méchanceté sont-elles|DU |ire |définitions qu’il peut donner de lui-même. |violence n’ont pas disparu de la | | |naturelles à l’homme ou bien un effet |SUJE| |

FICHE DE DISSERTATION SUJET Est-il vrai que l’homme est un loup pour l’homme ? PROBLEMATIQUE (questions) ARGUMENTS (explications) EXEMPLES - REFERENCES (illustrations) THESES (affirmations) INTRODUCTION (problème - alternative) La violence et la méchanceté sont-elles naturelles à l’homme ou bien un effet pervers de la civilisation qu’il serait possible de corriger ? L’homme est-il méchant comme un loup ou est-il devenu un être plus méchant que le loup lui-même ? ANALYSE DU SUJET Vocabulaire