Le Bonheur Privé

dire que le désir excède toujours le simple besoin? Ne peut-il pas être une simple source de satisfaction, donc de bonheur? Dans Le monde comme volonté et comme représentation, A.SCHOPENHAUER nous montre le mécanisme du désir et de non réalisation du désir puis que les êtres sont dépourvus d’intelligence comme des êtres prisonniers de leurs désirs, pour finir la quête du bonheur engendre ennui et souffrance. Le besoin, au sens psychologique, est un sentiment de manquer, à tort ou à raison

lui-même considéré comme une marchandise. On parle d’homme objet, c’est-à-dire qu’il y a déséquilibre entre l’homme et l’objet au profit de l’objet et au détriment du sujet. Il y a alors déshumanisation du travailleur qui se voit spolié, c’est-à-dire privé de sa richesse intérieure, et qui va sombrer dans l’aliénation sociale et individuelle. Le travail est alors une atteinte à la liberté individuelle et une source de malaise. En outre, ce passage de l’artisanat à l’industrie fait tout basculer : il

Introduction The Truman show > Terminales Ce film de Peter Weir (1999), fable sur un homme dont la vie est un gigantesque show télévisé, est l’occasion d’une réflexion sur plusieurs thèmes philosophiques : la vérité, l’existence, la liberté, le bonheur. Cette séquence pourra s’appuyer sur le visionnage de tout ou partie du film. Dans le cadre de la réflexion philosophique, quelques extraits nous paraissent particulièrement significatifs : - scène de la voiture avec la radio - scène du chocolat Mococoa

Nerval nous exprime son malheur et dans un deuxième temps, nous analyserons sa quête de personnalité. La désolation du poète. Le manque de bonheur. Dans ce poème, le manque de bonheur de Nerval se fait immédiatement ressentir par le titre «El Desdichado » c’est-à-dire le déshérité en français, qui nous informe qu’un homme est privé d’une richesse qu’il aurait du profiter. Toutefois, dès les premiers vers du sonnet, nous apprenons que cet homme n’est autre que Nerval lui-même puisqu’il

un jugement moral : * Juger les conséquences d’une décision * Juger la valeur intrinsèque d’un acte * Juger la moralité de la personne, éthique de la vertu L’utilitarisme comme justification des politique Définition : Le plus grand bonheur pour le plus grand nombre => L’utilitarisme n’est pas une philosophie égoiste * Pas applicable au niveau individuel mais quid du niveau collectif ? Les utilitaristes doivent juger un acte pas sur un cas particulier mais dans ses conséquences

désirs, l’homme a pour objectif d’atteindre le bonheur. En effet, la satisfaction d’un désir produit un sentiment de contentement chez lui, il est heureux. Selon une tendance naturelle, tout ce qu’accompli l’homme à pour objectif un bien, tout ce qui est mal, comme la frustration, étant instinctivement évité. De ce point de vue, l’homme ne doit désirer que ce qui est accessible pour lui permettre de satisfaire toutes ses envies et ainsi avoir accès au bonheur. Toutefois, l’imagination de l’homme lui

Peut-on encore protéger sa vie privée sur internet ? Jean Rivéro définis la vie privée comme étant « une sphère de chaque existence dans laquelle nul ne peut s’immiscer sans y être convié. La liberté de la vie privé est reconnaissance, au profit de chacun, d’une zone d’activité qui lui est propre et qu’il est maitre d’interdire à autrui. » Chaque individu a droit au respect de sa vie privée. Le développement d’internet a, néanmoins, rendu la notion de vie privée plus complexe. En effet, la manière

Introduction I) Une description du bouleversement du magasin le soir de la mise en vente du Paris-Bonheur A. La description crépusculaire d'un soir de vente B. Une atmosphère d'apaisement intérieur accentuée par le contraste avec l'extérieur C. Une description qui rend sensible le désordre du « Bonheur des Dames » II) La transfiguration épique du magasin en lieu ravagé par les clientes A. La métamorphose épique du magasin en champ de bataille au soir de l'assaut B. L'image d'un lieu

est cette loi de la nature qu'il suit comme une loi sacr�e. Seule compte � ses yeux la satisfaction ponctuelle de la sensualit�. ? les vraies richesses, ce sont les bonheurs faciles et brusques, r�ponses momentan�es aux interrogations des sens ? dans la pl�nitude de la jouissance physique, Meursault conna�t une sorte de bonheur primitif, une seconde d'�ternit�?. qui n'a comme corollaire que le silence�: le silence au monde � une dimension quasi m�taphysique. Ce silence se mue chez Meursault en

l’une de ses Pensées, écrit que « même celui qui va se pendre cherche le bonheur » Lui aussi pose cet acte qui lui apparaît comme un certain bien, c’est la raison pour laquelle il agit ainsi, malgré la perversion intrinsèque de cet acte. On constate alors que ce qui n’opère pas en vue de sa fin, travaille directement contre lui-même (ou contre sa propre espèce). En effet, ce qui n’opère pas dans sa fin naturelle se prive immédiatement d’une forme qui le perfectionne dans son être, c'est-à-dire