Le Bonheur Stoïciens

ou des sages ? Un sens suggère d’avoir accès à un bonheur sans restrictions et sans réflexion sur les conséquences qui risqueraient d’arriver et l’autre relèverait plus du bonheur collectif qui serait traité de façon raisonnable. A supposer que le bonheur existe bel et bien et qu’il est au fond de nous. (PS : les Hédonistes recherchent le bonheur, mais sont-ils heureux ? comme le seraient ces enfants gâtés et grincheux. Est-ce que le lien bonheur-heureux est si légitime ?) Abstention : Faut-il

de plaisir ou de contentement, voire de bonheur et tantôt considéré négativement comme une source de souffrance, une forme d'insatisfaction. Désir de nourriture : la gourmandise Désir de la chair : la luxure, concupiscence Désir de l'argent : la cupidité Désir du pouvoir : l'envie Désir des honneurs : l'orgueil Nous éprouvons sans cesse des désirs : que le désir vise un objet déterminé − une belle voiture − ou un état diffus et général − le bonheur −, désirer semble faire corps avec l'élan

Texte : « Tant qu'on désire on peut se passer d'être heureux ; on s'attend à le devenir : si le bonheur ne vient point, l'espoir se prolonge, et le charme de l'illusion dure autant que la passion qui le cause. Ainsi cet état se suffit à lui-même, et l'inquiétude qu'il donne est une sorte de jouissance qui supplée à la réalité, qui vaut mieux peut-être. Malheur à qui n'a plus rien à désirer ! Il perd pour ainsi dire tout ce qu'il possède. On jouit moins de ce qu'on obtient que de ce qu'on espère et

différentes philosophies postulent la dépendance du bonheur et des règles de conduite à l’égard de nos conceptions de l’univers, elles s’attachent à trouver un intérêt pratique à la recherche intellectuelle et elles assignent à la raison le rôle de consolider les dogmes que les maîtres ont déjà

PHILOSOPHIE Le bonheur • Sceptique : Il est capable de détruire n'importe quelle vérité, « Rien n'est sûr ». • Epicuriens : Pour les sceptiques c'est ceux qui disent qu'il faut chercher le bonheur , mais de façon modérée. • Stoïciens : Préparé à tout. Supporte les chocs sentimentaux comme banals. (SENEQUE) • Ataraxie : Elle qualifie le bonheur, puisque ce dernier est conçu comme un état de sérénité, d'absence de troubles psychiques ou physiques. • Eudémonismes : Doctrine plaçant

Rousseau, le bonheur de ces auteurs est évoqué. Nous allons voir à quoi se rattache-t-il. Tout d’abord, certaines personnes trouveront le bonheur dans les choses simple de la vie comme la nature. La Fontaine oppose dans son poème un homme qui aime son jardin : > L. 7 à un vieillard austère : > l. 25. Dans cette citation La Fontaine critique l’exagération du vieillard car il enlève même ce qui est nécessaire. De la ligne 30 à 36, la Fontaine explique que les Stoïciens (d’où l’expression

Texte : « Tant qu’on désire on peut se passer d’être heureux ; on s’attend à le devenir : si le bonheur ne vient point, l’espoir se prolonge, et le charme de l’illusion dure autant que la passion qui le cause. Ainsi cet état se suffit à lui-même, et l’inquiétude qu’il donne est une sorte de jouissance qui supplée à la réalité, qui vaut mieux peut-être. Malheur à qui n’a plus rien à désirer ! Il perd pour ainsi dire tout ce qu’il possède. On jouit moins de ce qu’on obtient que de ce qu’on espère et

comment la position sur les dieux et celle sur la mort sont complémentaires à cet égard ? 4. Reprenez l'opposition entre le sage et la multitude vis-à-vis de la mort 5. Comment interpréter sa position vis-à-vis de l'avenir ? Un obstacle au bonheur, c'est la perspective angoissante de la mort, la conscience tragique de notre finitude. A cause de la mort, nous habitons "une cité sans murailles" (Sentences vaticanes, 31): nous vivons dans l'insécurité. Comment est -il possible de guérir de la

Analyse du sujet: Il faut dans un premier temps distinguer le bonheur du plaisir qui n'est que la satisfaction d'un désir. Le bonheur s'oppose au plaisir car il suppose une notion de durée alors que le plaisir est éphémère. Le bonheur est un état qui dure un certain temps.La recherche du bonheur est un principe classique dans la  philosophie antique. Tous les hommes cherchent de fait le bonheur, mais ils peuvent néanmoins se tromper dans la voie qui y mène. Aristote écrit en effet dans La Politique:

Ce texte évoque le thème du désir mais également du bonheur. Le bonheur réside dans la satisfaction de nos désirs. Or, nos désirs, embellis par notre imaginaire, ne sont pas toujours réalisables entrainant souffrance, déception, frustration. Malheureusement, le désir ne se fixe pas de limite, en effet l’impossible, l’irréel attire. Sommes-nous alors contraints à vivre dans l’éternelle insatisfaction ? Ou ne faudrait-il pas plutôt réduire l’écart entre le réel et le désir, afin de pouvoir réaliser