Le Bonheur Est Il Individuel Collectif Ou Universel

développement culturel, progrès ou régression ? 9 B. La culture est édifiée sur du renoncement pulsionnel 11 1. Le malaise dans la culture (Freud) 11 2. Répression et révolution (Marcuse) 12 III. Culture particulière et culture universelle 12 A. Le relativisme culturel 12 1. Le relativisme de Montaigne 12 2. La critique de Lévi-Strauss 14 B. La critique du relativisme : la tartine et les mathématiques 15 1. L’idée de progrès et de supériorité 15 2. La

* Liberté individuelle : primauté de l’individu sur la société (=) « Liberté individuelle politique ». passage du sujet de droit au citoyen libre et autonome. En 1789, le souverain absolu n’est plus le roi mais le peuple, la démocratie peut donc se constituer. * Sens économique : DDHC montre l’importance donnée à la liberté du commerce, de circulation et droit de propriété. * Benjamin Constant (1767-1830) = individualisme libéral : * illustre notion individuelle du libéralisme

mélodieux. 8 L’affirmation est rendue plus convaincante par le passage progressif du « je » initial à « chacun » puis à ce « nous » où l’auteur s’implique, prenant sa part dans l’aveuglement collectif (ETHOS, encore). Montaigne introduit là la distinction entre des valeurs qui passent pour universelles et des normes relatives, des « opinions », des « usages » qui ne sont nôtres que parce qu’ils sont pratiqués dans « le pays où nous sommes ». Montaigne dénonce ici ce que nous appelons aujourd’hui

quotidien, de l’époque.  Le recueil se distingue en deux tendances : - La dénonciation de la société de l’époque par le langage et les mots. On constate qu’une grande partie de ce recueil est inspirée par un besoin violent de protestation universelle. Ce besoin se manifeste par des allusions rapides, nourrit des paragraphes ou s'étend à des textes complets. Prévert conteste les représentants traditionnels de l'ordre établi : les prêtres, les politiciens, l'armée. - La valorisation de certains

l’idée de « sur-moi » de Freud / auditoire universel de Perelman La théorie des sentiments moraux et la conception de l’Homme II Les hommes n’agissent pas uniquement à la suite d’un calcul froid et rationnel; il font aussi preuve de sympathie (empathie) « Aussi égoïste que l’homme puisse être supposé, il y a évidemment certains principes dans sa nature qui le conduisent à s’intéresser à la fortune des autres et qui lui rendent nécessaire leur bonheur, quoiqu’il n’en retire rien d’autre que le

d’une lettre. 2-L’embrayeur du texte : II-Problème de séparation et de dépendance : 1-Une vérité en fait double : 2-Organicité ou agrégation ? III-La vérité morale découlant de la vérité empirique de la dépendance: 1-Problème de plan : 2-Un précepte universel : -D’où résulte ce précepte ? -Une règle impérative : 3-Des modalités d’application qui en précisent l’esprit : 4-Difficultés de bien juger: IV-Défense du précepte moral par ses implications et enjeux : 1-L’utile et le vertueux (argumentation par

conscience individuelle du citoyen face à la production massive de déchets. FAMILLE ET PRODUCTION DE DECHETS : Le problème de l’évacuation et du traitement des déchets est simultanément un problème politique, au sens noble du terme, et un problème pratique, très quotidien. « Il est plus difficile de se baisser pour ramasser un papier dans la rue que de monter une campagne publicitaire pour la défense de l’environnement.» Cet adage, mettant en avant la responsabilité individuelle dans toute

place privilégiée dans la nature? Peut-on parler de nature humaine identique en tout temps? (Nature humaine) La nature se suffit-elle a elle-même ? Texte de Sartre sur la nature humaine : " S'il est possible de trouver en chaque homme une essence universelle qui serait la nature humaine, il existe pourtant une universalité humaine de condition… " Peut-on dire que la nature est bonne? (Nature) Peut-on parler d'une nature féminine? La notion de nature est-elle une idée claire ? (La nature) Les hommes

fondamentalement éthique, ce qui le distingue là encore de ses contemporains pour qui le contrat social vise l’utilité, le bien-être, le bonheur. Les maux de la société ne sont pas simplement des problèmes matériels (pauvreté, inégalité, etc.) : ils menacent l’être même de l’homme. Comme l’observe Isaiah Berlin (2007 [2002]), Rousseau estime que les hommes n’ont pas le bonheur pour but : « Leur but est de mener la bonne sorte de vie » (ibid. : 71) et pour cela la liberté est absolument nécessaire. Un homme

a) Justice sociale b) Justice relative c) Justice et liberté d) Ascèse de la justice e) Justice des moyens IV. Les « passions » camusiennes 1. Nature 2. Espèces (passions collectives et individuelles) 3. Limites aux passions V. Les « vertus » camusiennes 1. « Vertu » et vertu 2. La justice 3. La lucidité a) Sa nature b) Son importance (dans l'absurde, la révolte, l'action) c) Son ascèse