Le Chagrin Et La Pitié

structure (additions successives) illustre échec de Phédon à s’imposer dans la conversation , portrait souligne fait qu’il sait des choses mais le fait de pas pouvoir s’imposer le laisse paraître comme un « stupide » lecteur pitié · Conjonction de coordination « et » relance phrase avec aspect positif, ce qui peut être une qualité, mais quand-même fiasco contraste entre qualités et résultat termine tjr en échec, souligné par asyndète Phédon n’arrive pas à profiter

bel et bien sa maitresse qui le prive de tous les succès qu'il aurait pu connaitre. Il en arrive à rêver à une femme qui serait faite pour lui, qui le laisserait libre et heureux et qui serait acceptée par son père. Il n'éprouve plus qu'une profonde pitié pour son amie et est excédé par ses inquiétudes. Ennuyée par la froideur d'Adolphe, Ellénore le confie à une de ses amies qui le questionne sur ses sentiments. Celui-ci finit par avouer que l'Amour a chez lui laissé sa place à l'amitié. Cet aveu jette

mère qu'il est fiable malgré son mariage. ZOLA nous avait montré que la mère avait cédé aussitot, cherchant la satisfaction de son désir en pleine souffrance et en plein souci de sa fille maladive. Le lecteur se rend compte à la fin de ce roman que ZOLA l'avait chagriné sans pitié par cette fin tragique, une fin ou la maman avait pris conscience qu'elle n'a pas fait le bon choix, qu'elle avait perdu un etre cher pour un désir passager et d'ailleurs ce désir qui fait partie de ses éléments.Une page d'amour est considéré

son âme à lui qui simule une violente passion. Or Valmont se prend d'un amour véritable dont s'offense la Merteuil qui le met au défi de rompre. Se sentant pris d'un regain de convoitise pour la comtesse, il abandonne la présidente qui en meurt de chagrin. La Merteuil peut alors se venger de lui en révélant à Danceny la séduction dont a été victime Cécile. Le chevalier, se transformant en vengeur de la morale, tue Valmont en duel. Cécile entre au couvent. La Merteuil, ruinée et défigurée par la variole

puisse être bien tendre lorsqu'on manque de pain?».Elle est réaliste.Des Grieux semble goûter le péché, recracher et en redemander, il est perdu, aveuglé par les passions en particulier Manon. Il manipule Tiberge et les personnes qui le prennent en pitié (dont M.de T...qui lui prête de l’argent et l’aidera à faire arrêter G.M… p.95, le Marquis de Renoncourt qui lui permet avec quelques Louis de rester auprès de Manon durant le voyage en Amérique p.12-18); comme des marionnettes, comme Manon avec les

le peuple : « tout consterné », « partout on voit la douleur et le désespoir » et l’anaphore « toute la cour […] tout est déspespéré ». Impression résumée par la parole du prophète (15 et 16). Effets de l’événement sur les puissants (cf. ligne 1 ; chagrin du roi ; universalité du deuil) à respect des bienséances (on ne voit pas le corps) et plus d’efficacité sur le public.  èèLeçons : * 1 à 8 : décès des grands = instruction pour tous (cf. ligne 3). Il démontre l’égalité devant la mort et la nécessité

société, à ses luttes, à sa politique ». 3 – L’éclatement du mythe de l’unité A – La remise en question du « passé glorieux » Après 1968, l’affaiblissement du gaullisme et du PCF permet la remise en cause de version résistantialiste. (« Le chagrin et la pitié » est censuré en 1969) En 1973, Paxton, un historien Américain publie « La France de Vichy », un ouvrage marquant qui contredit la mémoire officielle. Avec l’arrivé de la gauche au pouvoir en 1981, des procès d’anciens Vichystes font l’objet

A ) Un nouveau regard sur Vichy et les « années noires » > Contexte de 1970 : favorable à un changement d'opinion concernant l'occupation. > La fin d'un mythe d'une France : résistante → dressée contre l'occupant nazi Le chagrin et la pitié de Marcel Ophüls sort en salle en 1971 → la résistance y apparaît comme très minoritaire alors que l’antisémitisme français semble très répandu. Henry Rousso appelle cela le « miroir brisé » → la réévaluation du rôle de Vichy dans la collaboration

Anaphore de « personne » : ton passionné de M qui dénonce le jugement d’insensibilité qu’on lui a prêté : sa mère a vécu jusqu’à la fin, en ayant cs de sa fin prochaine. Donc, ce reproche n’est dicté que par les conventions sociales qui imposent le chagrin nécessaire alors que sa mère avait la cs assumée –la mort heureuse- de sa mort, elle ne s’est pas arrêtée de vivre. 3ème mouvement : le bilan d’une vie -il prend sa mère et sa conduite comme modèle l 21 22 Il refuse d’endosser les remords

pour s’en tant prévaloir;
Et je ne sais pourquoi votre âme ainsi s’emporte,
Madame, à me pousser3 de cette étrange sorte. CÉLIMÈNE Et moi, je ne sais pas, Madame, aussi pourquoi On vous voit, en tous lieux, vous déchaîner sur moi.
Faut-il de vos chagrins, sans cesse, à moi vous prendre?
Et puis-je mais4 des soins qu’on ne va pas vous rendre?
Si ma personne aux gens inspire de l’amour,
Et si l’on continue à m’offrir chaque jour
Des vœux que votre cœur peut souhaiter qu’on m’ôte,
Je n’y saurais que