Lady Dudley

temps et que cela est de sa faute, elle lui en explique d’ailleurs la raison; la jalousie: « il y a eu toute une vie emportée, jalouse, furieuse, pendant les deux mois qui se sont écoulés entre la nouvelle que me donna ma mère de votre liaison avec lady Dudley et votre arrivée. » le rythme ici est accéléré pour montrer la rapidité avec laquelle la vie d’Henriette a basculée à cause de l’infidélité de Félix dont il est seul responsable. Cet acte d’infidélité à quand même poussé Henriette à des envies de

la rage d’une déception. — Ah ! c’est la mort, mon pauvre Félix, me dit-elle, et vous n’aimez pas la mort ! la mort odieuse, la mort de laquelle toute créature, même l’amant le plus intrépide, a horreur. Ici finit l’amour : je le savais bien. Lady Dudley ne vous verra jamais étonné de son changement. Ah ! pourquoi vous ai-je tant souhaité, Félix ? vous êtes enfin venu : je vous récompense de ce dévouement par l’horrible spectacle qui fit jadis du comte de Rancé un trappiste, moi qui désirais demeurer

Henriette refusera de céder à l’amour de Felix et prétendra qu’elle avait pour lui des sentiments maternels. Elle transformera cette passion en amour platonique. Felix obtint par la suite un poste important à Paris et fut conquis par une anglaise (Lady Dudley). Très jalouse, Henriette se posera des questions sur le choix qu’elle a fait en privilégiant les contraintes sociales et ses convictions religieuses à la concrétisation de son amour pour Felix. Anéantie par la jalousie Henriette se laissera mourir

clore ce lamento sentimental et pathétique.   3) Le discours devient alors imploration mêlée de reproches : - L’emploi du pronom « je » recentre le propos sur le dépit amoureux qu’éprouve Henriette qui nomme sa rivale : « je le savais bien. Lady Dudley ne vous verra jamais étonné de son changement ». La projection dans le futur et l’utilisation de l’adverbe « jamais » tendent à exclure définitivement Henriette de l’horizon amoureux de Félix. - La modalité interrogative « Ah ! pourquoi vous ai-je

Texte 15 : Balzac, Le Lys dans la vallée (1835) Félix de Vandenesse écrit à la femme qu’il aime, Natalie de Manerville, pour lui dévoiler son passé comme elle le lui a demandé. Il expose ainsi les circonstances dans lesquelles il a pu revoir, dans la vallée de l’Indre, en Touraine, la première femme qu’il a aimée, Henriette de Mortsauf, femme mariée et plus âgée que lui, avec qui il entretiendra une relation platonique. L’amour infini, sans autre aliment qu’un objet à peine entrevu

the killer might be a man. One week later, the policemen who were helping Mr High got a clue from Mrs Low's housemaid. She had found a gun loaded with four bullets and lots of dollar bills in Mrs Low's bedroom. A wig,a gun,much money... Had the lady planned something before she died? What? A murder? Whose murder? Maybe her husband's! The inspector convoked Mrs Low's friends and family to know more about her personality. They said that she was a regular drunkard because her marriage was a real

Monday, December 14th, 2009 BELLITTO Etienne ACAR Mustafa POTONIE Maximin GOETZ Manon That Evening… The lady was walking to me. It was close to midnight. The more I stared at her, the more she made me think of Jenny. It reminded me of a lot of moments of my life… Jenny was my wife. We were so happy together and were made for each other. But this terrible car crash spoilt our life! It was on a Saturday in December, we were coming back home. That evening I drank too much and I saw

le ciel. 2. Thème Shoplifting Arrived at the checkout, I put down my big bag on the floor, I unfold my net under the cashier’s nose and I stuff the few odds and ends bought by way of passport into it: the conveyor belt pushes them while the lady taps gracefully the sum. Carefully, as a good housewife, I pick up my till receipt and am about to slip it into my purse when it virtually disappears from hands while a courteous voice asks me: “It’s definitely your ticket, madam, isn’t it?” “A simple

to be the administratrix of her deceased husband. Just like the executor of WG, the widow takes care, as the claimant, of her deceased husband. She says to the nephew that he had promised to pay the man which she represents taht he will pay the lady which is in this case, herself ! The loss suffered by the uncle was zero, because it was suffered by his wife. The court ordered the remedy of specific reformance : because it is a regular payment, it will be unfair that there would be no trigate

picture shows a lady holding a dead animal in her hands, it’s maybe a fox. Except his head, on his body all his skin is rear. The lady called Persia White is all dressed in black and the background is also in black. She has a long black hair. In the bottom right-hand corner I can see the reference of the web site and the name of the company “PETA”. The face of the lady is without expression, her look is cold. Secondly, the sentence “here’s the rest of your fur coat” could be what the lady on the picture