Le Bonheur Commun

donc qui affirme que le bonheur est le but ultime (ou manque suprême) de l’Homme, et que nous prouvons qu’il a besoin d’amis pour être heureux, nous pourrons ainsi être rassuré quant à l’avenir de l’amitié dans nos sociétés modernes. Aussi pour accéder à son aspiration la plus profonde, l’Homme devra toujours passer par l’amitié, donc elle se perpétuera de fait. Pour ce faire nous étudierons dans un premier temps le rôle des amis dans le processus qui mène au bonheur, puis nous verrons que si

Sujet : Le bonheur relève t-il par le collectif (la politique) Introduction: Le plaisir et la douleur sont nos seuls guides. Ils déterminent les notions de bien et de mal. L'utilité est ce qui permet d'évaluer la valeur d'une action. Ce qui est bon accroît notre bonheur. Or, le bonheur est une affaire strictement individuelle. C’est ce que tous recherchent, cet état de complétude, de satisfaction complète, dans lequel rien ne nous manque. Ici on se pose un problème conceptuel: est ce que la

Le langage commun a emprunté à la philosophie nombre de ses termes. Ainsi en est-il de mots tels que sceptique, cynique, stoïque, etc., qui désignent dans ce langage commun essentiellement une attitude particulière à l'égard de la vie; c'est aussi le cas des mots mêmes de " philosophe " ou de " philosophie " lorsque l'on dit de quelqu'un : " il prend les choses avec philosophie " ou " c'est un philosophe ", entendant par là une conduite qui consiste à se désengager du monde, à s'en détacher. Toutefois

l’activité politique peut semble-t-il se définir par son but, la visée du bien commun. Mais dans un second temps nous serons conduits à montrer les difficultés et les limites que rencontre ce critère. C’est dans une réélaboration de celui-ci que nous pourrons finalement répondre à la question. I. Qu’est-ce qu’une activité politique ? L’analyse va montrer que son essence et son unité consiste dans la visée du bien commun. a) Critère pour défendre une activité Le but, qui diffère d’un simple processus

instrumentale » ou « rationalité par rapport à une fin ».  · Fins particulières · Se conformer aux impératifs de la prudence , qui sont instrumentaux, hypothétiques. Les fins sont communes à l’humanité, comme espèce animale ou biologique, et non plus particulières.  · Fins générales  · La recherche de fins valant universellement ( objectives) permet d’accéder à

dans une abbaye (Port Royal). Il s'intéresse à la question de la misère de la condition humaine et affirme que sa seule grandeur est de croire en Dieu. Dans cet extrait, il cherche à nous montrer que le bonheur dont tous les hommes sont en quête ne peut être accessible que grâce à Dieu. I-Le bonheur : un désir universel 1) Le désir d'être heureux touche tt le monde - désir universel « tous les hommes cherchent d'être heureux » → décrit de façon indéfinis « tous » = universalité + « sans exception »

d'avancer. Le progrès est l'action d'aller vers l'avant, de s'accroître, d'être meilleur. Pour une société ou pour l'humanité, le progrès est l'évolution dans le sens d'une amélioration, sa transformation progressive vers plus de connaissance et de bonheur. La notion de progrès est une idée moderne qui s'oppose à celle de stabilité qui dominait dans le passé. Les anthropologues constatent la difficulté qu'ont eue les sociétés primitives et les anciennes civilisations à appréhender cette idée. Même

moment de la vie : dans le travail, l'éducation ... • Second principe : la solidarité et l'union du peuple qui reposent sur la justice : mouvement ternaire lignes 3/4 (solennité, insistance), "liés par la droiture", "union", "sollicitude commune pour l'intérêt commun", "justice". • Troisième principe : Le rôle de la famille. Ces deux familles vont être la base d'une nouvelle société. Son unité est assurée par "d'heureux mariages". L'image des familles unies s'oppose au libertinage régnant en France

Pour définir le bonheur, nous pouvons partir de la définition qu’en donne Aristote dans Ethique à Nicomaque, I, 5 (cf. cours Etat) : le bonheur est le Souverain Bien, ce en vue de quoi nous faisons tout ce que nous faisons. Il est le but ultime de toutes nos actions, qui ne sert de moyen pour aucune fin ou bien ultérieur(e). Il est donc encore une fin parfaite, qui n'est jamais moyen pour autre chose. On ne veut pas être heureux pour autre chose que le bonheur lui-même. NB : l'expression de "Souverain

“Certains penseurs nous incitent à croire que le Bonheur se trouve dans la liberté. D’autres, au contraire, ne le voient que dans la soumission à une règle. Que pensez vous de ces deux attitudes? “ Chacun d’entre nous poursuit la quête du Bonheur. Inventant chaque jours de nouveaux stratagèmes pour s’en rapprocher, l’homme s’est fait sa propre image du bonheur parfait. Mais quelle est cette image ? Comment peut on juger si le bonheur d’autrui est véritable ou ne l’est pas? Nous allons