Ladministration Des Villes Au Moyen âge

DE LHISTOIRE AMRICAINE Essor colonial, 1492-1763. RVOLUTION ET PREMIER SICLE DE VIE RPUBLICAINE, 1763-1877. ge dor (Gilded Age) industrialisation, urbanisation, immigration et imprialisme, 1877-1914. Guerres mondiales et Guerre froide, 1914-1989. Hyperpuissance, depuis 1989. Importance de la priode 1763-1877 Priode critique de lhistoire amricaine Priode formative dun pays en voie de dveloppement Dfinition des structures politiques, conomiques et sociales facteurs dunit facteurs de rupture Grands

Classiques des sciences sociales ne peuvent sans autorisation formelle - tre hbergs (en fichier ou page web, en totalit ou en partie) sur un serveur autre que celui des Classiques. - servir de base de travail un autre fichier modifi ensuite par tout autre moyen (couleur, police, mise en page, extraits, support, etc...), Les fichiers (.html, .doc, .pdf., .rtf, .jpg, .gif) disponibles sur le site Les Classiques des sciences sociales sont la proprit des Classiques des sciences sociales, un organisme but non

Ils estiment que grace a leur auctoritas, les eveques peuvent connaitre tous les actes de gouvernement. Et donc exercer une sorte de tutelle sur le pouvoir politique. Meilleur exemple de ce gouvernement – penitence de Soisson. SECTION 2 – LE MOYEN AGE CLASSIQUE. On peut distinguer pour cette periode deux phase – 1ere phase – 10e au 12e siecle : correspond a une disloquation de letat, un emiettement du pouvoir. Et 2eme phase – 13e au 15e siecle : caracteriser par lemergeance dun etat royal. Para

Ve s. Le baptême suppose donc la naissance physique et la séparation entre l’enfant et le corps de sa mère. St Augustin va préciser que le baptême d’une femme enceinte n’est pas valable pour l’embryon car il n’a pas encore reçu son autonomie. Au Moyen-âge se pose la question de la validité des baptêmes des jeunes enfants. A l’époque mérovingienne, il y a une certaine confusion entre le droit civil et le droit canonique. Chez les wisigoths, une loi royale dispose que le baptême est nécessaire pour

XVIIIeme siecle : les institutions Introduction évolution des institutions politik, administratives et judiciaires de la chute de l'empire romain occident (476 à 1789) Q°: En quoi l'histoire des institution fasconne notre conception de l'état Moyen dont dispose le pouvoir. Institution : suppose une certaine durée, stabilité, qlq chose qui demeure. 4 parties autour de la royauté du Veme au XVIIIeme siecle on est en royauté, mais ce ne sont pas les mêmes au fil des années. Nous allons voir 4

la carte judiciaire par le décret du 15 janvier 2008 . la reforme de la carte judiciaire depuis 1958 RIEN DE changer dans les tribunaux , la constitution . Mais le peuple avait changé , le france rurale de 2000 a 2007 plus la france de 1958 ; les villes explosé car leurs importance donc constat : certaine juridiction ne servait a rien et dautre devarait etre créé mais personne ne voulai supporter cette reforme de carte juridique pour des raisons politique car lorsque lon supprime un tribunal cest

légitimité que de sa conformité à des principes supérieurs. Deux écoles on tentés de trouver l’origine. a) la doctrine du droit naturel Ce courant de pensé est ancien puisqu'il compte PLATON et ARISTOTE pour le droit antique, ST HOMAS D'AQUIN au Moyen Age et GROTIUS au 17e s. L'idée fondamental professé par cette doctrine c’est qu’il n’existe pas seulement le droit Positif c’est a dire le droit appliqué à un moment donné à un pays donné. Il existait également un droit idéal d’essence supérieur

de s’engager en raison de son coût social. Ces « dilapideurs » que le peuple « admire » Au fil du temps, on s’est conformé à cet usage abusif de la charge publique par des délinquants à col blanc. La cupidité a engendré bien des misères dans nos villes et campagnes, provoquant même l’exil pour certains. Imaginez le nombre de routes, d’hôpitaux, d’écoles, de logements sociaux, d’entreprises (entre autres) qui auraient pu être créés sans la corruption qui, pire que le vol, est plutôt un crime contre

l'«association municipale» ( Genossenschaft) qui renforçait l'aspect corporatif de la société locale, comme collectivité de personnes qui agit sur un territoire; la théorie de l’«autonomie locale» (self-government), d'origine anglo-saxonne, qui a connu son âge d'or pendant le XVIIIe siècle; et, enfin, la doctrine de la décentralisation, initialement esquissée comme une réaction face aux excès du centralisme bureaucratique et hiérarchisé, d'influence napoléonienne. De nos jours, l'autonomie locale, dans

quelques décennies puisqu'il a été imposé par les instances ministérielles pour indiquer les relations qui pouvaient exister entre l'Etat et les citoyens. Quand on parlait de libertés publiques, on voulait dire : comment l'Etat peut-il faire (ses moyens d'action) pour protéger l'ordre public contre les débordements de la liberté individuelle ? Il y a deux concepts essentiels : toutes les questions se résument à un conflit permanent entre, d'une part, l'obligation et la nécessité pour l'Etat et les