La Vérité Biologique

impossible, à partir de la Bible ou du Coran, de déduire la durée de l'histoire de la Terre et de la vie telle que la science la conçoit aujourd'hui, ni bien sûr l'idée que l'espèce humaine telle qu'elle existe résulte d'une série de mutations biologiques au cours d'un très long laps de temps et procède, in fine d'espèces inférieures. "L'homme descend du singe !" : la populaire caricature de la théorie de l'évolution exprime l'étonnement et le scandale qu'a pu susciter l'idée d'une humanité apparentée

aux représentations de la sexualité insufflé par le droit commun et définissent ainsi la sexualité en fonction d'un contexte politique et social. Nous nous interrogerons alors sur la façon dont la sexualité qui est à priori un phénomène d'ordre biologique et privé devient un phénomène culturel encadré dans une logique sociale. Puis il nous faudra montrer de quelle manière l'organisation et l'évolution des sociétés joue sur les conduites sexuelles et leur significations. Un discours normatif

de croyances et d’idées reçues qui n’ont pas de bases scientifiques en leur explication mais reposent sur des constations réitérées populaires. Dans un ouvrage paru chez Flammarion en janvier 2006 sous le titre - «Docteur, on m’a dit que ...» ou la vérité sur les croyances et les idées reçues médicales – les deux auteurs, les Docteurs Sophie SILCRET-GRIEU et Nathalie SZAPIRO-MNOUKIAN, font un inventaire non exhaustif de ces croyances ou idées reçues, dont il a été tiré pour exemples celles précitées

d’Etats africain, elles furent ignorées à l’occasion de la conférence de Genève de 1958. La convention sur la pêche se contentait de mentionner dans son article 6 «  l’intérêt spécial de l’Etat riverain Au maintien de la productivité des ressources biologiques dans toute la partie de la haute mer adjacente à sa mer territoriale » Un nombre croissant d’Etats, renonçant à une extension maximaliste de leur mer territoriale, proclamèrent à partir des années 60 des zones de pêche exclusive au-delà de leur

étroitement filiation biologique et sociale. Autrement dit, elle articule ce que l’anthropologie a coutume d’appeler la nature et la culture. La filiation se situe à la jonction de la nature et de la culture. La reproduction sexuée est par excellence un fait de nature, mais c’est un fait de nature que toutes les sociétés humaines ont transformé en fait de culture, en institution codifiée, normée, ritualisée,… Comme le rappelle l’anthropologue Françoise HERITIER, la reproduction biologique a toujours été

négative : dire d’abord les choses qui ne sont pas avant de dire les choses qui sont. Un thème est exaustif La philosophie n’est pas une connaisance à acquérir. Les thèmes ne sont pas dans l’ordre. Notion abordées lors de ce chapitre : la liberté, la vérité, le language, le sujet Une œuvre complète minimum à étudier, on peut faire un seul grand cours et interroger toute les notions. Il ne faut pas trop penser notion, une dissert est un exercice de réflexion . Convaincre= argumenter avec la raison

lorsqu’une transformation capitale oriente son expérience du monde et sa connaissance des choses du monde. Il existe plusieurs types de modifications qui interviennent dans la vie humaine. L’une est naturelle et elle concerne le devenir physique et biologique de l’home (naissance, enfance, adolescence, etc.) L’autre est épistémologique et elle concerne le devenir de la connaissance humaine (études et différentes expériences de la vie.) Et puis il existe un autre type de modification qui touche à la vie

les êtres physiques et leur esprit. Les indicateurs les plus extrêmes de ce mal-être sont les problèmes de la jeunesse et de la vieillesse. Le mal des banlieues, que l’on considère comme un problème spécifique et que l’on traite localement, est en vérité encore une expression d’un mal-être généralisé dans notre civilisation. L’adolescent est le point culminent des faiblesses de la société et les vit de façon extrême : révoltes et angoisses qui se traduisent par les tentatives de suicides, usage de

suggestion par l'expérience : non qu'elle permette de démontrer quoi que ce soit, ni même qu'elle prouve quoi que ce soit, l'expérience donne des pistes, des indices, des lignes de faits qui indiquent une direction théorique plutôt qu'un pure et simple vérité. Une suggestion est toujours une certaine inspiration, une indication indirecte de quelque chose. Malgré cette importance indirecte, plus imprécise de l'expérience, ces deux sources de toute théorie ne sont pas séparables. Ce sont des condition

La question appelle une analyse critique des pouvoirs et de nature même ce que on appelle raison . 1) Le rationalisme : la raison à toujours raison ( mdr)rationalisme défend raison contre l’instinct et ls réactions affectives . Au sens strict + biologiques du terme, instinct = comportement mécanique + stéréotypé, propre à espéce et nécessaire à sa survie . L’animal = à la fois guidé + limité par instinct, alors que raison permet l’homme de s’affranchir de ses limites . Descartes oppose ainsi comportement