Latin ecclésiastique

ancienne juridiction ecclésiastique d’exception pour la répression des crimes d’hérésie, des faits de sorcellerie, etc. Définition tirée du Robert micro, édition 2006 L’investiture : n.f. Acte solennel qui accompagnait la mise en possession (d’un fief, d’un évêché…) Définition tirée du Robert micro, édition 2006 La simonie : n.f. Volonté délibérée de vendre ou d'acheter un bien spirituel ou intimement lié au spirituel (bénédictions, grâces, bénéfices ou dignités ecclésiastiques) pour un prix temporel

-pélerinage : voyage de dévotion vers un lieu saint B/Elle veut convertir ou punir les non-chrétiens -hérésie ; hérétique : qui est jugé contraire à la doctrine catholique par le pape et l'église romaine -Inquisition :  Inquisition tribunal ecclésiastique chargé de débusquer et de poursuivre l'hérésie -convertir :  amener à une religion, faire changer de religion Travail de vocabulaire 1)Chercher le genre de chacun des mots ci-dessus et l'ajouter. 2)Chercher le sens de ces mots dans leur

jusqu'à « le désir de voyager me pressait toujours » (ou ligne 88 à 155 pour certain) Vocabulaire : Alguazil : agent de police Hiéronymites : religieux, d'un ordre espagnol Dame d'Atocha : inventer par Voltaire Inquisition : tribunal ecclésiastique fondé au moyen age chargé de garantir les règles catholiques condamnant les hérétiques. Autodafé : cérémonie solennelle ou après lecture des jugements prononcés par l'inquisition on exécutés les hérétiques. Il y a un certain nombre de voyage

officiel du français sur le latin, n’est pas a priori significative pour l’emploi de la langue latine dans les actes royaux. En effet, le célèbre article 111 de l’ordonnance de 1539 ne visait que les actes produits par les tribunaux et les notaires. Ensuite et surtout, la chancellerie royale ne faisait déjà plus, à cette date, qu’un usage très modéré du latin. Deux catégories de documents font ici l’objet d’une analyse destinée à mesurer précisément les modalités de l’emploi du latin dans la première moitié

un procureur ecclésiastique. Il est, a un moment inquiété pour une accusation d'hérésie. De cette affaire anecdotique qui se déroula lors de l’enfance de Calvin, il faudra sans doute en tenir compte plus tard, pour mieux comprendre son mouvement de révolte contre les persécutions qui suivirent l' "Affaire des Placard" de 1534, et son engagement radical en faveur de la Réforme. Mais la position de son père permet au jeune Calvin d'être pourvu à douze ans de bénéfices ecclésiastiques qui lui seront

profondément notre culture est la langue. La langue latine fut la base de l’enseignement dans les pays occidentaux, pendant plusieurs années. Cela a résulté en plusieurs ressemblances entre le français et le latin, car malgré des structures linguistiques très différentes du français, comme le système de déclinaisons ou l’emploi de propositions subordonnées infinitives, la plupart des termes courants du français et d’autres langues occidentales sont issus du latin venant de jargon utilisé par les militaires

l'inquisition est un symbole d'intolérance. Tandis qu'elle n'existait plus en France, il l'évoque car l'intolérance existe toujours. Les persans emploient le terme "Dervis" (l. 44) car ils ne se connaissent pas le terme de moines. 1) Tribunal ecclésiastique Les moines sont des juges. On voit que l'on est dans le domaine de la justice grâce aux mots de vocabulaire : "présumé, accusé, innocent, juger, témoignage, sentence, condamner". On a tous les éléments qui montrent que c'est un tribunal de

donnent au clergé l'idée de regrouper les cités épiscopales dans des provinces ecclésiastiques, qui est un ensemble de cités épiscopales, ou diocèses, relevant d'une métropole, à la tête de laquelle se trouve l'archevêque. Cette hiérarchie s'établit au 4ème siècle. En France il y a une rivalité pour créer un archevêque entre Vienne et Arles. Le métropolitain, ou archevêque, a pour rôle de développer la discipline ecclésiastique (veiller sur le travail des prêtres), d'encadrer la population et de rendre

Lorsqu’un Concile se réunit, ce n’est pour autre chose que résoudre certains problèmes. En effet le concile de Constantinople ne fait pas exception à la règle, il réunit nombre d’évêque en 861 afin de « pourvoir en toute chose la bonne discipline ecclésiastique ». Certaines déviances sont à signaler, à condamner, puis à corriger. Chaque canons soulèvent un problème de nature différente, mais cela sont souvent liés. Le Canon 1 « Que c’est avec le consentement de l’évêque qu’un monastère doit être construit »

Sainte-Anne n'avait eu qu'un seul mari, et que Marie, sœur de Lazare, Marie-Madeleine et la pécheresse du chapitre VII de Saint-Luc sont trois personnes distinctes, portant toutes trois le même nom. Les Pères grecs les avaient distinguées ; les Pères latins les avaient confondues. La faculté de théologie décida en faveur de ces derniers. Il est étonnant combien cette dispute, qui semble aujourd'hui de peu d'importance, enfanta alors d'écrits polémiques Il fut nommé vicaire (1502) de Guillaume Briçonnet