Laid

du beau puisque l'emploie du mot s'arrête ici à une définition Kantienne du terme. C'est à dire que beau et bien sont lié au sens de la vie et en se désintéressant de la beauté qu'il reflète l'homme tourne le dos à la vie puisque inexorablement le laid en devient inhérent. C'est ce concept de beau/bien que nous retiendrons afin de donner au texte sa dimension objective autour de l'enlaidissement du monde. En restant concis nous pourrions établir une dualité à travers le jugement de goût. C'est

remarque que 2 champs lexicaux s’opposent : -le champ lexical de la bonté qui s’applique à la bête : « bonté » (l.3), « cœur » (l.4), « cœur bon » et « bonne » (l.21) -champ lexical de la laideur qui peut se décomposer en 2 : La laideur physique ( « laid » l.4, « monstre » l.5, ) et la laideur morale (monstres l.6 et « cœur faux, corrompu, ingrat » l. 7-8) Le rythme ternaire insiste ici sur les défauts. La laideur physique de la bête est moins importante que la laideur morale des hommes car ils sont

Tristan Corbière (1845-1875) était particulièrement excentrique, tant dans sa vie que dans ses œuvres. Peu gâté par la nature, rachitique, laid et tuberculeux. - Le titre même de son recueil, Les Amours jaunes, est ironique (le titre faisant référence au "rire jaune", rire grinçant, sinistre, désabusé). Il y pratique l'autodérision, cultivant les images du laid et le goût du paradoxe. Lecture du poème : Le Crapaud Un chant dans une nuit sans air… – La lune plaque en métal clair Les

éprouvé devant la beauté d’une œuvre soit la théorie de l’art. Mais l’art ne donne-t-il à voir que le beau ? Peut-il y avoir de la laideur dans l’art ? D’après Platon et les grecs en général, la beauté est l’harmonie : le beau va au juste comme le laid va à l’injuste. Il faut donc une parfaite correspondance entre l’intérieur et l’extérieur pour la « belle âme ». Ainsi, l’art recherche la beauté dans la manifestation de l’esprit. Ainsi, Baudelaire critique Ingres (La grande Odalisque) en disant « Il

tête d’une nombreuse famille et qui ne demandait pas mieux que de s’en débarrasser en la mariant au premier venu ; et autant, pour lui, valait Macloune qu’un autre. » et « […]Macloune était adoré par sa mère[…] » * Explication : Macloune est « laid », mais très proche de sa mère, alors que Marichette, tout aussi « laide » est plutôt détestée de sa famille. PARAGRAPHE DE DÉVELOPPEMENT Premièrement, l’une des principales ressemblances entre Marichette et Macloune, selon moi, est le fait que

jours d’Oran. Dans cet incipit, Camus révèle, par le biais de son narrateur tout l’esprit de son roman. Cette description du cadre spatio-temporel, de la ville d’Oran, des habitudes de ses habitants prévient l’intervention de la peste, dans se cadre laid et banal. Le narrateur introduit alors une année de quarantaine, de mort et de maladie pour Oran. Cette peste pourrait s’apparenter aux régimes totalitaires présents en Europe à l’époque, en effet La Peste et l’un des premiers livres de l’immédiat-après

au point où il en devient à penser qu’il est « l’anormal ». Pour illustrer ceci, Ionesco utilise du champ lexical de la laideur. Ce champ lexical comporte des expressions telles que : « Je ne suis pas beau, je ne suis pas beau » (p.161), « Que c’est laid un front plat. »(p.161), « J’ai la peau flasque » (p.161), « Ah, ce corps trop blanc, et poilu ! » (p.161). Alors que son personnage se met à douter de ses convictions, de son image d’homme, de son choix d’intégrité, il se décrit comme étant un monstre

encontre : « Elle rend la marche difficile et elle salit », « oblige à de longs détours, voire à des échasses », « Chienne de boue qui agrippe mes chausses et qui me saute aux yeux d'un élan importun » 3ème critère de confrontation = transfiguration du laid par le poète Dans les trois poèmes, ces réalités qui nous répugnent sont transfigurées par le poète : * Ponge et Hugo les personnifient et les réhabilitent en les présentant comme des êtres mal-aimés et qui ne demandent qu’à l’être Hugo leur

monstre (du fait de sa « laideur » et de sa piqûre) et l’ortie comme une plante nocive (du fait du mal qu’elle procure lorsqu’on la touche), Victor Hugo décide de les prendre sous son aile et de démontrer qu’elles sont rejetées injustement ; il prend le laid pour le beau. Il tente aussi de provoquer la compassion auprès des lecteurs : « Passants, faites grâce à la plante obscure, / Au pauvre animal. / Plaignez la laideur, plaignez la piqûre, / Oh ! plaignez le mal ! » vers 17 à 20. La présence de phrases

la dégradation antithèse entre état original et dégradé : nature princière VS bouffon du roi + roi de l'Azur dégradé car sur le sol dégradation de la beauté à la laideur « ailes blanches » (pureté + couleur roi) + « lui naguère si beau » devient laid II – Du récit au discours,le symbole expliqué a) Du récit au discours 3 strophes = déchéance oiseau + 1 strophe comparaison explicite « le poète est semblable » b) Un discours à valeur générale adv « souvent » → action récurrente → généralité