Le Choix d'aimer

toi ». Cette alliance belle et exigeante nous fait partager, au-delà des mots, l’intimité de la vie divine. A l’homme qui se découvre incapable d’aimer en vérité, Dieu révèle qu’une alliance fondamentale entre Lui et nous a été rompue. Parce que nous ne faisons plus l’expérience d’être aimés, pour toujours et gratuitement, nous sommes incapables d’aimer à notre tour. Dieu prend alors l’initiative de nous « rééduquer à l’amour ». Il nous invite à faire l’expérience de ce qu’il vit pour que nous redécouvrions

personnages. 3) Choisissez 4 passages différents de la pièce pour illustrer les 4 types de comiques possibles : comique de mots, comique de caractère, comique de situation, comique de geste. Vous recopierez les passages concernés et justifierez votre choix avec des phrases correctement rédigées. •Comique de mots : il réside dans les jeux de mots, les défauts de prononciation mais aussi d’images amusantes, de double sens. « HARPAGON. - Je crois ce que je crois ; mais je veux que tu me dises à qui

remarquer que c'est la nature qui décide de ce qui convient ou non au bien-être du corps, et que notre pouvoir se limite à établir une hiérarchie des biens qui nous fera préférer sans doute la santé au plaisir d'un instant. Quel est alors le bon choix, c'est-à-dire quel est de tous les biens le plus grand, celui qu'il faut préférer à tous les autres ? C'est bien entendu la liberté elle-même. Or, elle suppose avant tout le détachement. En effet, si nous ne sommes pas libres, c'est parce que nous

également sa fragilité de jeune fille. Mais elle éclaire aussi son personnage par le récit de son éducation exemplaire. C'est alors que la figure maternelle envahit le portrait de la fille et on sait de quelle façon cette éducation influencera ses futurs choix. L'éducation dispensée par Mme de Chartres interdit à sa fille l'amour naïf et lui dicte un amour légaliste. Objet de l'interdit maternel, l'amour agréable et dangereux est par là même inconsciemment valorisé et désiré : c'est le fruit défendu. Malgré

fois morale et matérielle?". C'est l'heure des bilans et des choix douloureux. Le premier bilan est celui du corps, atout non négligeable pour toute femme : "Ma minceur avait disparu ainsi que l'aisance et la rapidité de mes mouvements. Mon ventre saillait sous le pagne qui dissimulait des mollets développés par l'impressionnant kilométrage des marches (…). L'allaitement avait ôté à mes seins leur rondeur et leur fermeté"[2]. Quant au choix d'un avenir autre, le sien est plus que surprenant. Alors que

tourmenté, qu’il se considère chassé du paradis du « spirituel » vers l’enfer du terre-à-terre et des passions. Ils ont aussi en commun d’avoir écrit sur l’amour et sur le spleen (bien que à l’époque Ovide n’utilisait pas ce terme) Ovide a écrit L’Art d’aimer, les Triste et les Pontiques. Dans ce poème, on voit que Baudelaire accepte sa condition, il reconnaît que son âme est traversée et même avide de passion. On voit sa détermination au martèlement des consonnes des v. 5 et 6. Il y a aussi une allitération

de son histoire passée et de sa situation sociale. Par exemple, elle sait qu’elle a besoin d’un métier et désire devenir médecin. Ce désir est lui-même stimulé par son environnement (par exemple la présence de médecin dans sa famille). Ensuite, le choix des formations à sa disposition dépendent de ses résultats scolaires. Pour être médecin il doit se diriger vers un bac S. Enfin sa motivation est aussi très importante : en effet si la personne n’est pas motivée elle ne supportera pas les 10 ans d’études

donc expliquer pourquoi il est parfois nécessaire de devenir « soi-même ». Dans la période appelé « enfance », nous sommes dans l’incapacité de choisir par nous-même, de prendre notre vie en mains, nous ne sommes pas encore indépendant. Ce sont les choix d’autrui, ou de ceux qui nous éduquent, nos parents, qui sont répercutés sur le « nous-même ». C’est seulement après, à l’âge de la maturité, que nous prenons peu à peu conscience du « nous-même ». Plus l’on mûri, plus l’on affirme ce « nous ». Cela

Travail présenté à : Danny Bouchard Par : Hanane Attoui Date de remise : 06/12/2011 L’amour est-il nécessairement beau? Souvent, lorsqu’on parle d’amour dans les relations d’amour, dans les relations qui hantent nos désirs, nos choix, on constate toujours qu’il faut toujours saisir d’avance l’impact de cette beauté divine sur la prose de l’hésitation. Le fait de lire l’adoration dans les creux de silence est un amour… le fait de butiner avec impatience dans les prairies de la nostalgie

passé en puissance, il est le moment du choix et de l'action." Simone de Beauvoir, extrait de Pour une morale de l'ambiguité. "Le temps mûrit toute choses, par le temps toutes choses viennent en évidence, le temps est père de la vérité". François Rabelais "Dans toutes les affaires financières, il est très important d'avoir la force et, surtout, le temps d'attendre, le temps d'élaborer une stratégie". Paul Desmarais "Le temps de lire, comme le temps d'aimer, dilate le temps de vivre". Daniel Pennac