Laideur Au Moyen âge

pouces ", comme cela est cité à la ligne 3, est une femme qui sors des canons traditionnels tant sa laideur est impressionnante. Le personnage de Nanon a pris une place capitale dans l'oeuvre de Balzac intitulée "Eugénie Grandet". On la trouve partout et elle détient un certain pouvoir implicite dans la progression des événements. L'adjectif "repoussante" à la ligne 10 renforce l'effet de laideur. La comparaison à la ligne 17 "ayant des mains de charretier" qualifie son corps d'hors norme, dit-même

personnage imaginaire. Ce "je" réel va disparaître du poème, le comparant va occuper le poème entier. Il y a un discret rappel au vers 15 avec le "nous". Le poème est une allégorie. Le poète = le roi est en état de spleen. • L'univers du roi : le Moyen-Age représente le monde du paraître et d'une vie facile qui pourrait être heureuse ( "jeunesse" au vers 12). On peut voir ces différents aspects avec "la chasse" (v.5), les distractions du bouffon, les dames d'atour (chargées de la toilette royale),

Avant d’aborder le thème des animaux en poésie, nous désirons rappeler que les bêtes ont une place de choix dans la poésie depuis le Moyen-âge, même si le plus ancien des poèmes choisis est publié en 1835. Si Jean de la Fontaine préfigure dans ses Fables l'importance de la figure animale dans la poésie française dès le dix-septième siècle, il serait incongru de les considérer absents des écrits des siècles précédents. Bien au contraire, chats, chiens, loups, renards et autres corbeaux constituent

de justifier un dépassement des limites de la scène. Puis, viendra le temps d’étudier l’obscène dans sa dimension. Enfin, nous observerons que quelle que soit la définition qui lui est attachée, l’obscène représenté sur la scène d’un théâtre est un moyen utilisé afin d’opérer une rupture avec les normes du théâtre et de la société.Comme nous venons de le voir, le terme « obscène » peut amener différentes interprétations. Mais celle à laquelle nous allons nous intéresser tout d’abord est celle qui considère

Écriture poétique et quêtes de sens: du moyen age à nos jours Question préalable: Depuis le XVIII ème siècle, la poésie renouvelle sans cesse ses sources d'inspiration. La vieillesse, la pauvreté mais ici la laideur son vu sous un autre jour. Ce corpus de textes présente le poème «j'aime l'araignée» de Victor Hugo tiré du livre Les Contemplations parut en 1856. Francis Ponge présente son poème intitulé «L’huître» tiré de son recueil Le Parti pris des choses datant de 1942 . Guillaume Apollinaire

L.A. N*2, séquence 2 "Au sujet d'un enfant monstrueux" Essais,MONTAIGNE(1595) Intro: Au moyen-âge et à la renaissance, la norme humaine rejète tout ce qui est anormal. Au XVI eme, il y a un grand engouement pour les monstres, il attire, y sont fascinant mais font aussi peur car ils sont associés à la divinité. Montaigne explique que Dieu est le créateur de tout les êtres vivants quel qu'il soit( les monstres ne sont pas une punition). La tonalité didactique et épidictique sont omniprésents. Il

interprétations et connotations possibles: qui a de la grâce, charmant, gentil, assez caractéristique des enfants, ...
Cet ensemble implique donc un décalage entre les deux personnages, notamment en ce qui concerne le poète qui lui paraît être beaucoup plus âgé.
L'acteur central, principal de la scène est cependant la rose, désignée dès le vers 1. Elle est ensuite rappelée sous son hyperonyme « fleur » (v.11/17). Le poète en parle à la 3ème personne du singulier tout en étant le sujet d'actions diverses «

qui nous est laissé par les historiens le décrit1,2 « petit », « les jambes courtes » et « noueuses », « les épaules démesurément larges », « les bras longs », « une grosse tête ronde et ingrate », « la peau noire comme celle d'un sanglier ». Sa laideur (une chronique contemporaine dit de lui qu'il fut « l'enfant le plus laid qu'il y eût de Rennes à Dinan ») et sa brutalité lui valent l'opprobre paternel. Bien que l'aîné d'une fratrie de six enfants, sa mère donne la préférence à ses deux frères

sensibilité baudelairienne. En effet, le thème de la ville est un nouveau thème au XIXe siècle. C’est un thème qui commence à fasciner poètes et artistes. Il apparaît d'abord dans le roman d’Hugo Notre-Dame de Paris paru en 1831, qui peint Paris au Moyen-Age. De même le thème de la ville a servit comme un thème clé par le peintre Constantin Guys, qui est un peintre très admiré par Baudelaire. Guys peint des scènes de la mode et la galanterie parisiennes. Baudelaire lui dédie le poème "Rêve Parisien"

(voir figure 5) Que nous disent-elles ? Gargouilles animales : Les gargouilles animales peuvent être très variées ; plusieurs animaux ont été représentés de cette façon. La relation que l’homme avait avec l’animal au Moyen Âge est très différente que celle que l’on a aujourd’hui. On se méfiait des animaux et on voyait souvent l’œuvre du diable dans leurs gestes. On leur réservait le même sort qu’à l’être humain en cas de délit. Un procès pouvait être mené contre un