Le Bonheur Stoïciens

épicuriens ou stoïciens, qu'ils se nomment Montaigne ou Pascal. Les grands moralistes Parmi les grands moralistes, il faut retenir, chez les Grecs, Théophraste (Caractères), Plutarque (Œuvres morales). Chez les Latins : Cicéron (De l'amitié, De la vieillesse, Des devoirs), Sénèque (Lettres à Lucilius, De la colère, Des bienfaits). Épictète, Marc Aurèle voient la racine de la volonté dans le discernement et, avec les autres stoïciens, ils nous demandent d'user de la vie selon la raison. Le bonheur dépend

souvent la question du désir, c'est bien parce qu'il pose problème tant dans la perspective d'une action autonome que dans l'obtention du bonheur. C'est au regard de la nature même du désir que les Stoïciens, ainsi que les Épicuriens, définissent le bonheur comme état stable de contentement durable. Le désir étant par nature un mouvement souvent incontrôlable, le bonheur ne pourra être obtenu que par le renoncement ou le contrôle des désirs.  Epictète, Manuel : « I. De toutes les choses du monde, les

II. Si le bonheur ne se trouve pas dans le plaisir, en quoi consiste-t-il ? 1. Le bonheur est difficile à définir et à ressentir. Difficile à définir : Parce qu’il y a beaucoup de critères qui définissent le bonheur Parce qu’il est subjectif, c’est un sentiment. ← Schopenhawer (p 213 du livre) Le bonheur est un sentiment neutre qui est donc difficile à ressentir, puisqu’on ressent plus facilement les souffrances que le calme propre au bonheur. Pour lui, le bonheur ce n’est qu’une

Philosophie Celui qui gagne au loto aura tendance à penser que le bonheur est une question de chance. Nous pouvons nous demander : le bonheur dépend-il de nous ? Tout d’abord, on peut se demander si le bonheur existe vraiment. Des moments éphémères de plaisir lorsque par exemple un événement arrive mais ne durent pas. Si le bonheur ne dépend pas seulement des circonstances favorables mais de nous alors peut-être peut-il être plus durable. Le bonheur ne serait pas éphémère et dépendrait de nous s’il ne concernait

moi et peut être ce qu’il y a de plus profond en moi. On dit parfois : «  dis moi ce que tu désires et je te dirais qui tu es, ce que tu va faire, etc. ». On peut s’inspirer de la philosophie des stoïciens pour résoudre ce paradoxe. Dans les Tusculanes, l’orateur latin Ciceron exprime la théorie stoïcienne du désir, plus exactement du désir passion. Enfin, nous faisons une distinction entre désirer une chose et avoir une passion pour une chose. Dans la langue classique, on appelle passion un désir

au stoïcisme, philosophie hellénistique (de la période hellénistique) qui prône la sagesse, le bonheur et la liberté, et ouvre même son école à Rome, avant d’être exilé en Corse en 41. Pendant sa carrière et son exil, il écrira de nombreuses oeuvres telles que De la colère, De la vie heureuse ou encore De la brièveté de la vie. Dans cette dernière, traité philosophique visant à atteindre le bonheur, Sénèque s’adresse à Paulinus, son beau-père. Il explique qu’afin d’être heureux, il faut se concentrer

Thèse : Le plaisir et le désir contribue au bonheur mais n'est pas nécessaire . "Une théorie non erronée des désirs": Epicure pense que la plupart des hommes se font une fausse idée du bonheur et que, pour cette raison, ils échouent à le trouver. Tout désir et tout plaisir ne sont pas bons : Parmi les plaisirs, il faut choisir ("tout choix et toute aversion" ). Sur quels critères, selon quels principes, doit-on juger qu'un désir peut être satisfait ou au contraire qu'il est à fuir? Il y en a

par Pascal en 1670 et enfin nous avons le poème Le Mondain qui fut écrit par Voltaire en 1736. Chacun de ses 4 textes traitent du bonheur et surtout de quoi celui-ci dépend t-il c'est pour cela que dans les lignes qui vont suivre je répondrai à la question «De quoi dépend le bonheur pour chacun des auteurs ?» Déjà nous pouvons remarquer que la conception du bonheur s'oppose chez Voltaire et Rousseau, Voltaire prône « l'abondance » et « le luxe » tandis que Rousseau préfère la nature et la solitude

Le bonheur comme son étymologie l'indique semble avant tout relever de la chance (bon-heur = le bon augure) . Avoir du bonheur dans ses affaires signifie ainsi que les affaires que l'on menait ont rencontré de bonnes circonstances extérieure et ainsi ressenti un moment de plaisir. C'est un peu comme si qu'un génie ou une bonne fée avait bien fait les choses, avait fait en sorte qu'elles se trouvent au bon moment et au bon endroit. Ainsi semble t-il rien de plus hasardeux que le bonheur et pourtant

(impératifs catégoriques qui commandent de faire Le Bien posé comme valeur absolue, par exemple « tu ne tueras pas ») Ethique : réalisation raisonnable des besoins (tendance naturelle à chercher le bon comme valeur relative - la recherche de son bonheur, qui peut par exemple légitimer certains actes médicaux généralement considérés « immoraux » comme l’euthanasie, l'avortement, le don d'organe, etc.). _ Morale généralement rattachée à une tradition historique et parfois idéaliste (de type kantienne)