Le Citoyen Doit Il Obeir Ou Resister

on a l’habitude d’obéir, qui a les moyens matériels de contraindre, et qui est soutenu par l’opinion qu’on a de sa force, la croyance dans son droit de commander (sa légitimité) et l’espoir qu’on met dans sa bienfaisance » . Or, on le sait, on doit obéir au pouvoir pour deux raisons : soit « parce que », soit « en vue de ». Dans la direction du « parce que », on a développé les théories de la souveraineté. La cause efficiente de l’obéissance réside dans un droit exercé par le pouvoir, qui lui revient

étant une cité . Deuxième caractéristique c'est que la société est une société inégalitaire accepté . La société grecque est esclavagiste et ne se pense pas autrement . Cela permet de libérer le citoyen des tâches les plus importante . Mais elle n'est pas exclusivement esclavagiste , il y a des citoyens très pauvre qui travail . Les esclaves grecs travaillent dans les mines … L'égalité n'est pas totale . Tout les penseurs grecs pensent le système économique et social comme étant esclavagiste , c'est

Aïe, donc ! Puisque le dessein de la Nature concerne toute l’espèce humaine, il doit se réaliser universellement. Il faut donc un ordre politique universel. Or, dans les relations internationales, les états agissent comme les individus au plan national, sur le registre de l’insociable sociabilité. Mais les ressorts qui ont conduit malgré tout les individus à vivre en société (l’intérêt bien compris) s’appliquent aussi aux états. D’où la certitude qu’a Kant de l’établissement d’un État cosmopolitique

d’Etat : on dit du Conseil d’Etat en France qu’il est le juge de la légalité, car il juge si les actes administratifs sont conforment à la loi. Il opère un contrôle de conformité par rapport aux lois. Actes Administratifs : tous actes administratif doit être conforme à la loi. L’institution la plus importante en France sous la IIIème République c’est le Parlement. On parle ainsi d’un véritable légicentrisme. Il y a une supériorité de la loi sur toutes les autres prérogatives. Le droit constitutionnel

leur importerait pourtant assez peu. Étant donné que les hommes, dans les efforts qu’ils entreprennent en vue de réaliser leurs aspirations, ne procèdent pas dans l’ensemble de façon simplement instinctive, mais pas non plus cependant comme des citoyens raisonnables du monde selon un plan concerté, il semble également qu’une histoire planifiée (comme par exemple celle des abeilles et des castors) soit impossible en ce qui les concerne. On ne peut se défendre d’une certaine humeur lorsqu’on voit

positivisme consiste à penser que le droit positivisme se suffit à lui-même. Il s’impose en tant que tel sans prétendre traduire une règle supérieure (règles d’inspiration divine par exemple). Pour les positivistes en droit juste ou injuste, le droit doit être obéit. D’ailleurs les devoirs l’emportent sur les droits. A partir de cette idée de base, deux approches on était développées : positivisme étatique qui fait reposer le droit sur la force qui l’impose, Kelsen au 20ème siècle et avant lui il s’est

Thèmes : Action Peut-on réaliser l'impossible? (Impossible) Doit-on réfléchir avant d'agir? (Action) Nos actes sont-ils toujours réfléchis ? (Action) Qu'est ce que ne rien faire? Peut-on dire du doute qu'il est utile a la connaissance et nuisible a l'action ? (Action) Est-ce nécessaire d'avoir des règles ? (Action) "Soyez réalistes, demandez l'impossible!" (Action) "Repartir a zéro " Quels thèmes / idées peut-on employer pour répondre et argumenter le thème ? (Action) Est-il bon d'avoir peur? (Action)

seul syndicat autorisé sont directement désignés par le gouvernement et n'agissent pas toujours dans l'intérêt du peuple. Le système judiciaire est entièrement faussé. Les juges dépendent entièrement du ministère de la Justice. Leur rôle consiste à obéir au gouvernement lorsque celui-ci veut personnellement juger une affaire. Ils envoient alors l'accusé devant un tribunal militaire qui n'a plus de lois à respecter. 3) Des lois fondamentales sous un régime répressif Franco publie au cours de

droit objectif, c’est une expression qui a été forgée récemment pour désigner une conception du droit : la théorie de la souveraineté. Peu à peu s’est formé un droit valable car il est un commandement assorti d’une contrainte : il doit y avoir un souverain dans l’Etat qui doit agir seul et qui prend une décision qui s’impose à l’ensemble des individus. C’est ici le point de départ et le point commun de toutes les théories du positivisme. En effet, le positivisme est le fait qu’il n’existe que le droit

puissants, elle peut ne servir qu’à donner les apparences de la légitimité à une usurpation. Comparé à l’exigence de justice qui devrait en motiver l’institution, le droit positif recouvre des intentions secrètes moins louables : obéir à un ordre juridique peut se réduire à obéir au caprice d’un législateur invoquant par un ingénieux stratagème un idéal moral afin de mieux imposer les vues qui l’avantagent. L’expression « à l’ombre des lois » suggère bien l’idée d’une protection de l’injustice opérée