Le Clonage Controverse Ethique

promouvoir la science à la télévision. Ancien enseignant à Sciences-Po Paris, il est aussi l’auteur de plusieurs ouvrages de vulgarisation scientifique – notamment avec Axel Kahn ou Albert Jacquard – et de plusieurs films. Copies conformes, le clonage en question, avec Axel Kahn, Nil Éditions, 1998, Pocket, 1999. La Planète obèse, avec Philippe Froguel et Patrick Sérog, Nil Éditions, 2001. L’avenir n’est pas écrit, avec Albert Jacquard et Axel Kahn, Bayard, 2001, Pocket, 2003. Cinq Ans au

4 : L’Ehtique et la science (Bioéthique) Chapitre 6 : Problème Etique des sociétés pluriculturelles Chapitre 7 : L’Ethique des médias (la média Ethique)   Introduction : le retour de l’éthique  Bibliographie : RUSS la pensée éthique contemporaine I. Précision terminologique sur l’Ethique 1. Signification élémentaire de l’éthique Le mot Ethique apparaît en Grèce il y a 2500 ans. Il vient de « Ethos » qui signifie « coutumes mœurs ; plus générale conduite, action » Définition : Etudes des

les affaires (la markétique) Chapitre 4 : L’Etique et la science (Bioéthique) Chapitre 6 : Problème Ethique des sociétés pluriculturelles Chapitre 7 : L’Ethique des médias (la média Ethique) Introduction : le retour de l’éthique Bibliographie : RUSS la pensée éthique contemporaine I/ Précision terminologique sur l’Ethique 1. Signification élémentaire de l’éthique Le mot Ethique apparaît en Grèce il y a 2500ans. Il vient de « Ethos » qui signifie « coutumes mœurs ; plus générale

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directrice de recherche au CNRS Simone Bateman est sociologue, directrice de recherche au CNRS, au Centre de recherche sens, éthique, société (Cerses), UMR du CNRS et de l’Université Paris Descartes. Ses recherches portent depuis une trentaine d’années sur des pratiques médicales et scientifiques, notamment dans le domaine de la reproduction, qui suscitent des questions éthiques et un débat public concernant leur légitimité et leur régulation. Elle a de ce fait participé à des groupes de travail,

notamment la loi numéro 94-654 du 29 juillet 1994 sur l'AMP. Nous étudierons dans une première partie les clauses du consentement écrit de la demande d'assistance médicale à la procréation, puis dans une seconde partie nous analyserons les questions éthiques soulevées par l'AMP qui sont encore peu ou pas évoquées par la loi. Première partie : La réglementation régissant l'assistance médicale à la procréation A – Les termes généraux du contrat L’assistance médicale à la procréation est un

de gens d’épidémie comme la rage, mais ces progrès sont devenus aussi incontrôlables que ceux du domaine militaire. En effet, on est aujourd’hui capable de cloner un être vivant identique, mais le clonage a-t-il un but utile, un des objectifs de la technique ? Ce projet est ainsi largement controversé car cette technique n’a pas de réalité humaine et les dangers de son utilisation sont encore inconnus. Cette technique semblait donc illégitime, c’est pourquoi la morale et la justice ont pris le dessus

l’incapable, le tuteur va le représenter dans tous les actes de la vie civile. On est donc en présence d’une personne qui souffre d’une altération très grave de ses capacités. Quelques problèmes :Personne morale a fait l’effet d’une controverse doctrinale. Dans toutes controverses, il y a deux camps. Les uns étant favorables et les autres étant non favorables. Cela signifie qu’il a des théories. Tout d’abord il y a la théorie de la fiction, cette théorie à était mené en trois points : * Première idée

connu à un nouvel état par une situation momentanément perturbée. Sur le plan individuel, progresser, c’est oser choisir : on évolue dans sa vie professionnelle, on s’engage affectivement dans sa vie personnelle, on assume des choix politiques, éthiques, etc. Le risque existe, là encore : peut-être vaudrait-il mieux ne pas choisir, ne pas prendre de risque, s’en tenir à ce que l’on est et à ce que l’on sait, plutôt que de progresser ? Le progrès justifie-t-il que l’on mette autrui et soi-même

 Selon lui, le droit ne doit refléter que les pulsions des individus : ce qui équivaut à rejeter les valeurs permanentes, autrement dit la civilisation. Agacinski lui répond : « Vous êtes étranger au rôle civilisateur de la loi et à l'expérience éthique ; vous ne tenez pas compte du pouvoir économique sur l'individu ; vous croyez que si celui-ci "consent", il ne peut faire de mal ni s'en faire à lui-même. C'est ingénu ! Par exemple : dans le cas d'une vente d'organes, vous direz que c'est un choix