La Vérité Indubitable

l’art élève ? Qu’est-ce que l’art chez Platon ?Quel est le statut du sensible chez Platon ?L’art nous élève-t-il vers l’intelligible ?L’art ne s’adresse-t-il qu’au corps ? Le texte  : thème : l’art, la thèse : l’art nous éloigne de la vérité par l’imitation. La problématique du texte  : l’art n’est-il qu’une imitation de la réalité ? Problématique de la question d’interprétation  : L’artiste ne fait-il que s’adresser à notre sensibilité ?

connaissance n’est qu’une représentation subjective des phénomènes perçus par les sens. C’est une représentation relevant du nominalisme et non de l’abstraction, dans la mesure où le mode de connaître est statique et non dynamique. II-1-1-2 Indubitable existence du réel Notons tout de même que Bachelard est réaliste. Il admet indubitablement l’existence d’une réalité extra mentale ou réalité extérieure. Dans ces premiers écrits il affirme en effet : « On peut juger à un autre point de

toutes les choses → doit être déduite des premières causes (=principes) principes = claires et évidents → vérités premières → ≠ dépendant d'une autre vérité 2 Le doute 2.1 Remarques pré-éliminatoires • • • Programme métaphysique = nouveau → peut être désagréable pour certains savants recherche fondement certain qui est à la base de toutes les autres sciences Fondement = point de départ, vérité première, principe prend distance de philosophie pratique (mœurs) → faut suivre parfois des opinions incertains

en affirmant que : « je pensai qu’il fallait […..], que je rejetasse comme absolument faut tout ce en quoi je pourrais imaginer le moindre doute afin de voir s’il ne me resterait point après cela quelque chose en ma créance qui fût entièrement indubitable » . Le doute méthodique ou le doute cartésien ne s’agit pas du doute sceptique qui affirme qu’on ne peut rien savoir, rien n’est vrai ; autrement dit, le doute sceptique est une manière d’être et une attitude intellectuelle : comme nous ne pouvons

recherche de vérité absolue. En effet, Platon développe d’une manière générale dans La République une philosophie de l’être et une philosophie de la philosophie. Dans l’allégorie de la caverne (une allégorie étant un discours symbolique), il met en scène des prisonniers enchaînés au fond d’une caverne, symbole du monde sensible, le dos tourné vers l’extérieur, symbole du monde intelligible où la lumière du soleil symbolise la vérité. A partir de là, il nous amène à nous demander si la vérité est contraignante

l'esprit qui tient, sans réserve, pour vrai ce qu'il juge. Caractère d'une vérité indubitable. » La certitude s’associe spontanément dans notre esprit avec l’idée de vérité car elle s’oppose à l’hésitation. Être certain de quelque chose c’est prendre une position sans réserve à son sujet. Nous affirmons que ce qui est dit est vrai ou faux. Mais, par là, nous voyons aussitôt que la certitude n’est pas identique à la vérité puisque nous pouvons être assurés de la fausseté d’un propos, du caractère

materiel ne me determine pas puisque mes sens sont trompeurs, c'est l'idée que defend Descartes philosophe du 17eme siecle , en effet la pensée qui est plus précisement la "conscience" est la base de toutes les connaissance , elle est une intuition indubitable c'est à dire qu'elle est certaine.Il pense que la matiére perçu par ses sens n'exitent pas puisqu'il sont trompeur, en revanche , la pensée , l'esprit existent puisque c'est grave a lui que j'existe mais aussi que je pense .Par deduction , Descartes

Peut-on dire “à chacun sa vérité” ? Première partie : Légitimité de la formulation “à chacun sa vérité”. Elucidons tout d’abord ce qui peut donner sens à une telle formule, voire la justifier. Tout d’abord, chacun fait l’épreuve, l’expérience du caractère irréductible de sa singularité. Le corps est le premier principe d’individuation : ce qui émane en effet de la sensation relève alors du domaine du subjectif et du singulier, car la sensation éprouvée est vécue par moi et selon un mode

cherchait à fonder un savoir indubitable, irrévocable, grâce à la. ‘’Méthode’,’ un lot de quatre règles pour un raisonnement objectif. Elle est aussi liée au doute méthodique. Remettant en cause les connaissances certaines, l’existence d’un monde extérieur ainsi que les perceptions sensibles, grâce à la ‘’méthode’’ Descartes a inventé le Cogito : ‘’je doute donc je suis’’. Car, par la logique des choses, on ne peut douter que l’on doute. Descartes a établi des vérités par sa réflexion : J’existe

en s'opposant à tout ce qui n'est pas lui-même. 2. Situation et conséquences du Cogito cartésien - Pour échapper à l'erreur, Descartes suspend tout jugement par un doute "hyperbolique". Il met fin à ce dernier en découvrant la première vérité indubitable : le "je pense, je suis". L'existence humaine est ainsi capable de se saisir dans la conscience qui accompagne chacune de ses pensées (vraies ou fausses, peu importe). Le sujet est dès lors différencié de l'objet : le monde extérieur (dont les