Le Champ Lexical Dominant

Gervaise. Elle est dans une attente angoissée : elle guette Lantier jusqu’à 2 h du matin, d’où l’importance du champ lexical de la vue (guettait, avoir vu, regarder, yeux). Gervaise regarde l’intérieur de la chambre (focalisation interne), apparaissant sous une vision panoramique, il y a une délégation de point de vue de la part de Zola. A la fenêtre, elle est en surplomb, d’où une situation dominante. Le narrateur s’efface pour faire croire le lecteur, pour faire plus réel. L’écrivain naturaliste veut ancrer

bonheur : • Uniquement du dialogue porté sur le bonheur avec le champ lexical « bonheur, heureuse » • Caractéristiques du théâtre : didascalies « hausse les épaules », « la secoue », « doucement », « le regard perdu ». Les prénoms des personnages sont mentionnées dès qu’ils ont la parole, ici CLEON ET ANTIGONE b). Un sujet polémique à la tonalité tragique : • En effet, dans cette scène le registre polémique est dominant, Cf : - termes dépréciatifs « Vous me dégoûtez, tu es laide, tu

thème(s) du texte (= de quoi parle le texte). Se demander si ce(s) thème(s) peut (peuvent) être mis en relation avec l'oeuvre dont le texte est extrait, avec le titre de l'oeuvre, avec l'auteur, avec l'époque. • Le(s) registre(s) (ou tonalité(s)) dominant(s) : il(s) diffère(nt) selon que l’auteur a voulu faire rire (comique), émouvoir (pathétique), exprimer ses émotions (lyrique), provoquer l’interrogation en créant une faille dans le réel (fantastique), … • La structure du texte : repérer les

rapprocher. Phedre est consciente de sa situation, elle ressant de la honte et de la culpabilité. 3/ Le cheminement de l’héroïne vers la mort Dans la scène 1, elle est présentée comme un femme mourante, et qui cherche à mourir. On repère le champ lexical de la mort comme : « fatal », « je péris ». Phedre va mourir et elle en est parfaitement consciente. C'est cet aveu fait à Oenone qui enclenche son chemin vers la mort. Phedre va avouer trois fois au cours de la pièce : une fois à Oenone, une

ainsi que sa force, renforcée par l’adjectif hyperbolique « terrassante » ( l 246). Cependant, cette vigueur corporelle s’oppose totalement à l’apparence physique « féminine » (l94) du Chevalier. Sa « beauté », mise en valeur par la répétition lexicale du terme entre les lignes 93 et 95, devient érotique à l’évocation d’atouts féminins que l’être possède. Le « teint blanc » (l94), « les formes sveltes » ( 246 », ainsi que la « taille fine et cambrée » ( l248) sont d’autant de critères de beauté

PL : schéma actanciel du récit (sujet/ objet/ opposants/ absence d’adjuvants) + singulier vs pluriel + métaphore filée de la chasse. 2. L’atmosphère de violence. PL : champ lexical du bruit + silence + champ lexical des armes + métonymie et déshumanisation progressive des ennemis. 3. Un homme blessé (et affaibli). Champ lexical significatif + dramatisation marquée par la récurrence de l’adverbe « bientôt » + intervention directe du narrateur. II - Le narrateur vise à mettre en évidence les émotions

I -Une évocation réaliste et baroque de la mort A - Une description réaliste de l'altération du corps Evocation insistante de son corps → champs lexical : "os", "bras", "oeil", "corps", "face", "yeux".  Ronsard nous propose une analyse clinique de la dégradation de son organisme Ronsard souffre en esthète → le quatrième vers évoque sa réticence à se regarder. B- Le constat douloureux de la dépossession de soi L’ouverture du sonnet sur l'hémistiche "je n'ai plus que les os" marque une profonde déperdition

comme un lieu agréable à visiter. Le champ lexical dominant dans ce poème est celui de la nature avec le lexique de la flore : « fleur » vers 4, « tremble » vers 8, « roses » vers 9, « lys » vers 10.. C’est un paysage qu’on a envie de visiter en compagnie du poète. L’expression « Qu’éclairait doucement le soleil du matin » vers 3 produit un effet de quiétude et de sérénité. Le poète se promène tranquillement dans son jardin, ne craignant rien. Le champ lexical de la lumière : « éclairait » vers 3

I/ L’intrigue - Schéma narratif -Le lieu - Le point de vue - Le rythme du récit - Temps verbaux -Schéma simple - Chez les Raquins - P.d.v : omniscient et interne -rythme rapide -présent, imparfait (regarder : dominant) « un jeudi »l.1 « Mme Raquin se souvient »l.15, « puis elle s’oublia »l.41, « regarda » l.6, « regardait le nouveau venu » l.35, La venue de Laurent est « un jeudi » soir, le soir où Mme Raquin reçoit ses amis d’antan. « Mme Raquin se

I-Registres Caractéristiques Effet recherché Réaliste -Détails descriptifs,-Précision spatio-temporelles,-Dialogues au discours direct,-Champs lexicaux de la vie sociale (métiers, ville…). -Faire passer la fiction pour vraisemblable, produire l’illusion du vrai. Fantastique -Expression du doute,-Ruptures de la narration et jeux sur la focalisation,-Champs lexicaux de la peur, de l’étrange, du monstrueux. -Susciter l’incertitude, le trouble, l’angoisse, la peur. II-Les trois fonctions de l’incipit