Laid

labiales [p] = chaos du convoi + [r] = roulement - Les 3 hémistiches (vers 1, 3 et 4) miment le rythme régulier - univers lié entièrement à la faim et la fuite : poids de la fatalité - Bohémiens méprisés, traqués : Baudelaire fait ressortir le Beau du Laid C. Êtres maudits à la recherche d'un idéal - 2 derniers vers = marche vers un ailleurs, un destin désiré - yeux appesantis/ciel : contraste. Synecdoque "appesantis" (confère "prunelles" au vers 1) - allure de quête, aspirations à un destin inconnu

la souris. : c’est par un mécanisme de « réflexe rapide » que la sourit périt. Il ne fait cela que pour « rendre service ». - Boris Vian éxprime dans son avant-propos son désir de montrer simplement où est la beauté, et que « tout le reste est laid ». C’est ce que confirme ce dénouement.
La beauté est bien ici l’amour, celui de Colin qui ne peut survivre à la mort de Chloé, et celui de la souris pour Colin. C’est un amour absolu, prêt à perdurer au-delà de la mort.
La laideur ici est le destin

la guerre », par exemple l’œuvre « l’assaut sous les gaz ». De plus, le travail d’Otto Dix se rapproche du tableau « Guernica » de Pablo Picasso. En effet, ce dernier montre dans son œuvre l’horreur de la guerre. Il cherche lui aussi à peindre le laid, afin de choquer le spectateur et montrer la réalité de la guerre. Un artiste engagé : On peut donc dire qu’Otto Dix était un artiste engagé contre la guerre, car il se sert de ses œuvres pour montrer la laideur de la guerre, afin de la démystifier

au cours d’une séance d’étude de la langue consacrée aux degrés de l’adjectif qualificatif Objectif : Comment construire un portrait dévalorisateur ? Un rustre qui ressemblait à un Maure, d’une laideur et d’une hideur extrêmes, - si laid qu’on ne saurait le décrire,- était assis sur une souche, une grande massue à la main. Je m’approchai du rustre ; je vis qu’il avait une tête énorme, plus grosse que celle d’un roncin(1) ou d’une autre bête, des cheveux en mèches, un front pelé, qui

Poséidon. En tant que représentant aquatique, je reproche à cette infâme créature d’avoir terrorisé plusieurs enfants au square Bikinibottom. PIEUVRE : J’aimerais plus d’informations à ce sujet. COMBATTANT : Pour commencer, cet animal est difforme, laid et gros. Il est aplati sur le dos et le ventre comme si une ancre s’était brusquement écrasée sur lui. En plus, il a une queue en forme de spatule. A quoi cela peut-il bien servir, mis à part à bousculer mes amis poissons ? Il ne ressemble à rien

Amours Jaunes », resta un « illustre inconnu » pour ses contemporains contrairement à son père reconnu à échelle régionales grâce a ses romans maritimes. Complexe d’infériorité Corbière se sous-estime, il n'a pas l'élégance de son père et est plutôt laid, rachitique et tuberculeux. On ne peux pas le classer dans tel ou tel courent littéraire. Poème symbolique (plutôt sobre, traite du quotidien). Se distingue pas ses audaces d'écriture : forme de modernité Il est poète tout en se moquant du poète

horrible beauté. Une conception provocatrice de Baudelaire, on pourrais parler d'une position « anti-esthétique », mais ce n'est pas le cas. Baudelaire est novateur en littérature, mais cela fait bien longtemps que la peinture fait la représentation du laid ou du monstrueux. Ce n'est pas nouveau en représentation picturale. Ce poème n'est pas seulement un tableau, il ne s'agit pas uniquement pour Baudelaire de reproduire ce qu'il voit. Baudelaire propose surtout un regard qui interroge ce qu'il voit ;

l'incarne. Le second terme, encore plus dévalorisant, s'atténue néanmoins au fil du passage où le protagoniste devient "ce pauvre monstre" (ligne 21). La Belle: L'attitude de l'héroïne se traduit par une remarque naïve : "vous ne me paraissez plus si laid" (lignes 5 et 6). Elle ajoutera plus loin, en l'absence de la Bête : "C'est bien dommage qu'elle soit si laide" (ligne 26). Même galant, même respectueux, le monstre est mis à l'écart et il n'est pas question d'oublier ses tares physiques. Cette mise

rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait! Le Poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l'archer; Exilé sur le sol au milieu des huées

création d’œuvres, une critique esthétique . Il est étonnant de s’interroger sur la finalité de l’Art, dans la mesure où celui-ci vise a priori a aucun but pratique. Cependant, l’esthétique place au centre de sa définition les notions de beau et de laid comme critères de goûts. De quelle nature serait donc cette finalité ? Est-elle déterminée par les artistes ou par une lecture des œuvres ? 1- La beauté comme finalité de l’art. Pour le philosophe Aristote, la nature possède une finalité