La Volonté Générale Selon Rousseau

théorie générale au droit constitutionnel Qu’est-ce que le droit constitutionnel ? C’est une branche du droit public. Le DP : * Comprend différentes branches (droit administratif, droit constitutionnel, droit international…) ; * Gère les relations entre les personnes publiques mais aussi entre personnes publiques et personnes privées. * S’oppose au droit privé (droit civil, droit commercial, droit judiciaire…) qui lui régit les relations interindividuelles, personnes morales

d’une manière générale, un pouvoir de faire ou de ne pas faire. C’est ce qu’on appelle le libre arbitre, capacité à être le propre principe de ses actions, sans être contraint par rien d’extérieur à nous. Nous réclamons et revendiquons souvent notre liberté en souhaitant pouvoir faire ce que nous désirons. Les hommes semblent donc avoir un goût pour la liberté. La liberté pourrait, en ce sens, se rapprocher du caprice. Ce dernier est un goût pour quelqu'un ou quelque chose, une volonté subite qui vient

été appliquée en 1789 dans la DDHC article 3 « Le principe de toutes souverainetés réside dans la nation », idée qui a été reprise dans la constitution Napoléonienne. D’autres parts, on peut la différencier de la souveraineté populaire, initié par Rousseau philosophe des Lumières qui dit «  L’homme est au cœur du pouvoir », qu’il exerce directement sans représentants, similairement aux cités Grecs dans l’antiquité. Cette théorie est difficilement applicable, elle ne l’a été que 4 fois. En France, il

souveraineté populaire a été théorisée par Rousseau au XVIII e siecle. Cette conception, selon laquelle le peuple est le seul titulaire de la souveraineté, à été reprise à leur compte par les révolutionnaires. Au sens large, le peuple d'un Etat se compose de l'ensemble des personnes physiques qui vivent sur son territoire à un moment donné. Constamment renouvelé, le peuple est donc un groupe humain en perpetuelle évolution. Selon la théorie de Rousseau, le peuple est constitué de l'ensemble des

Selon Rousseau auteur est philosophe très réputé pour ces nombreux ouvrages : Le contrat social, Selon lui ,il faut éviter que le pouvoir politique soit entre les mains de particuliers et donc l'originalité du contrat social qu'il définit, c'est en réalité ce que pensent Hobbes en disant que les gouvernés ne s'engagent plus envers un homme mais envers eux-même, c'est à dire envers la loi, expression de la volonté générale. C'est pourquoi chaque individu s'engagent envers la volonté générale

renoncer à sa qualité d'homme, aux droits de l'humanité, même à ses devoirs"(Rousseau, Du Contrat Social / 1762). Aucun homme n'a reçu de la nature le droit de commander aux autres.( Denis Diderot). L'homme en naissant porte en lui des droits sur la portion des fruits de la terre nécessaires à son existence.( Extrait d'un Discours à Lyon – 1791). les principales sources d'inspiration de la DDHC sont Voltaire, Rousseau, Diderot, le Bill of Rights anglais de 1689, la Déclaration d'Indépendance des

Fréderic Rouvillois chez Flammarion. Chantebout chez Sirey. Théorie générale de l'État et des institutions, sa forme, sa fonction puis nous aborderons le droit constitutionnel de la Vème République. Cours ancien car il touche à une réalité ancienne et relativement nouvelle car le premier cours de droit constitutionnel a été inauguré à la faculté de droit de Paris par Pellegrino Rossi en 1834. Sa signification va évoluer selon qu’on l’étudie avant la révolution ou après la révolution. Avant cette

autorité suprême à la loi. C’est l’apparition du principe de souveraineté nationale selon lequel le roi est le représentant de la Nation et exerce son pouvoir dans cet unique but. Dans un régime monarchique c’est-à-dire dans un mode de gouvernement ou le personnage le plus important tire son pouvoir de sa seule naissance, le pouvoir est héréditaire. Dans la constitution de 1791 que l’on peut définir de deux manière, selon la définition formelle et matérielle. La définition formelle correspond à la

laisser au Roi sa souveraineté (absolutisme monarchique), mais en la confiant aux citoyens, sur les bases d’un fonctionnement plus légitime et libre. Quelques mois avant la présentation de ce discours, la monarchie française fut renversée, les États généraux de 1789 furent alors réunis pour reformer la France et surtout le pouvoir mis en place avant la prise de la Bastille le 14 juillet de la même année. Par réaction contre l’absolutisme monarchique, l’Assemblée constituante a posé avec rigueur le principe

Jean-Jacques Rousseau soutiennent que « la souveraineté populaire réside dans le peuple ». Dans Du Contrat Social(1762), Jean-Jacques Rousseau avance au centre de sa pensée politique « la volonté générale ». « Chaque individu est titulaire d’une parcelle de souveraineté ». C’est ce qu’il appelle une souveraineté inaliénable car le souverain, un être collectif, n’est représenté que par lui-même. Il n’y a point besoin d’être représenté car le représentant risque de vicier le contrat. La volonté générale