Le Bonheur Selon épicure Et Platon

figures de l’antiquité les illustrent : - Platon pour l’idéalisme, l’être est pensée. - Epissure pour le matérialisme Dans le ciel platonicien, le soleil est l’idée du bien, la connaissance. Tout ce qui est dépend du soleil, de la lumière qui rend le monde visible. l’idée du bien est la raison de toutes les autres. Ce qui est hors de la caverne est de l’ordre de l’idée et non pas du sensible, le sensible est une imitation appauvrissante de l’idée selon Platon. L’art peut déclencher des passions et

d’affliction).( presentation du plan)On verra dans un premier temps comment le désir peut nous fait que souffrir puis pourquoi il nous permet de nous accomplir et enfin qu’est-ce que nous pouvons minimiser cette souffrance et profiter des plaisirs. Epicure a classé les désirs en (dans) trois catégories ; ceux qui sont naturels et nécessaires comme boire et manger, ceux qui sont naturels mais non nécessaires comme boire ou manger des produits raffinés et ceux qui sont ni naturels et ni nécessaires comme

sur la bioéthique ? Comment instaurer un ordre social fondé uniquement sur le bien  ELUCIDATION CONCEPTUELLE D’emblée pour la clarté de notre exposé, nous distinguons Morale, éthique et bioéthique Selon Philippe Mérieux dans son ouvrage Choix d’éduquer, la morale est entendue comme « un ensemble de normes sociales concernant le comportement des individus dans une organisation donnée et régie par un système de valeurs déterminées. En revanche

pas toute l’œuvre. = Certain fragments disparus + Contexte de rédaction disparus : Exemple quand St Augustin cite Aristide de Cyrène il prend extraits qui l’arrange. Difficulté de restituer les contextes. Même pour Platon, les contextes sont difficiles. On ne dit pas que Platon désirait autodafé des œuvres de Démocrite, qui le dérangeait. Qui est Philèbe par exemple, on croit peut être que ses idées sont celle d’Aristide de Cyrène. Du mal à savoir pour qui ou contre qui les philosophes écrivent

se propose le désir comme objet, elle rencontre précisément une dimension de l'expérience humaine qui oppose par sa nature même une forte résistance au travail de la pensée, et qui le plus souvent échappe à son emprise : le désir surgit en l'homme selon ses lois propres, sa spontanéité est pour la raison morale toujours soucieuse de mesure et de modération, une source de turbulence inadmissible. C'est pourquoi réfléchir sur les désirs est sans doute déjà le signe d'une méfiance à leur égard voire

(97-55 Avant J. C.) ........................................................................................... 24 Pour mieux comprendre le texte .............................................. 25 Texte 6 : La passion amoureuse, illusion du bonheur ou bonheur illusoire, A. Schopenhauer (1788-1860) ..................... 26 Pour mieux comprendre le texte .............................................. 27 Texte 7 : Idéalisation de l’autre et censure de la critique, S. Freud (1856-1939). ......

déjà lui ôter sa gratuité). Dès lors s’abandonner à ce type de désir, c’est adopter un comportement contraire à la raison, à la logique ou à l’ordre des choses. -nous sommes aussi des êtres aspirant au plaisir et fuyant la souffrance, comme le dit Epicure, le plaisir est notre référence. Dès lors désirer l’impossible, c’est s’exposer à la frustration, au déplaisir, à la souffrance ; on ne peut pas prendre un tel risque garanti. -nous sommes enfin des êtres recherchant notre intérêt, or où est l’intérêt

bien positivement du fait qu'il nous comble que négativement car source d'insatisfaction. Dans celui-ci il est à distinguer les désirs naturelles, et les désirs artificielles. Les plus grands désirs de l'homme correspondent aux sept pêchés capitaux selon la religion chrétienne. Cependant si l'homme est animé par des désirs, peut-on pour autant affirmer qu'il en est le responsable ? Autrement dit, peut-on dire que, chacun étant mit en mouvement par des tentations, nous devons répondre de leurs actes 

physique ou psychologique chez l'Homme, puis nous verrons que le désir n'implique pas forcément de la douleur, enfin nous examinerons la possibilité de contrer cette souffrance. Rappelons que le désir et la souffrance sont interdépendants. Selon l'Étique de Spinoza, l'Homme serait victime d'illusions, pensant dominer la nature alors qu'il n'est qu'un « empire dans un empire » obéissant aux lois de la nature. Le désir serait bien souvent provoqué par des passions qu'il pense maîtriser telles

réel A) Le désir est l'expression d'un manque. Nous désirons des objets que nous ne possédons pas effectivement sinon nous ne les désirerions plus. Pour Platon, la réflexion sur le désir implique la nuance entre le sujet qui désire et l'objet qui est désiré. Il faut alors tenir compte du fait que l'objet désiré, le sujet en est privé car selon lui : « le désir est l'expression d'un manque » Le désir se révèle par l'expérience d'un manque, nous manquons de quelque chose que nous espérons trouver