Le Champ Lexical Dominant

leur brièveté et leur simplicité. I. La mélancolie de ce poème Le poète semble constater un état que rien ne motive, sinon un accord entre l'âme et le paysage humain, Verlaine oscille entre sentiments contraire, mais donne comme impression dominante celle d'une douce mélancolie. ⁃ Le biais du lyrisme classique avec le possessif '' mon '' ( vers 1 ), ou encore avec l'apostrophe '' Ô '' ( vers 5 ), qui valorise le bruit de la pluie et qui le rend compte d'un état d'âme. ⁃ Le dégout de soi

vous sont proposés à la fin du texte, avoir toujours à l’esprit : « Que raconte l’auteur ? » et surtout « Comment il l’exprime ? », donc il faut manier d’ « outils d’analyse «  pour éviter la paraphrase  et soutenir votre argumentation : Champs lexicaux dominants, figures de style, temps des verbes, focalisation, registre de langue, sens implicite de certains mots, style direct, indirect, indirect libre, rythme des phrases (courtes, longues, saccadées)….d’autres outils d’analyse peuvent intervenir

L’automne de Lamartine CorrigéLe poème de Lamartine se lit comme un déploiement lyrique autour d’une saison privilégiée aux connotations funèbres. 1-Le thème dominant de ce poème est la nature comme le révèle le titre. En effet, la nature est évoquée dans le poème dans ses moindres détails comme l’atteste ce champ lexical : «  bois, verdure, feuillages, gazon, nature, l’horizon, terre, soleil, vallons, l’air, lumière, fleur, zéphyr, etc  ». La présence de ces détails

littéraire, le projet d’étude… éclaireront la compréhension du texte ? on s’appuie en particulier sur le paratexte, les dates… * Quel est le genre littéraire de l’œuvre ? poème, roman, pièce de théâtre ? * Quels thèmes sont abordés ? quels champs lexicaux le prouvent ? * Le cadre spatio-temporel est-il clairement défini ? * Quelles présences note-t-on ? s’agit-il de personnages ou de personnes réelles ? * Remarque-t-on une progression, une évolution entre le début et la fin du texte 

d'octosyllabes. Le thème dominant est celui de la mort et du drame. Nous parlerons donc d'un registre tragique et fantastique. 1) mort et malheur sur le chemin du poète (thème baroque) a) animaux rencontrés accumulation animaux inquiétants, de mauvaise augure (vautour, corbeau, 2 belettes et 2 renards, serpent, aspic) allitération en [r] "corbeau" "croasse" cri désagréable du corbeau représenté b) ambiance apocalyptique allitération (cri, peur, tonnerre) harmonie imitative champs lexical de l'apocalypse

Il vise finalement de tracer son image de la mort. Javert se noie dans la Seine à Paris dans une nuit extrêmement sombre. Le texte insiste fortement sur le fait que l'action se déroule dans une nuit sombre par la répétition régulière du champs lexical de l'invisible: "Tout était noir" et "On ne distinguait rien" ligne 1, "...on ne voyait pas.." ligne 2, "indistinct" ligne 6, "On ne voyait rien" ligne 9, "sombre" ligne 12, "ombre" ligne 13, "ténèbres" ligne 15 et 19, "l'invisible" ligne 15,

elle » l.27 qui engendre l’éclatement de la bulle de bonheur. - Rupture aussi au niveau des couleurs: auparavant les couleurs douces dominaient (vert tendre de la nature) et l.33 on remarque l’apparition du rouge du sang et de la violence. - Champ lexical du malheur = «misérables» + voir au dos. II-Un dénouement tragique. 1) L’urgence de la situation. a) Le cri : révèle immédiatement la présence de Rosette mais ce qui est surtout souligné c’est l’ampleur de ce cri avec l’adjectif

Gervaise. Elle est dans une attente angoissée : elle guette Lantier jusqu’à 2 h du matin, d’où l’importance du champ lexical de la vue (guettait, avoir vu, regarder, yeux). Gervaise regarde l’intérieur de la chambre (focalisation interne), apparaissant sous une vision panoramique, il y a une délégation de point de vue de la part de Zola. A la fenêtre, elle est en surplomb, d’où une situation dominante. Le narrateur s’efface pour faire croire le lecteur, pour faire plus réel. L’écrivain naturaliste veut ancrer

double morale. Dès le quatrième vers, un combat se met en place et le rythme de la narration s’accélère grâce à une ponctuation marquée ainsi qu’à un rejet au vers treize : l’attaque du moucheron dévoile un registre épique souligné par le champ lexical de la guerre : « trompette », « héros », « guerre »,  « ennemi ». Le moucheron, habile et rapide, joue plusieurs rôles car il « fut la trompette et le héros ». Son omniprésence est caractérisée par l’hyperbole « en cent lieux ». La métaphore filée

Enonciation "je" = implication de l'auteur qui se place comme un spectateur "regarde" et "vois" Fin de phrase longue et rythmé par les virgules pour montrer les rapports colonisateurs/colonisés avec un champ lexical du combat (force, brutalité, cruauté, sadisme -> gradation) Un champ lexical du dominé (subalterne, boys, employés) Parodie -> renvoit à l'idée de mensonge du début du texte + le mot "attive" montre le peut de conviction des colonisateurs. En effet les noirs sont juste "nécessaire"