Lacan Inconscient

de l’ordre de l’imaginaire : s’écrit avec une Minuscule Grand Autre : Autre du maternel : Affaire de langage Petit Autre : de l’imaginaire, le congénère, l’autre du miroir Nom-du-Père : Terme lacanien C’est la lecture du Complexe d’oedipe par Lacan Introduction En 1977, le séminaire s’appelle l’insu-que-sait-de-l’une-bévue-s’ailes- à mourre Séminaire XXIV : 15 février 1977 disponible sur internet sur Gaogoa (ou goagao) L’humain est un par-l’être. Néologisme : mot inventé il y a

phallus géant et menaçant (mère assimilé au phallus). L’angoisse est la source inconsciente de l’angoisse de la pénétration (intrusion de son corps). Dans l’hystérie il s’agit d’une ambivalence vis-à-vis du corps et une anesthésie des zones génitales. L’angoisse de castration se convertie en un corps qui souffre d’un trop de narcissisme (= érotisation excessif) et d’un rien de génitalité (= inhibition sexuelle). Lacan : L’évitement de la problématique de castration laisse l’individu dans l’indétermination

trois grandes axes. Dans la première parie du développement de notre réflexion, nous procéderons à une revue brève de la question de l’influence du lien social sur le développement de la psyché telle qu’elle a été présentée par S. Freud et par J. Lacan. A ce titre, nous tenterons d’aborder la problématique des sujets en situation d’exclusion du côté de la pulsion scopique au niveau de l’expérience du stade du miroir. Dans un deuxième temps, nous étudierons quelques questionnements, portant sur

définitivement de ces illusions naïves ou dangereuses en la précipitant, après Charcot, et avec Freud, dans les oubliettes de la médecine ? Forme de soins vieille comme le monde et répandue dans toutes les cultures, stratégie consciente ou inconsciente plus ou moins présente dans nombre d’interventions thérapeutiques, l’hypnose n’en constitue pas moins de nos jours un champ de recherches scientifiques, expérimentales et cliniques, déjà largement exploré, sans déboucher pour autant sur des

la généralisation. Le symptôme prend alors un sens radicalement nouveau en étant tout d'abord conçu comme la commémoration d'un traumatisme puis, comme l'expression inconsciente du désir refoulé, devenant ainsi la marque du sujet. S'intéressant au réel comme pris dans une relation singulière avec le symbolique et l'imaginaire, Lacan remarque après maturation de ses idées que le symptôme « est ce que les gens ont de plus réel », c'est « l'effet du symbolique dans le réel », de part ce lien entre symbolique

se réalise dans mon histoire, n’est pas le passé défini de ce qui fut puisqu’il n’est plus, ni même le parfait de ce qui a été dans ce que je suis, mais le futur antérieur de ce que j’aurai été pour ce que je suis en train de devenir. Jacques Lacan [1]  Lacan, J. (1966). Fonction et champs de la parole et... [1] 1 Je vais tenter d’aborder de deux côtés différents le concept psychanalytique de la répétition dans son rapport avec la pensée aristotélicienne. Le premier côté est l’expression « proton

envisageons ainsi la symptomatologie oppositionnelle comportementale et scolaire à l’entrée de l’adolescence comme une tentative de dégagement du vrai-self dans une substitution à l’impossible opposition à la mère, comme une lutte contre la menace inconsciente de ne pas être, processus réaction avant la mise en place d’un projet personnel. Si comme nous l’envisageons, une identité de type faux self s’est inscrite précocement sur la base d’un self obéissant et soumis en un temps où l’enfant n’avait que

processus sociaux sont issus de structures fondamentales qui sont le plus souvent inconscientes. L'organisation sociale génère certaines pratiques et certaines croyances propres aux individus qui en dépendent. Ce qu’on appelle structure peut se définir comme l’ ensemble des rapports réciproques d'un système. Par conséquent, le structuralisme consiste à étudier l’Homme au sein de cette structure souvent inconsciente. Ce mode d’analyse appréhende la réalité sociale comme un ensemble de relations, il

essentiellement mouvant. Il remet en cause le caractère faussement monolithique du langage. 2.1 LE SUJET LACANIEN Tout comme Freud posait le sujet comme une « unité double » avec sa topique inconscient/conscient, la psychanalyse lacanienne (de Jacques Lacan) représente le sujet comme une unité clivée. Chez Lacan, ce clivage inhérent au sujet est indissociable du manque qui le détermine et de « la quête inassouvie d’un impossible que figure le désir métonymique » (Kristeva, 1977a : 55). REMARQUE :

Mannoni. Auteur d'une Introduction à la lecture de Lacan et de L'a-scientificité de la psychanalyse, ainsi que d'études sur les discours délirants. Docteur en psychanalyse. Membre du Centre de formation et de recherches psychanalytiques. Enseignant-chercheur à l'Université Paris VII. Directeur de la revue "Esquisses psychanalytiques". Livre 1 : l’inconscient structuré comme un langage Le retour à Freud Pour Freud : les processus inconscients sont soumis à la dimension psychique du langage